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18/01/2013

Boire du thé vert au Japon, c'est difficile...

Cette phrase vous fait rire ou vous étonne ? Bien sûr, cela n'a rien de difficile lors des repas, cela reste la boisson naturellement proposée le plus souvent. Mais en revanche, il est assez difficile de boire du thé en journée et encore davantage de le boire seul.

D'abord, le concept de salon de thé n'existe pas vraiment, ce qui peut paraître étrange dans un pays où cette boisson est tellement consommée. On trouve parfois quelques "salons de thé" mais ils vont parfois considérer plus chic de servir un thé noir dans une tasse anglaise que du thé japonais !

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Ensuite, l'idée de boire du thé est le plus souvent associée avec un gâteau ou une sucrerie. Non seulement quand il s'agit de boire un matcha, pour lequel le gâteau très sucré consommé avant est censé adoucir l'amertume du thé. On a eu de fréquentes occasions de boire un bol de matcha car ce pouvait être l'occasion de faire une pause après une belle balade dans le froid mais parfois, on se serait contenté du thé sans gâteau (même s'ils étaient toujours bons).

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Mais c'est souvent aussi le cas quand on boit un sencha.

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Enfin, le café est en train de gagner chaque année davantage de terrain, qu'il s'agisse des grands monstres anglo-saxons qui sévissent aussi ici, des petites coffee shops qui fleurissent ou du café élégamment proposé après un repas dans les endroits chics. En général, plutôt du café à l'américaine, proposé avec un peu de lait ou de crème.

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Le moyen le plus facile de boire un thé vert est souvent de se rendre dans des boutiques de thé, qui ont éventuellement un petit espace où s'asseoir et commander un thé, mais là encore, c'est souvent avec un gâteau, comme che ChaNoHa, un haut-lieu du thé japonais aus sous-sol du grand magasin Matsuya, dans le quartier de Ginza, à Tokyo.

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Et le thé reste une boisson incontournable des supermarchés, avec toutes ces bouteilles vertes bues par vraiment tous les âges...

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16/01/2013

Et on mange quoi en hiver au Japon ?

Partant pour la première fois au Japon en hiver, j'étais curieuse de voir si la période froide recelait quelques particularismes culinaires dans ce pays si attentif au rythme des saisons. En fait, les grands classiques de la cuisine japonaise dont je vous parlais hier sont présents en toute saison. On n'a d'ailleurs pas vraiment constaté de changement dans le type de plats servis : il y a toujours du cru, du mijoté, du grillé, du bouilli, du frit...

En revanche, on a découvert ou consommé de façon accrue certains produits de la mer dont c'est la saison privilégiée. Ainsi, la star incontestée de cet hiver a été le "buri", un délicieux poisson gras, qui est une variété de "yellowtail" aux Etats-Unis, qui correspond à la sériole en France. En fait, ce poisson a différents noms au Japon selon sa taille : les sérioles de moins de 50 g sont appelées "mojako", celles de 50 g à 5 kg "hamachi" (on en a mangé aussi) et celles de plus de 5 kg "buri" (source FAO). En quelques jours, on l'a nous servi en sauce teriyaki dans une petite "cantine" de quartier, grillé dans une izakaya, en sashimi... Et ce fut toujours excellent.

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D'autres délices maritimes furent très présents et je m'en suis régalée, à ma grande surprise, car c'étaient des mets que j'avais peu appréciés jusqu'à présent, pour des questions de goût ou de texture : les laitances de poisson (blanchâtres, moelleuses et onctueuses), un mets dont les Japonais sont friands mais qu'à ma connaissance, on ne trouve pas en France ; le foie de lotte qui s'est avéré plusieurs fois un délice, fondant sans être pâteux et goûteux mais pas trop fort.

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Côté légumes, on a rencontré moult champignons, beaucoup de racines de lotus (plus que d'habitude ?), des carottes, divers légumes-racines, fougères, ... pas toujours identifiés.

Les fruits, j'y reviendrai demain.

15/01/2013

Une foodista au Japon, elle ferait quoi ?

