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14/12/2010

Qui n'aime pas les fruits d'hiver ?

P1020989.JPGQui croit ne pas aimer les fruits d'hiver, qui se lamente de devoir se contenter de pommes et poires, devrait absolument goûter cette salade de fruits inspirée par une recette de Kaori Endo, une des cuisinières japonaises francophiles en vogue à Paris.

Je n'ai pas tout à fait suivi ses proportions et n'ai pas ajouté les amandes prévues ni le sucre, qui me paraissait tout à fait superflu (et j'ai eu raison). Il y avait déjà une multitude d'ingrédients : poire, orange, pamplemousse, kaki, graines de grenade, dattes, abricots secs, pruneaux, jus de citron vert, gingembre, vanille. On mélange tout cela, on laisse mariner 2 heures et on déguste. Un pur délice qui fait apprécier l'hiver !

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

Bento du lundi, c'est plus facile

J'ai l'impression qu'en général, je parle plus de bentos en début de semaine. En effet, je suis comme beaucoup de personnes : le week end, j'ai plus de temps pour faire des courses, pour cuisiner, je peux plus facilement préparer pour le lendemain. En fin de semaine, le frigo se vide, on est peut-être plus fatigué (e), ...

Donc, dimanche soir, j'ai eu le temps de cuisiner une poêlée de légumes à la japonaise (champignons, carottes, haricots verts), de faire mariner et cuire du poulet au citron auquel j'ajouterai du persil plat. Lundi matin, il ne me restait plus qu'à cuire des soba (pâtes de sarrasin japonaises), que j'ai ensuite agrémentées, au moment de manger, d'une sauce à la ciboulette et au gingembre (cuisine domino : c'était le reste de la sauce du tofu) et d'algue nori. Cela a fait un déjeuner vraiment délicieux avec une soupe miso pour réchauffer le tout.

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Cela concerne aussi les dîners. Il ne s'agit pas de planifier de façon rigide les repas de la semaine. Mais cela peut être utile de se rendre compte qu'en fin de semaine, on aurait sans doute intérêt à avoir quelques basiques faciles à préparer avec ce qu'on a dans les placards. Et qu'il vaudrait mieux oublier les légumes achetés presque une semaine avant, qui flétrissent dans le bac à légumes. C'est donc sans doute plus en fin de semaine qu'on va préparer de bonnes pâtes vite prêtes, une omelette, qu'on va ressortir un plat congelé avec soin, ... Aucun problème, l'important est surtout que cela soit bon, vous fasse plaisir et que vous variiez les saveurs.
Et vous, avez-vous l'impression que vous mangez différemment en début et en fin de semaine ?

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

09/12/2010

Maigrir, C dans l'air mais pas forcément clair

Je voudrais revenir un peu sur la discussion entre Gérard Apfeldorfer et Pierre Dukan qui a eu lieu dans le cadre de l'émission C dans l'air vendredi dernier.

Quand je vois ce type d'émission, je me réjouis que cette approche alternative aux régimes, défendue par le G.R.O.S. soit entendue du grand public. Mais en même temps, j'ai l'impression que cela suscite quelques malentendus.
- Comme on interroge Gérard Apfeldorfer, qui est psychiatre, cela pourrait donner à penser que toutes les personnes en difficulté avec leur alimentation sont des cas pathologiques. Non, bien sûr ! De nombreuses personnes ont pris du poids au fil des ans consciemment ou non, ont peut-être enchaîné des régimes à répétition, avec reprise des kilos perdus, mais cela reste une question alimentaire.
- On pourrait croire aussi que, si on a grossi, il faut accepter son poids si on abandonne les régimes. Non plus ! Ou en tout cas, pas toujours.

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Avoir du plaisir à manger une pomme comme ceci...

Chaque personne est différente et a une histoire alimentaire qui lui est propre.
Si on a pris du poids car on mange trop par rapport à ses besoins, on peut commencer par revenir à l'écoute de ses sensation de faim et de rassasiement et on diminuera ainsi les quantités et donc l'apport calorique global sans se priver.
Une fois ce travail fait, il arrive souvent qu'on constate qu'on mange sans faim, soit machinalement, soit par habitude, soit pour chercher du réconfort ou fuir certaines émotions. Beaucoup de personnes cherchent du plaisir dans la nourriture quand " ça va mal". On peut alors engager un travail sur ses émotions ou son stress sans forcément aller voir un psy, au moins en première approche (mais il ne faut pas avoir peur du psy non plus).

