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26/11/2010

Agrémentons les surgelés

P1020934.JPGRencontrant beaucoup de femmes qui travaillent, qui rentrent tard, qui culpabilisent de ne pas cuisiner mais qui finissent souvent par gaspiller des légumes frais achetés le week end, je leur suggère d'avoir un petit stock de légumes surgelés parmi ceux qu'elles préfèrent.
Pour ma part, il ne s'agit ni d'acheter des poêlées de légumes toutes faites (dont on ne maîtrise pas l'assaisonnement) ni de servir des légumes juste cuits à la vapeur ou réchauffés au micro-ondes. Mais de trouver un bon mix qui sera vite prêt et agréable à manger. Ce peut être l'assemblage de plusieurs légumes proposés séparément. Ce peut être aussi les mélanges de légumes nature. Ainsi, l'autre soir, il s'agissait d'un mélange de notre fournisseur préféré (P..., n'est-ce pas ?!), une "jardinière de légumes bio" (carottes, haricots verts, petits pois, chou-fleur, pommes de terre) : avec l'ajout par mon chef cuisinier pesonnel d'huile d'olive, d'un peu d'ail, de quelques champignons de Paris émincés qui se trouvaient là, elle est devenue tout à fait savoureuse pour accompagner du bon jambon tranché fin. Et, pour tout dire, bien supérieure à ce que j'aurais imaginé, même si cela n'a pas le croquant du frais. Un repas simple, vite prêt et bon.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

25/11/2010

Un rapport officiel de l'ANSES sur les dangers des régimes

Fotolia_regime2.jpgEnfin un rapport sur les dangers des régimes qui va peut-être nous aider, mes collègues et moi, à convaincre les personnes de ne plus entreprendre de régimes pour perdre du poids mais de travailler à une modification durable de leurs habitudes alimentaires. C'est l'ANSES (ex-AFSSA fusionnée avec l'AFSSET) qui vient de publier ce rapport, basé sur les travaux d'une expertise collective, qui a analysé les principaux régimes en vogue*.

En résumé, la conclusion est que les régimes amaigrissants pratiqués sans les recommandations ni le suivi d'un spécialiste (par exemple les régimes diffusés par les livres ou internet) présentent de nombreux risques pour la santé. Ils perturbent le fonctionnement normal du corps et peuvent avoir un impact sur les os, le coeur, les reins par les privations ou les surconsommations de certains nutriments qu'ils proposent. Ils peuvent aussi entraîner des perturbations psychologiques et des troubles du comportement alimentaire. De plus, le rapport souligne le paradoxe que les régimes entrainent une reprise de poids dans la durée, éventuellement supérieure à la perte (un cercle vicieux à l'origine du fameux yoyo : l'obésité commence parfois par un tout petit régime).

Je vais lire le rapport de façon plus approfondie et vous en reparlerai. D'ores et déjà, une petite remarque aux pouvoirs publics : si autant de personnes se tournent vers internet ou les livres, c'est peut-être qu'ils n'ont pas les moyens de consulter un spécialiste, nutritionniste ou diététicien. A quand un remboursement des consultations de diététique ?!

Le rapport complet "Evaluation des risques liés aux pratiques alimentaires d'amaigrissement" est sur le site de l'ANSES. Il fait 160 pages : si vous voulez un peu moins, il y a un dossier de presse plus synthétique.

*Les régimes qui ont été étudiés sont les plus populaires (en termes de fréquentation internet ou de livres) : Régime du Dr Atkins, Régime Californien du Dr Guttersen, Régime « Citron détox », Régime de la Chrononutrition du Dr Delabos, Régime du Dr Cohen, Régime du Dr Dukan, Régime du Dr Fricker, Régime Mayo, Régime Miami du Dr Agatston, Régime Montignac, Régime du Dr Ornish, Régime Scarsdale du Dr Tarnower, Régime de la Soupe au chou, Régime Weight Watchers, Régime Zone de M. Sears.

19/11/2010

Je vois à manger, je mange...

Avez-vous remarqué que souvent, dans un petit déjeuner de boulot riche en viennoiseries, dans un pot amical ou professionnel, dans un cocktail, beaucoup de personnes mangent alors qu'en fait, elles n'ont pas vraiment faim, que ce ne sont pas forcément leurs aliments préférés. Pourquoi ?

