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17/08/2016

De retour du Japon, la valise gourmande bien alourdie...

Eh oui, cet été, nous sommes une nouvelle fois partis au Japon, ce pays que nous aimons tant et dont nous adorons la nourriture. De belles journées à la chaleur tropicale et aux délices variés, parsemées de multiples rencontres éphémères avec la si merveilleuse gentillesse des Japonais. Je ne suis pas revenue les mains vides et ma valise s'était alourdie d'une dizaine de kilos... De quoi donc ?

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- des classiques de chaque voyage : une très grande quantité de thés verts variés (j'y reviendrai) dont du matcha, et du riz japonais de haute qualité,

- d'autres boissons : du sobacha acheté lors d'une sorte de foire de producteurs, du kombucha (à base d'algue kombu),

- des furikake (mélanges divers d'épices, aromates, ingrédients séchés, qu'on met sur le riz) dont un au wasabi, spécialité de la ville de Shizuoka, et aussi du shiso rouge séché, du sésame noir, du sésame blond fumé (une curiosité offerte par une amie japonaise),

- des ume (prunes japonaises) que j'adore (des petites à Kyoto, des plus grosses de Wakayama, ville de référence pour la production des ume (à la même foire de producteurs), et un essai, une purée pour d'autres types d'usages),

- des algues wakame à réhydrater pour mettre dans des salades et des algues nori (nature pour les makis et autres rouleaux et parfumées à la prune à grignoter),

- du yuba (peau de tofu) déshydraté, qui n'égalera probablement pas le frais qu'on adore, mais on va tenter quand même...

- du yuzu en poudre, trouvé par hasard, curieuse de goûter car le prix était très faible au regard des prix habituels du yuzu,

- côté desserts, du kinako (poudre de soja grillé) car j'adore son goût quand il enrobe des gâteaux, du warabimochiko, une sorte de farine particulière pour tenter de faire des gâteaux japonais tout mous (merci au blog de Clotilde Dusoulier pour les précisions et la piste de recette), de la an-paste (pâte de haricots azuki), de la pâte de sésame noir, du kuromitsu (sucre noir japonais, liquide).

- des bouillons de kombu et légumes, en sachets, complètement naturels et délicieux, déjà goûtés.

- de la sauce soja, choisie avec difficulté après en avoir goûté quelques-unes parmi un choix innombrable,

et même un peu de granola, produit évidemment pas très japonais, mais qui m'a tentée au retour d'une allée commerciale car parfumé au matcha et gingembre. A reproduire maison s'il est bon.

Côté ustensiles, j'ai réussi à être fort raisonnable dans le quartier spécialisé de Kappabashi à Tokyo mais j'ai quand même craqué sur un objet pas spécialement japonais (mais disponible en modèle réduit), un gaufrier traditionnel, que j'ai hâte d'utiliser ! Et aussi quelques cuillères en bambou.

Et vous, avez-vous rapporté quelques spécialités de votre lieu de vacances ou les avez-vous surtout consommées sur place ?

 

14/12/2015

Vive les livres qui parlent cuisine, aliments et pas seulement recettes...

Bon, on se rapproche à grands pas des fêtes de fin d'année, alors je fais comme tout le monde, je vais parler un peu livres... Car, ne nous le cachons pas, la période est propice aux cadeaux mi-plaisir mi-utilité que peuvent être les livres culinaires. Mais on peut trouver bien d'autres occasions pour (s')offrir des livres. Ce que je fais...

Récemment, plusieurs livres m'ont réjouie car il ne s'agissait pas seulement de livres de recettes. En effet, il en va pour moi des livres comme des revues culinaires : j'aime qu'il y ait de la "chair", des informations, des histoires... autour des recettes.

1. C'est le cas dans la très belle et richement fournie Encyclopédie de la Cuisine Végétarienne d'Esterelle Payani. Je suis impressionnée par la masse de travail que cela a dû représenter, surtout que je connais le perfectionnisme de l'auteure... Avant même de passer en cuisine, on se délecte de tout ce qu'on peut y découvrir. Il y a des informations sur tous les aliments de la sphère végétale, classés par familles, un large éventail de techniques (certaines qu'on a pu observer dans d'autres livres de cuisine végétarienne, d'autres plus rares) comme faire un lait végétal, cailler du fromage, préparer une chantilly de noix de coco...

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C'est déjà une grande richesse du livre. Mais le plus intéressant est peut-être le panorama des richesses de la cuisine végétarienne à travers les pays et les cultures. Car le végétarisme est aussi bien présent dans de nombreux pays d'Asie qu'en Europe, dans la bassin méditerranéen, ... On voyage ainsi d'une culture à l'autre avec curiosité et l'envie de passer en cuisine pour en découvrir davantage dans son assiette. Et, pour chaque recette, on a un renvoi aux techniques utilisées, ce qui est bien pratique si on débute dans la cuisine végétale. Le livre bénéficie par ailleurs de très belles photos. Petit bémol justement : ce n'est pas le format de livre que j'aime le plus emporter en cuisine... Un livre de référence vraiment utile si on a envie de diminuer sa consommation de viande et poisson.