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... ou comme cela, sans culpabilité, en la savourant

Plusieurs solutions sont envisageables :
- se débrouiller seul(e) car on se connaît bien, ou l'on a l'habitude de s'écouter, ou l'on a déjà appris à faire un travail sur soi.
- consulter le site www.gros.org qui donne de nombreuses explications et analyses,
- lire des ouvrages qui vont aider à prendre du recul (quelques suggestions ci-dessous*),
- si on ressent le besoin d'une approche plus personnalisée, d'un échange, d'un accompagnement pour amorcer le changement, aller voir un praticien du G.R.O.S (médecin nutritionniste ou diététicienne) ou un professionnel de santé dont vous savez qu'il a ce type d'approche globale du comportement alimentaire, quelqu'un qui ne vous donnera pas un régime mais vous aidera à comprendre et avancer dans la voie du changement.

Tout cela pour revenir à une alimentation intuitive et plaisante qui permette d'atteindre son juste poids.

*quelques suggestions (pas du tout exhaustives) de lectures :
Pour aider à avoir une vision globale du comportement alimentaire :
- Mangez en paix de Gerard Apfeldorfer,
- Maigrir sans regrossir, est-ce possible, de Jean-Philippe Zermati

De façon plus ciblée, pour comprendre le rôle des émotions dans les prises alimentaires :
- Lorsque manger remplace aimer, de Geenen Roth
- Les kilos émotionnels, de Stéphane Clerget
- Gérez vos émotions, perdez du poids, de Roger Gould (un peu compliqué à utiliser me semble-t-il)

Pour se détacher de l'obsession de la minceur,
- A 10 kilos du bonheur, de Danielle Bourque.

07/12/2010

Un bento en hiver aussi ?

P1020970.JPGD'abord, je tiens à rassurer les personnes qui me lisent et qui pense que je suis une super-woman de la cuisine qui passe son temps à préparer repas, bentos, ... Je passe plus de temps à mon cabinet que dans ma cuisine et, comme de nombreuses femmes, je n'ai ni le temps ni le courage de me préparer un repas à emporter tous les jours ! Mais j'aime bien préparer de temps en temps un bento pour mon déjeuner quand j'ai le temps et les ingrédients. Car c'est ensuite un vrai plaisir pour ma pause déjeuner.

P1020971.JPGVous vous demandez peut-être si un bento est adapté à l'hiver, où l'on a plutôt envie de plats chauds. Pour ma part, je mange un bento froid car je n'ai pas de moyen de le réchauffer. Mais mon repas comprend deux éléments chauds qui compensent cet inconvénient : du thé et une soupe miso. J'utilise des petits sachets de préparation pour soupe miso individuels et c'est bien pratique. Il me suffit de faire chauffer de l'eau pour le thé et la soupe et le tour est joué.

Cette fois, j'ai profité de la préparation d'une soupe de brocoli pour prélever quelques têtes de ce légume (c'est la cuisine domino dont je parlais il y a quelques jours). J'ai fait cuire en même temps à la vapeur des rondelles de carotte. J'ai aussi fait revenir rapidement des crevettes que j'avais au congélateur, avec échalote, gingembre et sésame (celles du quinoa de la semaine dernière). Tout cela a donné un bento d'hiver fort sympathique, très bon et franchement pas compliqué.

NB : pour les plus curieux, il y a avec le riz des petites prunes ume et un condiment au poisson mariné, rapportés du Japon.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

06/12/2010

Une soupe bien sûr !

Nous mangeons souvent des soupes faites maison. Cela varie en fonction des saisons mais c'est bien sûr en hiver qu'on en a le plus envie. Cette fois, j'ai pensé à une soupe de brocolis. J'avais souvenir d'en avoir déjà fait une. Mais je me suis demandé si la soupe de brocoli, c'était juste du brocoli et de l'eau plus de la crème pour finir ou si c'était plus compliqué que cela.

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Je cherche donc dans mes tablettes et je retrouve une recette. Je consulte le livre ad hoc et, en effet, on intègre aussi du fenouil, de l'oignon, du céleri. Puis du lait. Finalement, j'ai un peu adapté, j'ai mixé différemment de ce qui était prévu, mis moins de lait pour garder le goût du brocoli. Et le résultat a été tout à fait délicieux.

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Cette recette vient d'un livre plein de recettes savoureuses et originales classées par l'ingrédient principal, acheté il y a longtemps, le "Larousse de la cuisine saine et gourmande". Je n'y pense pas assez souvent, peut-être parce qu'il est un peu trop "diététique" pour moi (je prends des ingrédients "normaux" au lieu des allégés proposés dans certaines recettes !).