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Cette envie de manger face à la présence d'aliments peut avoir plusieurs raisons et je ne suis sans doute pas exhaustive :
- on est déconnecté(e) de ses sensations de faim et de rassasiement, on ne sait plus trop les distinguer ou on ne les écoute pas. Du coup, on est sensible à des signaux extérieurs et on agit par une sorte de réflexe : à la vue d'aliments, on s'en saisit sans se poser de questions.
- on est occupé(e) à autre chose, on parle, on écoute, on rencontre des personnes, on travaille, ... Tout cela capte notre attention et par conséquent, on mange machinalement...un peu ou beaucoup : on n'y fait pas attention. Et on ne sait même pas trop dire si c'est bon ou non.
- on n'est pas très à l'aise dans ce type de contexte, on cherche à se donner une contenance et pour cela, on fait en sorte d'avoir toujours quelque chose à la main, qu'on mange bien sûr ! Un peu comme on pourrait tenir une cigarette ou un verre.
- on est habituellement en restriction, au régime et c'est dans ce genre d'occasions qu'on oublie ses principes : on se lâche et on mange beaucoup car ce sont des aliments qu'on s'interdit d'habitude et on en a donc soudain très envie (viennoiseries, biscuits apéritif, ...).

Que faire alors ? Surtout, ne pas se focaliser sur ces occasions pour se désespérer et culpabiliser. Cela ne serait sans doute pas très utile. Si on décide de changer ses habitudes alimentaires, ce n'est peut-être pas par là qu'il faut commencer. Mais si on fait un travail pour être davantage à l'écoute de sa faim, des ses envies, de ce qu'on aime vraiment, qu'on sort d'une logique de régimes, qu'on se fait plaisir au quotidien, cela peut progressivement changer aussi la façon dont on vit ces moments-là.

17/11/2010

Les consultations vues par... Carine

Carine répond à trois questions pour témoigner sur la façon dont elle a vécu les consultations, basées sur mon approche de diététicienne pas tout à fait traditionnelle. Je suis touchée par son témoignage comme à chaque fois que je parviens à accompagner une personne sur le chemin d'une nouvelle sérénité alimentaire. Et frappée par l'omniprésence du chocolat !  

Trois questions à Carine, 31 ans, consultante  en entreprise

1. Comment avez-vous vécu cet accompagnement ?

"1h avec Ariane, c'est une parenthèse de sérénité dans notre vie de tous les jours ! Nous sommes très loin des traditionnelles pesées, mesures, congratulations ou réprimandes habituels associés aux régimes. 1h avec Ariane, c'est 1h d'échange et de réflexion sur notre relation à la nourriture, sur notre façon de gérer le stress, nos émotions ... La réflexion se poursuit ensuite au quotidien grâce à des exercices, des astuces et des carnets de bord."

2. Qu'est-ce que cela vous a apporté aujourd'hui ?

"Avant de suivre cet accompagnement, je ne savais pas reconnaître mes émotions et les traitais toutes avec le même remède : le chocolat. Aujourd'hui, j'ai appris à me connaître, à reconnaître mes émotions et par la même occasion à les gérer. Un creux dans le ventre : c'est le stress. Le meilleur moyen de le faire disparaître est de m'atteler sans attendre aux tâches qui me stressent. La gorge nouée : j'ai du chagrin. Le ventre noué : c'est une angoisse. La reconnaître, c'est déjà un peu s'en débarrasser. Grâce à Ariane, j'ai appris à m'écouter, à prendre confiance, à être tolérante avec moi-même. En fin de compte, j'ai perdu 10 kg dans ma tête !"

3. Pourriez-vous donner un exemple de changement concret dans votre façon de manger ?

"Hier, manger était devenu une torture mentale qui occupait mon esprit pendant 90% de mon temps : qu'est-ce que j'ai mangé à mon dernier repas, qu'est-ce que je vais manger au prochain, en fonction de ce que je vais manger au suivant ? Est-ce bien raisonnable ? Attention à ce que je mange !

Aujourd'hui, manger est un plaisir au jour le jour. Je ne pense à mes prochains repas que lorsqu'il y a une invitation ou un bon restaurant, parce que j'anticipe de m'y régaler ... j'en salive d'avance ! Le reste du temps, c'est au moment de m'y préparer que je me demande quelle est mon envie ... et que je me régale, sans arrière pensée.

Par la même occasion, j'ai pu dire adieu aux brûlures d'estomac, ballonnements et autres inconforts que je faisais subir à mon estomac, soit en l'affamant, soit en le surchargeant.  

Une vraie délivrance !"

Vous pouvez lire également les témoignages de Hortense, Yaël, Claire.

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14/11/2010

Pourquoi maigrir vite ?

C'est une question que je me pose souvent quand des personnes me consultent et veulent absolument perdre du poids vite. Rares sont celles qui ont un événement majeur, un mariage, une tenue ou il faut absolument rentrer ... pour justifier cela. Alors pourquoi ?

Est-qu'à partir du moment où l'on a pris la décision de s'occuper de son poids, on ne se supporte plus ?
Est-ce dû à notre monde actuel où tout doit aller vite ?
Est-ce que la perte de poids rapide est le seul indicateur jugé valable de l'intérêt d'une démarche diététique ?