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Les recettes : déjà savourées, les pâtes de sarrasin aux brocolis et ume. Hier soir, le "curry de pois chiches au chou-fleur, patate douce et lait de coco", accompagné de riz et de coriandre, fut un délice. Et, dans mon viseur hivernal, le "Mac'n'cheese au chou-fleur", la "soupe de quinoa", le "gâteau de millet aux choux de Bruxelles, butternut et noix de Pécan"...

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2. J'ai découvert par hasard à la Librairie Gourmande le livre Cuissons de Keda Black. Un livre vraiment atypique au rayon culinaire, par son format, ses photos, son organisation. Là encore, les recettes ne sont pas forcément le cœur du livre qui révèle bien d'autres richesses. L'idée est de nous faire découvrir les facettes des différents modes de cuisson et la meilleure façon d'y recourir. Certes, certains sont moins quotidiens que d'autres mais on peut rêver un peu... On plonge dans ses pages avec bonheur et on y pêche des tas de bons conseils, que ce soit la poêle idéale ou les aliments les plus adaptés au pochage. Un livre à savourer à petits pas et qui va devenir peu à peu un compagnon du quotidien mais on a aussi envie de se dépêcher d'expérimenter. Très envie par exemple de tenter la cuisson des légumes en croûte de sel...

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3. Thés japonais - la maison de thé Jugetsudo, de Chihiro Masui

Je n'aurais peut-être pas acheté ce Thés Japonais car je crois que je connais un peu déjà le thé japonais, en étant grande consommatrice et amatrice. Mais Chihiro Masui et son éditeur me l'ont envoyé et j'ai adoré le découvrir d'abord parce que les photos sont magnifiques. Puis parce qu'il y a toujours à apprendre sur le thé japonais et ses diverses variétés et les textes sont clairs, précis. Les recettes sont très appétissantes et pour la plupart vraiment pas compliquées. En ligne de mire pour commencer, les sablés aux noisettes et Genmaicha et la salade de fruits secs au Genmaicha aussi.

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Plus centré sur les recettes mais intérgrant de nombreuses informations sur les ingrédients et techniques : Tout sans gluten, de Clea : vous êtes peut-être étonnés de me voir citer ce livre alors que je m'agace souvent de cette mode envahissante du sans gluten sans raison valable. Je sais bien sûr que certains ont une vraie intolérance, d'autres un inconfort réel. Il s'agit ici d'une très vaste somme, sans doute un peu trop riche pour moi : je n'ai pour ma part aucun problème avec le gluten, aucune envie de céder à la mode mais j'explore parfois avec curiosité d'autres goûts en variant les farines. Mais c'est un livre qui me parait assez incontournable pour des personnes qui ont réellement une incapacité à digérer le gluten. Elles ont souvent du mal à trouver des idées de plats variés quand elles se rendent compte qu'elles n'ont d'autre choix que de cuisiner majoritairement. Elles se réjouiront de cette somme qui distille le style culinaire original et gourmand de Clea et n'ont pas fini d'en épuiser les plaisirs. Pour ma part, je commencerai bien par cette recette japonisante.

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Sinon, j'ai repéré en librairie deux livres sympathiques, avec de jolies mises en page colorées :

- La Bièrographie, pour amateurs de bière (que je ne suis pas) ou voulant le devenir,

- le très grand, lourd et bien garni On Va Déguster, issu de l'émission du même nom (que j'ai jugé pour l'instant trop encombrant pour mes étagères déjà bien remplies...).

Et, bien sûr, il devrait y avoir quelques Simplissime au pied des sapins...

D'autres suggestions ?

 

Encyclopédie de la Cuisine Végétarienne,d'Esterelle Payani, Flammarion (acheté)

Cuisson(s), de Keda Black, Keribus (acheté)

Thés japonais - Maison de thé Jugetsudo, de Chihiro Masui, Chêne (reçu)

Tout sur le gluten, de Clea, La Plage (reçu)

 

25/11/2014

Japon : les délices du Kyushu 1er épisode : le thé

Si vous connaissez un peu le thé japonais, sans doute avez-vous entendu parler du thé d'Uji, près de Kyoto, peut-être de celui de la région de Shizuoka. Mais savez-vous que des thés de haute qualité sont cultivés dans le Kyushu ?

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Sans prétendre à l'exhaustivité, nous avons eu l'occasion de voyager dans deux régions importantes en matière de thé.