Une choucroute, plaisir de l'hiver

Quand on aime manger, on accepte sans problème le rythme des saisons. Car chacune apporte ses saveurs particulières, ses aliments, ses plats, dans un renouvellement permanent et gourmand. Qui aurait ainsi l'idée de manger une choucroute en été ?! Alors que quand le froid est sérieusement installé, on a envie de se nourrir le corps et l'esprit avec des plats chauds, consistants, revigorants.

J'adore la choucroute et, dans la choucroute, j'aime particulièrement le chou fermenté lui-même. Mais, bien sûr, l'associer à d'autres aliments le rend particulièrement savoureux. J'apprécie la choucroute traditionnelle, avec diverses petites saucisses d'origine alsacienne ou allemande. Si on en mange à sa faim, ce n'est pas un plat spécialement lourd et il contient tout ce qu'il faut pour en faire un plat complet : viande, féculents et légumes.

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Ce week end, je me suis régalée ainsi régalée d'une délicieuse choucroute qui était délicatement parfumée avec baies de genièvre, cumin, ...

La lecture récente d'un article sur ce mets de choix par Jacky Durand dans Libération m'a aussi donné envie d'autres recettes, tirées d'un opuscule du prolixe écrivain-gastronome Pierre-Brice Lebrun sur la choucroute (je vous ai déjà parlé de lui à propos de la boulette). A venir donc peut-être d'autres plaisirs gourmands à base de choucroute. Dans un autre style, j'avais d'ailleurs beaucoup aimé aussi cela.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

05/12/2010

Vive la simplicité !

P1020957.JPGAprès un bon dîner au restaurant, on a souvent envie de simplicité au repas suivant. Cela a été notre cas samedi midi. De plus, la neige qui tombait sur Paris incitait à rester au chaud chez soi. Alors, envie de simplicité + tour du placard nous a conduits à préparer une assiette de pâtes. La plus simple possible : des pâtes fraîches que nous avait concoctées la mamma  + un bon Grana Padano (un cousin du parmesan) + une savoureuse huile d'olive. On s'est régalés. Tans pis pour ceux qui sont contre les féculents !

04/12/2010

Vive la diversité !

Chaque femme (les hommes aussi bien sûr) a son corps naturel, génétique, qui lui donne,  :
- sa morphologie, sa silhouette : grande, petite, menue, carrée, ... Et, de même qu'on a une certaine taille, des yeux bleus, marrons, ..., on a un certain poids naturel.
- son métabolisme : notre propension à "consommer" l'énergie plus ou moins vite que nous absorbons.

Si on mange une alimentation variée, en fonction de sa faim, on maintient ce poids naturel. Notre corps est une mécanique très bien régulée qui sait très bien ce dont elle a besoin. Le problème, c'est que beaucoup de femmes n'acceptent pas ce poids et cette silhouette et elles pensent qu'elles peuvent faire ce qu'elles veulent de leur corps. Cela notamment pour être aussi minces (pour ne pas dire maigres) que les filles des magazines.

Si on n'accepte pas son corps, on peut :
- le modifier en partie par la pratique du sport ce qui représente beaucoup d'efforts (voyez par exemple comment Madonna a façonné son corps avec des milliers d'heures de gym). On peut le faire à condition que ce soit aussi pour le plaisir et sans que cela devienne une obsession.
- le rendre plus mince qu'il n'est naturellement, par des régimes restrictifs. Comme cela n'est pas naturel, cela nécessite un contrôle strict, le fait de ne pas manger à sa faim, de se priver de certains aliments. On peut y parvenir mais on n'arrivera à maintenir ce sous-poids qu'au prix d'efforts permanents, de frustrations et parfois d'une attention obsessionnelle à ce qu'on mange. Cela peut notamment faire perdre le plaisir de la convivialité familiale ou amicale.

Aujourd'hui, on sait par des études scientifiques que les régimes ne marchent pas durablement. A chaque régime, on prend un peu plus de poids. Et on développe mal-être, culpabilité, baisse de l'estime de soi, obsessions alimentaires, tout cela nécessitant beaucoup d'énergie mentale qui pourrait être mieux utilisée ailleurs.

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Une campagne pour la diversité des corps an Québec en 2009

Cela en vaut-il vraiment la peine ? Pourquoi vouloir être toutes pareilles, comme formatées ? Combien de patientes me disent aujourd'hui : "Si seulement je pouvais retrouver le poids que j'avais quand j'ai commencé mon premier régime car je me trouvais trop grosse alors". Quand elles revoient les photos d'alors, elles réalisent qu'elles étaient seulement "normales". Mais les images de minceur omniprésentes, ou parfois des commentaires déplacés de l'entourage, les avaient convaincues du contraire. Alors, si vous avez des filles adolescentes, si vous êtes une jeune adulte, ne commencez pas le premier régime ! Réconciliez-vous avec votre corps, chouchoutez-le, soignez-le, habillez-le joliment sans le cacher. Et vous ne vous en porterez que mieux !