Si j'étais une foodista en vadrouille au Japon,

- je sillonnerais longuement les allées des sous-sols des "depatos" (grands magasins), toujours curieuse et prête à accepter de goûter les nombreux mets proposés : tsukemono, tofu, miso, thé, crackers, mini-poissons, algues, ... à m'émerveiller de la variété des aliments et de la beauté des bento ;

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- j'irais me détendre et me désaltérer chez Higashiya, dans le quartier de Ginza à Tokyo, un salon de thé moderne où l'on propose non seulement différentes variétés de thé et de délicieux gâteaux mais des boissons originales et de saison telles qu'un thé bancha et pomme, une infusion de feuilles de kaki, un thé sencha et kumquats ;

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- j'irais faire un tour à Kappabashi, le quartier des ustensiles de cuisine pour professionnels et je m'informerai sur les ustensiles fabriqués par des artisans, en hésitant à les acquérir vu leurs prix. Et je craquerai pour quelques emporte-pièces en me demandant si je vais vraiment les utiliser ;

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- je m'amuserais de voir des cours de pâtisserie très occidentale dans une galerie commerciale chic ;

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- je me laisserais entraîner chez le Rose Bakery local, aussi bio qu'à Paris, par notre ami de Tokyo qui aime parfois manger occidental à force d'être en Asie et qui connait toutes les bonnes adresses ;

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- je m'émerveillerais de la merveilleuse et inimitable tendreté du boeuf de Kobe qui mérite bien sa réputation (et son prix !) ;

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- j'apprécierais quand on me donne une vraie racine de wasabi pour en râper moi-même la quantité dont j'ai envie ;

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Bon, je ne suis peut-être pas vraiment une foodista et pourtant tout ça je l'ai fait !

14/01/2013

Au Japon, on ne mange vraiment pas que des sushis...

D'ailleurs, les sushis ne sont même pas un plat de base pour la plupart des Japonais, surtout quand on est loin de la mer. Pour notre part, on en a quand même mangé et de bons car ils sont incomparables avec ce qu'on trouve en France, question de fraîcheur et de façon de tuer/découper le poisson.

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Mais on a aussi enchanté nos papilles avec tous les grands classiques qui font la cuisine japonaise de restaurant :
- les soba, ou nouilles de sarrasin, que j'ai continué à manger froides malgré la température extérieure basse. Ce sont mes préférées côté pâtes japonaises, je les préfère aux grosses pâtes udon et encore davantage aux ramen.

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- le tonkatsu, ou porc pané, servi avec une salade de chou, un plat bien nourrissant et délicieux quand la viande est bien tendre.

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- les tempura, ou fins beignets, que l'on mange en les trempant dans une sauce à base de soja avec du daikon rapé (ou parfois avec un peu de sel). Les tempura sont un plat présent depuis longtemps au Japon, issu de l'influence portugaise au 16eme siècle. Il y a en général toujours des crevettes, plus des légumes (shitake, aubergine, piment doux, ...) et parfois, comme cette fois-là deux poissons dont un très long vraiment délicieux.

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- le sukiyaki, une sorte de ragoût de fines tranches de boeuf qu'on trempe dans un oeuf cru battu, plat apparu à la fin du 19eme siècle au moment ou la viande s'est développée au Japon.

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Si vous vous intéressez de près à la gastronomie japonaise, je vous recommande un livre passionnant, "L'art culinaire au Japon"de Naomichi Ishige aux éditions Lucie, un livre savant mais tout à fait accessible.

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Et pour ceux qui apprécient ou veulent découvrir ces plats, on les trouve dans différentes adresses parisiennes (c'est plus difficile en province).

10/01/2013

De retour du Japon, de la gourmandise dans les bagages...

Avant de vous faire un récit des délicieux mets hivernaux savourés lors de notre séjour japonais, voilà un petit aperçu de ce que j'ai rapporté dans mes bagages pour agrémenter mon retour :

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- une grande quantité de thé vert (différents thés Sencha et Genmaicha glânés à Tokyo, Kyoto et ailleurs) et du matcha pour les desserts ;
- quelques tsukemono (légumes saumurés, les "pickles" japonais, qu'on mange en général en fin de repas avec le riz, à mettre dans des bentos nipponisants, et des "furikake" : un mélange parfumé, à base de sésame, algue, ... dont on peut saupoudrer le riz ;
- des prunes (ume) délicieuses achetées à Kyoto : l'avantage au Japon c'est qu'on peut quasiment toujours goûter avant d'acheter, donc pas de risque de déception.
- un appétissant mélange de céréales déniché dans une boutique qui vend par ailleurs d'excellents bouillons : ils promettent 10 céréales + du riz. A tester rapidement.
- du riz nouveau, et du top de gamme : du riz Koshihikari de Niigata : quand on l'achète en grand magasin en vrac, il est complet et on peut le faire polir plus ou moins pour avoir du riz demi-complet ou blanc. Et aussi des galettes de riz croustillantes et parfumées qui n'ont rien à voir avec celles assez insipides qu'on trouve en France ;
- des algues nori d'un très vieux magasin de Tokyo, pour faire des makis et autres ;
- des spécialités locales d'Arima Onsen, petite station de onsen (sources chaudes) près de Kobe : un mélange de champignons matsutake et d'algue kombu marinés dans la sauce soja qui existe depuis plusieurs siècles ; des biscuits tout fins et tout simples (de la farine, de l'eau, du sucre, du sel) hyper craquants (genre gavottes) faits avec l'eau de la source volcanique locale, riche en gaz.