1. Dans la partie nord du Kyushu, il y a notamment la région de Yame et Hoshino-Mura, dont est originaire le thé Tamayura, dont on se régale à Paris, richement parfumé.

Lors de notre voyage, on a découvert Ureshino Onsen, dans la préfecture de Saga, ville de "onsen" (souces chaudes) également réputée pour son thé. On en a goûté et acheté différentes variétés. L'auberge où on résidait en avait d'ailleurs fait un argument central pour se distinguer : on était ainsi incités à cumuler bienfaits du thé pour la peau et bienfait de l'eau de la source en trempant des sachets de thé dans l'eau du onsen avant de s'en imprégner... Et au dîner, on avait chacun un petit mortier (suribachi) et un pilon pour écraser un peu de thé et en parfumer les plats ou les bouillons si on le souhaitait.

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2. Dans le Sud du Kyushu, du côté de Kagoshima, les thés "sencha" de la région de Chiran sont réputés et nous ont souvent été proposés à la dégustation dans les boutiques et corners de thé des grands magasins. Car, au Japon, on est toujours disposé à vous faire goûter les produits. Souvent les vendeurs de thé pensent qu'en tant qu'occidental, vous n'y connaissez rien et allez juste faire une grimace face à l'amertume ou au côté herbacé ou marin. Du coup, ils sont étonnés et ravis quand on montre qu'on apprécie, qu'on demande à en goûter un autre, qu'on s'intéresse au lieu de production...

J'ai donc fait quelques emplettes de thés de ces différents lieux ainsi que, revenue à Tokyo, du thé d'une délicieuse boutique-lieu de dégustation que nous connaissons bien, Cha Ginza, de Genmaicha, de matcha pour la pâtisserie... Ce qui fait, qu'au global, je suis revenue avec quelque 2,5 kgs de thé japonais qui vont m'accompagner au fil des prochains mois.

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Si vous voulez approfondir votre connaissance du thé japonais, le mieux est d'en goûter ! mais il y a aussi quelques blogs spécialisés, par exemple le très expert http://sommelier-the-japonais.blogspot.fr/ et le site de vente correspondant, où il y a beaucoup d'informations pratiques et aussi un recap des régions de thé du Japon. Tamayura propose des infos sur son site et quelques videos pratiques, par exemple sur le sencha.

Et vous, buvez-vous, aimez-vous les thés japonais ?

05/05/2014

Du thé vert et des desserts... avec Keiko Nagae

Vendredi il y a dix jours, je suis retournée à la Maison de la Culture du Japon pour un atelier-démonstration avec Keiko Nagae. Cette fois, le thème était les desserts au thé.

Comme la fois précédente, Keiko avait prévu un programme dense, mené tambour battant, tout en restant souriante et disponible pour des questions. 

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Je retiens de cet atelier plusieurs informations et astuces :

- il est important de prendre un thé matcha de qualité pour les desserts. Mais alors, comment le reconnaître ? La suite a eu un peu l'allure du flou à la japonaise : on peut le détecter à la couleur : ni trop pâle ni trop vive car alors, il y a probablement eu un ajout de chlorophylle..., à son parfum, et sûrement à son coût mais attention aux arnaques....

- si on n'a pas de thé matcha ou si on trouve trop cher d'acheter un thé matcha de qualité, on peut réduire en poudre du thé Sencha (deuxième fois, après l'atelier avec Ona Maiocco, que je me dis qu'il faut m'équiper d'un moulin à café électrique...) mais bien sûr, il ne faut pas s'attendre au même résultat en terme de goût et de couleur.

- si on utilise du thé Hojicha pour un dessert (ici dans une crème pâtissière), il est intéressant de le griller à nouveau quelques minutes à sec pour renforcer son parfum.

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- on a préparé un craquant à la vergeoise (cela pourrait être tout autre sucre) dont on a posé une fine tranche sur les choux et cela leur a donné un fort plaisant croustillant après cuisson.

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"On" a donc préparé un chou à la crème Hojicha, un parfait au matcha glacé au chocolat blanc : absolument délicieux !

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Maintenant, "yapluka" refaire tout cela moi-même !

Et vous, vous utilisez parfois le thé en pâtisserie, voire en cuisine ?

18/01/2013

Boire du thé vert au Japon, c'est difficile...

Cette phrase vous fait rire ou vous étonne ? Bien sûr, cela n'a rien de difficile lors des repas, cela reste la boisson naturellement proposée le plus souvent. Mais en revanche, il est assez difficile de boire du thé en journée et encore davantage de le boire seul.

D'abord, le concept de salon de thé n'existe pas vraiment, ce qui peut paraître étrange dans un pays où cette boisson est tellement consommée. On trouve parfois quelques "salons de thé" mais ils vont parfois considérer plus chic de servir un thé noir dans une tasse anglaise que du thé japonais !