29/11/2010

Osons des accords inédits

Lors d'un des ateliers que j'animais il y a quelques jours, il y avait un peu deux profils de femmes : celles qui suivent pas à pas une recette, ne se font pas trop confiance, ne savent pas quels accords de saveurs faire. Et celles qui sont décomplexées, osent tout, se débrouillent avec ce qu'il y dans le frigo, aiment tester de nouveaux mélanges. Aux premières, je dis de faire confiance à leur goût, de ne pas se limiter aux accords ultra-connus de type saumon-aneth ou tomate-basilic. Pour leur donner quelques repères quand même, je leur ai parlé d'un livre de Julie Andrieu, "Carnet de correspondances, mes accords de goûts". Dans ce livre, elle passe en revue quelque 200 aliments courants et elle propose des tas de correspondances avec d'autres aliments. Plus quelques recettes. Je dois avouer que je l'ai mais que je ne pense pas souvent à m'y référer malheureusement !

Pour ma part, je suis tantôt l'une, quand je suis une nouvelle recette pas à pas, tantôt l'autre, quand je fonctionne à l'inspiration avec ce que j'ai sous la main.

P1020941.JPGCette fois, j'étais dans le deuxième cas. Pas envie d'une soupe malgré le froid. Des haricots verts al dente restaient du repas précédent. Avec quoi les assembler ? Je fais le tour du frigo et je décide de tenter un accord inédit : haricots verts-bresaola-roquefort. Cela me parait tentant malgré une petite crainte que ce soit un peu salé (surtout ne pas rajouter de sel) et je me lance.

C'est très vite fait juste à découper le fromage et la bresaola. Un filet d'huile d'olive et le tour est joué. Qu'en disent les papilles ? C'est tout à fait fameux, pas trop salé, les haricots verts étant en quantité suffisante pour atténuer cela. Voilà un délicieux repas improvisé. Alors, n'hésitons pas à pratiquer la cuisine du frigo en osant des mélanges qui nous font envie.

PS : j'aurais pu ajouter des amandes, accord vu a posteriori chez Julie Andrieu, cela aurait apporté une texture croquante. A noter pour une autre fois

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

27/11/2010

Alimentation et stress avec HEC au Féminin

Fotolia_Ibi.jpgMardi et mercredi derniers, j'animais des ateliers dans le cadre d'HEC au Féminin.

Le thème choisi était "Alimentation et Stress". Sous ce titre plutôt large, j'avais imaginé trois thématiques qui me paraissaient concerner de nombreuses femmes. Nous les avons traités de façon nécessairement superficielle en deux heures mais je crois que cela a amené certaines participantes à réfléchir un peu différemment à leur relation à l'alimentation. Les trois thèmes étaient les suivants :

- Manger stresse : la dictature de la minceur, les injonctions santé permanentes et la cacophonie nutritionnelle auxquelles s'ajoutent maintenant les préoccupations écologiques, tout cela complique l'acte de manger. On a échangé autour des discours en vogue, du poids, des régimes, des croyances et réfléchi à comment manger un peu moins avec sa tête et plus avec son corps pour que la préoccupation alimentaire n'occupe pas tout l'espace mental.

- Le stress fait manger : bien souvent on mange sans faim, pour se détendre, se faire du bien, parce qu'on est tendue. On a travaillé à partir d'exemples concrets autour du décodage des émotions et des façons de les accepter pour ne pas forcément se réfugier dans la nourriture.

- Faire à manger stresse : je m'adressais à des femmes actives, souvent mères de famille, qui rentrent tard, ont des journées chargées et pas toujours l'envie ni le temps de préparer à dîner à hauteur des exigences qu'elles se donnent. Sans compter le manque d'idées, l'impression de monotonie, le frigo parfois un peu vide. Il y a eu un riche échange d'idées, d'astuces, de recettes rapides et je me suis employée à les déculpabiliser de ne pas passer des heures en cuisine.

Tout cela s'est déroulée dans une très bonne ambiance, très participative, avec des femmes de profils très variés avec lesquelles j'ai échangé avec grand plaisir. Merci à HEC au Féminin de m'avoir invitée.

Bien sûr, ces thèmes concernent toutes sortes de femmes, diplômées ou non, avec ou sans enfants, de tous âges et ma préoccupation est de modestement remettre un peu de sérénité dans tout cela.

Image copyright Fotolia_Ibi