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Mais comment perdre en quelques semaines ces kilos qu'on a le plus souvent accumulés sur des années ? Même des femmes qui ont entrepris de nombreux régimes, qui ont vécu le yoyo correspondant de leur poids, qui se disent "vaccinées" contre les régimes, réclament souvent de la rapidité "pour rester motivées".

Le problème, c'est que maigrir vite, cela veut dire souvent ne pas passer le temps nécessaire sur la compréhension des causes de sa prise de poids. Ne pas prendre un véritable recul sur ses habitudes alimentaires et donc ne pas mettre en place les leviers pour changer réellement sa façon de manger (sans frustration). Et si l'on ne fait pas ce travail, comment maintenir son nouveau poids dans la durée, si ce n'est au prix d'un terrible contrôle ?

Je ne promets pas aux personnes qui viennent me voir qu'elles vont maigrir vite. Je ne leur dis pas que cela va être nécessairement long non plus. Chaque personne a son histoire alimentaire, son environnement, son mode de fonctionnement, son envie de s'écouter davantage et tout cela joue un rôle. Je leur montre au fur et à mesure du travail fait ensemble les changements qu'elles opèrent dans leur comportement pour que cette capacité à changer les soutienne à poursuivre la démarche engagée même si elles ne perdent pas 5 kg en 1 mois !

Et vous, pouvez-vous témoigner sur cette nécessité de maigrir vite ?

10/11/2010

Anticiper, c'est être gourmand (e) !

Anticiper, penser un peu à l'avance à ce que l'on va manger, ce n'est pas forcément être rigide, planificateur ou obsédé (e) par la nourriture. C'est aussi être vraiment gourmand (e).

Car qu'est-ce que cela signifie ? Cela veut dire par exemple :

- garder une place pour le dessert, quand on est amateur de sucré, et donc ne pas arriver au moment du dessert en étant complètement rassasié (e). C'est cela qui permettra de l'apprécier vraiment, d'en tirer tout le plaisir gustatif. Que ce soit au restaurant en regardant la carte côté desserts au début du repas, chez des amis faiseurs de bons desserts en se renseignant sur l'ensemble du menu, ou chez soi, on peut anticiper un peu pour avoir du plaisir de bout en bout du repas et au final, ne pas trop manger.

 Pour ma part, j'aime beaucoup les desserts et je les prends en compte dans la composition du repas. Ainsi, il y a quelques jours, j'ai grandement apprécié un dessert parce que j'avais mangé un plat de taille raisonnable. C'était dans un restaurant de cuisine classique, bien exécutée, "Le Violon d'Ingres". Ce savoureux dessert était une poêlée de fruits de saison avec une brioche perdue et une glace au miel et pignons. Il y avait une compotée de figues, des figues fraîches, des coings délicieusement confits, une boule de glace et un morceau de brioche comme du pain perdu. C'était un dessert consistant et je l'ai apprécié avec beaucoup de gourmandise car j'avais encore de l'appétit pour lui. Si on aime le fromage, c'est pareil, on y pense un peu avant pour avoir encore faim quand il arrive sur la table.

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- faire un repas léger avant un bon dîner pour préserver sa faim et pouvoir d'autant mieux apprécier ce dîner. Il ne s'agit pas de s'affamer, surtout pas, sinon on ne tiendra pas jusqu'au dîner, mais de doser son repas ou un éventuel petit goûter pour avoir suffisamment faim au moment du dîner. Il ne s'agit pas de "faire attention" mais d'être attentif à ses besoins et ses envies. Mettre en phase sa faim et ses occasions de bien manger, c'est avoir encore plus de plaisir gourmand.

- ne pas se jeter sur l'apéritif quand on est invité (e) à dîner. C'est dommage d'arriver à table en n'ayant déjà plus faim car on a dévoré des biscuits apéritif, canapés et autres cacahuètes. Car, le plus souvent, on va manger quand même à table mais sans grand plaisir car on sera déjà rassasié (e). Cela veut dire ne pas arriver affamé (e) à l'apéritif, ne pas manger machinalement en discutant ou en pensant à autre chose, ne pas s'interdire ces aliments car cela augmente le risque de "se lâcher" lorsqu'on se trouve face à eux. Mais on goûte ce qu'on aime et on attend sereinement le dîner (malheureusement, certains apéritifs durent plus d'une heure et je conçois que cela soit un peu difficile mais il y a sûrement autre chose à faire que manger !).

Tout cela, cela veut dire se connaître, se connecter à sa faim pour savoir l'évaluer, adapter ce que l'on mange à son appétit, sans se priver, sans s'affamer. Vous verrez, tout est meilleur quand on a faim. Et quand on ne mange pas trop, on maintient son poids !