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Ensuite, l'idée de boire du thé est le plus souvent associée avec un gâteau ou une sucrerie. Non seulement quand il s'agit de boire un matcha, pour lequel le gâteau très sucré consommé avant est censé adoucir l'amertume du thé. On a eu de fréquentes occasions de boire un bol de matcha car ce pouvait être l'occasion de faire une pause après une belle balade dans le froid mais parfois, on se serait contenté du thé sans gâteau (même s'ils étaient toujours bons).

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Mais c'est souvent aussi le cas quand on boit un sencha.

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Enfin, le café est en train de gagner chaque année davantage de terrain, qu'il s'agisse des grands monstres anglo-saxons qui sévissent aussi ici, des petites coffee shops qui fleurissent ou du café élégamment proposé après un repas dans les endroits chics. En général, plutôt du café à l'américaine, proposé avec un peu de lait ou de crème.

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Le moyen le plus facile de boire un thé vert est souvent de se rendre dans des boutiques de thé, qui ont éventuellement un petit espace où s'asseoir et commander un thé, mais là encore, c'est souvent avec un gâteau, comme che ChaNoHa, un haut-lieu du thé japonais aus sous-sol du grand magasin Matsuya, dans le quartier de Ginza, à Tokyo.

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Et le thé reste une boisson incontournable des supermarchés, avec toutes ces bouteilles vertes bues par vraiment tous les âges...

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16/03/2012

Voyage immobile : le Japon authentique à Paris

De plus en plus souvent, je fais des cadeaux éphémères aux uns et aux autres, à savourer dans l'instant et à inscrire peut-être dans la mémoire. Sorties, voyages, spectacles, repas, mets de choix,... Cette semaine, pour une importante célébration ou que je jugeais telle, j'ai ainsi décrété des festivités totalement nippones. Comme un voyage immobile, le Japon en plein Paris. Bon, pas de tatami ni de onsen mais pour le reste, on pouvait presque s'y croire.

On a ainsi visité un jardin japonais qu'on ne connaissait pas encore, à Rueil-Malmaison : jardin sec imposant mais manquant de l'entretien quotidien qu'on observe au Japon, tori et pont de bois qui créent un petit univers décalé de l'environnement proche, touche de printemps dans un arbre, sans doute un amandier. Bon, soyons honnêtes, cela ne vaut pas tout à fait le voyage !

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On a découvert une jolie boutique de céramiques japonaises, Yakimono, où on a été très gentiment accueilli avec un thé offert par les jeunes vendeurs, exactement comme on aurait pu le vivre à Kyoto.

Grâce à Mademoiselle Thé, nous avons passé un grand moment en compagnie de Yasu Kakegawa, véritable esthète du thé et du goût (il s'est aussi intéressé au vin et au chocolat dans son parcours et il dresse des parallèles en termes de richesse aromatique). Il nous a fait déguster quelques grands crus de thé vert fort rares aux arômes surprenants, produits en toute petite quantité (avec la conséquence sur le prix que vous pouvez imaginer...). Une enclave de pur Japon à deux pas du centre Pompidou.

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La gastronomie a évidemment occupé une place importante dans ce voyage immobile. Sur plusieurs jours, nous nous sommes régalés dans des lieux d'exception, de ceux qu'on ne s'offre pas quotidiennement. On a ainsi fait un repas de haute volée chez Bon, spécialisé dans les kushikatsu (ou kushiage), des brochettes panées. Le lieu est très beau et c'est un festival de quinze brochettes servies avec élégance, toutes plus délicieuses les unes que les autres, avec un mix d'ingrédients français et japonais : foie gras, boeuf Chateaubriand, sole, crevette, champignon shitake, pomme de terre japonaise ,... et deux sucrées en conclusion, dont, saison oblige, un sakura-mochi (gâteau enrobé d'une feuille de cerisier, symbole de printemps) !

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On est aussi retournés chez Juan: entre la délicatesse des mets, la discrétion du chef et la gaieté bien arrosée d'une table de Japonais voisins, on avait là encore une forte sensation de Japon. Un repas dégustation qui mêle poissons crus et cuits, légumes variés, en toutes sortes de petits plats jolis et délicieux.

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Que de beaux souvenirs engrangés ainsi en attendant un voyage plus réel !

 

Yakimono, 14 rue de Langeac, Paris 15ème, 09 51 53 29 43.  

Yasu Kakegawa - Thés du Japon, 12 rue Simon Le France, Paris 4ème, 01 44 61 28 21.

Bon Kushikatsu, 24 rue Jean-Pierre Timbaud, Paris 11ème, 01 43 38 82 27.

Juan, 144 rue de la Pompe, Paris 16ème, 01 47 27 43 51.