Bref de quoi se régaler durablement ! Et vous, vous ramenez des gourmandises lors de vos voyages ?

08/01/2013

Me voilà de retour...du Japon

Merci à tous de continuer à lire ce blog en ce début 2013. J'espère que la fin 2012 fut plaisante et je vous souhaite encore une fois tout le meilleur pour cette nouvelle année et notamment de garder le plaisir de manger de délicieuses nourritures à votre goût et de vous sentir bien dans votre corps et dans votre tête.

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Je reviens du Japon où j'étais en vacances, fort gourmandes évidemment, je vous en dirai un peu plus prochainement. J'avoue que je n'étais pas derrière l'ordinateur et j'avais programmé quelques billets pour vous tenir compagnie. Merci pour vos commentaires auxquels je vais me hâter de répondre. Belle semaine et bon courage à ceux qui viennent de reprendre le travail.

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01/01/2013

Savoureuse Année 2013 !

Chers lecteurs et lectrices de ce blog, je vous souhaite une Année 2013

Curieuse

Gourmande

Partageuse

Savoureuse

Sereine

Stimulante

Vivante

 

Prenez soin de vous et de vos proches et profitez de chaque instant de 2013, il ne se représentera pas !

bonne année, fêtes

27/12/2012

Le best-of 2012, c'est maintenant !

Je sais que vous êtes nombreu(ses)x à me lire régulièrement. Et je vous en remercie sincèrement. Toutefois, quelques billets essentiels vous ont peut-être échappé. Ou vous avez peut-être découvert le blog récemment.

Pour toutes ces raisons, je vous propose une petite rétrospective des billets qui me paraissent avoir été un peu le meilleur de 2012 sur ce blog (mais il y a tellement de bonnes choses à lire et à voir que le choix est difficile, n'est-ce pas ?!). Bonne lecture !

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Je parle souvent de faire barrage aux régimes et d'accepter son poids naturel alors que les 3M (Morphologie-Métabolisme-Minceur) sont une réalité souvent méconnue. Je ne critique pas seulement le plus connu de ces dernières années mais tous les régimes, qui font tant de mal.

A l'inverse, je prône les 4C pour changer vraiment sa façon de manger et je vous donne des exemples, sachant que chaque personne est différente...

Côté alimentation au quotidien, je vous ai parlé grignotage, étiquetage alimentaire, je vous ai donné quelques conseils pour manger lors d'un buffet..., j'ai essayé de vous convaincre qu'une fréquentation régulière du restaurant ne fait pas grossir, je vous ai suggéré d'observer votre consommation de viande, j'ai essayé de vous déstresser au sujet du goûter des enfants. Je me suis mise dans la peau des végétariens qui mangent dehors, j'ai même donné des conseils alimentaires au nouveau Président de la République!

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Vous avez dû entendre parler de campagnes récentes contre le gaspillage alimentaire, voilà quelques conseils concrets. Il est aussi toujours utile de parler de Pierre Rabhi. Et je me suis agacée contre les stress en tous genres de la cacophonie alimentaire...

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Au-delà de l'alimentation, je vous assure que le sommeil, c'est vital !

Souvent, on me demande aussi s'il faut faire du sport pour maigrir...

Et si cela vous intéresse, voilà une vision récapitulative de mon activité, je ne fais pas que bloguer !

 

Belle fin d'année sereine et gourmande !

 

21/12/2012

Mais non, les fêtes ne font pas forcément grossir !

On croit qu'on va forcément prendre du poids pendant les fêtes. Et parfois, on se lamente avant même qu'elles commencent au lieu de se réjouir des bons moments à passer.

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Un bon panettone, un grand plaisir de la fin d'année à l'italienne


Mais non, il n'y a pas de fatalité à se sentir serré(e) dans ses vêtements début janvier : les mots-clés sont envies, confort, régulation :

ENVIES : lors d'un repas festif composé d'une multitude de plats, vous avez sûrement des préférences : ce sont les plats que vous pouvez privilégier, et zapper ou consommer en quantité réduite les autres, pour limiter les excès.

CONFORT : même s'il y a souvent un ou plusieurs repas durant cette période où l'on mange trop, on peut essayer de limiter les désagréments (et les kilos en plus) en se fiant à ses sensations corporelles : si on sort de table à peu près confortable, sans se sentir trop lourd(e), c'est que l'on a su rester relativement modéré(e). Et on n'est pas obligé(e) de suivre le mouvement général de ceux qui se resservent et n'en peuvent plus ! En plus, on dormira d'autant mieux !

REGULATION : quand on mange trop, on accumule un stock d'énergie et on peut attendre de l'avoir consommé avant de remanger, c'est-à-dire qu'on attend d'avoir à nouveau faim. Ce sont donc des circonstances où l'on peut sauter un repas ou se contenter d'un petit bouillon : c'est normal !

Sinon, je ne vois rien de plus à ajouter à mon billet de l'année dernière, "l'art de réveillonner"

et comme je suis très paresseuse cette année, je vous renvoie volontiers à tous mes écrits sur le sujet et la période : http://ariane.blogspirit.com/tag/reveillon

Et vous, vous avez des conseils pour bien vivre les fêtes ?

 

18/12/2012

Stop à la diabolisation du sucre ! (et balade en terre sucrée au SugarNweb)

Dimanche dernier, écoutant en différé la dernière émission de Francois-Régis Gaudry "On va déguster" avec le "pape" de la cuisine minceur, Michel Guérard, comme invité principal, j'ai noté que ce dernier parlait (je l'avais déjà entendu sur ce sujet) d'un Paris-Brest "light". Quelle tristesse ! Je préfère que l'on s'offre de temps en temps un vrai bon Paris-Brest avec une crème non allégée que de se tourner vers des ersatz de pâtisseries... Et j'ai été attristée et agacée d'entendre le maître des lieux, sans doute pour se mettre au diapason de l'invité, parler de "ces deux démons que sont le gras et le sucre". Faut-il rappeler que ces deux éléments, notre corps en a besoin, notre tête et nos papilles s'en réjouissent, ils ne nuisent en rien à notre santé si on les consomme sans excès au sein d'une alimentation variée.

Pour ne pas être dans l'excès, en pâtisserie ou dans les desserts, on peut souvent réduire la quantité de sucre prévue dans une recette, en fonction de son goût, on peut se déshabituer de la saveur sucrée si on se rend compte qu'on en a besoin trop souvent ou en trop grande quantité, on peut varier les types d'ingrédients sucrants pour ne pas se limiter au sucre blanc raffiné. Mais cela ne veut pas dire oublier les plaisirs sucrés !

Ces plaisirs étaient justement célébrés de facon très sympathique mardi dernier lors de la première édition du SugarNweb, une déclinaison parisienne et sucrée du Salon du blog culinaire de Soissons, organisée par 750g et CookNweb à destination des blogueurs. Ce n'est pas un hasard si la Collective du Sucre parraine un tel événement, c'est justement pour tenter de redresser une image assez dégradée.

Cela se passait dans un lieu très sympa, genre bazar bohème, le Comptoir Général.

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Cela a été l'occasion de dégustations en aveugle organisées par Louise, l'exploratrice de saveurs sucrées, d'ateliers pâtisserie et desserts, de démos par les marques sponsors de l'événement. Notamment Bonne Maman qui mettait en avant et faisait reproduire les recettes aux bons ingrédients réellement utilisées pour réaliser ses produits, ce que ne pourraient certainement pas faire toutes les marques... Il y avait aussi des tests d'arômes avec la sympathique petite société d'épices Ethic Valley, des dégustations du Palais des Thés, ... Et, n'étant pas sectaires, les organisateurs avaient prévu un buffet déjeuner salé tout à fait correct !

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Et surtout pour moi qui n'avais pu libérer que 2 heures à l'heure du déjeuner et une partie de la soirée, l'occasion était belle de revoir des personnes gourmandes que j'avais déjà croisé ou d'en rencontrer certaines que je ne connaissais que par internet interposé : Annika PanikaCamilleCarine, Chef Damien, DorianEva, JuliaLouise, Lucie et son acolyteMamina, Marie, Marion, Pascale, Rose, Virginie.

Philippe Conticini était le parrain de l'opération et, quand il est arrivé, il a vite eu une foule de foodigroupies autour de lui. J'ai quand même pu lui glisser un mot de mon enthousiasme sur le mélange sésame noir-praliné et lui m'a dit avoir été touché par le billet que je lui avais consacré, ce qui était vraiment gentil. Le soir, il y avait ateliers cupcakes et choux avec les adorables Dorian et Pascale (qui m'a presque réconciliée avec ces cupcakes tant honnis !) mais je me suis contentée de manger sans créer (paresseuse !) en ayant auparavant débuté par du salé avec la dégustation de 3 Fourmes d'Ambert de forces différentes.

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Bref, de chouettes moments, merci beaucoup aux organisateurs et merci aux sponsors car on repartait avec un sac cadeau pas du tout ridicule...

Si vous êtes "allergique" au sucré, sachez que le prochain rassemblement, ce sera un AperoNweb, prévu le samedi 1er juin 2013.