09/11/2010

Stop à la peur du chocolat !

Novembre me paraît être la bonne période pour parler de chocolat. Et en manger bien sûr ! Fini le Salon du Chocolat et son battage médiatique qui finit par lasser. Pas encore les fêtes de fin d'année et leur trop-plein alimentaire qui ne donne pas forcément envie de se jeter sur les ganaches, rochers et autres tablettes. En même temps, le temps plus froid et/ou humide peut donner davantage envie de douceur chocolatée solide ou liquide.

Le chocolat est peut-être l'aliment qui fait le plus l'objet d'une relation d'attraction-répulsion. Assez peu d'individus n'aiment pas le chocolat. Mais il fait peur à de très nombreuses personnes : elles craignent de ne pas pouvoir contrôler la quantité consommée et préfèrent donc parfois se priver carrément de cet aliment. D'autres se plient aux recommandations souvent en vogue chez des nutritionnistes : un carré de chocolat chaque jour avec le café ou après le dîner par exemple. Ni plus ni moins. Mais est-il vraiment possible d'avoir exactement la même envie tous les jours à la même heure ? Pourquoi pas deux carrés un jour et aucun une autre fois ? 

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On peut avoir à juste titre envie de chocolat pour se réconforter, se faire plaisir. Mais si on mange ce chocolat avec culpabilité car on croit que c'est un "mauvais" aliment, qu'il va nous faire grossir, on ne trouvera pas ce réconfort et on aura à la place un certain mal-être. Or, savez-vous que deux ou trois carrés de chocolat de taille "normale" comptent moins de calories qu'une pomme ? Que quand on mange du chocolat attentivement en le savourant, on en est vite rassasié (e) et on ne peut vraiment pas finir la tablette ? Alors que la culpabilité au contraire peut conduire à en remanger beaucoup sans forcément l'apprécier. Je fais faire l'expérience régulièrement en consultation ou en atelier et cela change le regard sur le chocolat. Donc mangez du chocolat en vous demandant si vous en avez envie et, si la réponse est oui, dégustez-le avec plaisir.

Il y a de multiples formes sous lesquelles on peut manger du chocolat. Il y a les purs et durs des tablettes fortes en cacao. Il y a les adeptes des bouchées, ganaches , palets, ... de petits ou grands chocolatiers. Et le chocolat est aussi bien sûr un ingrédient majeur de nombreux desserts :
- les crèmes, mousses, glaces, ...
- les gâteaux et assimilés : éclair, mi-cuit, fondant, tarte, marquise, ...

Pour ma part, ma consommation la plus fréquente est la tablette. Mais je suis fort réjouie quand on m'offre une boite d'un de mes chocolatiers favoris. Une bonne mousse bien chocolatée ou un mi-cuit maison sont aussi des gourmandises que j'apprécie beaucoup. Je n'ai pourtant pas envie d'en faire mon quotidien car je raffole de toutes sortes d'autres douceurs, je ne suis pas une exclusive du chocolat. En matière d'éclair, je préfère nettement celui au café. En matière de glaces, le praliné !

Et vous, quelles sont vos pratiques en la matière ? Quelles qu'elles soient, comme je le répète souvent, il est important de manger toutes ces douceurs chocolatées avec un appétit suffisant pour être en mesure de les apprécier, et donc de garder une place si elles arrivent en fin de repas.

Photo copyright Fotolia_Monica Adamczyk

05/11/2010

Trésors du congélo pour déjeuner solo (plaisir gourmand du 4 novembre)

Jeudi midi, déjeuner à la maison, sans trop de temps, entre des consultations et un départ pour les ateliers du Congrès 2010 du GROS (j'y reviendrai). Pas une raison pour mal manger bien sûr, vous commencez à me connaître... J'ai mis la main sur un des trésors (le mot n'est pas trop fort !) de mon congélateur : un reste d'une sublime bolognaise de légumes. Je l'avais mise à décongeler et quand je suis rentrée le midi, j'ai fait cuire les pâtes et réchauffé la sauce. Puis je me suis posée, j'ai saupoudré de parmesan et je me suis régalée. Il faudra que je réinscrive cela au menu d'un prochain repas et que je prépare une nouvelle bolognaise de légumes qui prenne la suite, sûrement un peu différente car avec un autre mélange de légumes de saison.

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NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

04/11/2010

Les oeufs, nos alliés (plaisir gourmand du 3 novembre)

Les oeufs sont vraiment bien pratiques pour dépanner et préparer un repas rapide. De plus, ils sont nourrissants, pas chers et déclinables de multiples façons. Et c'est bon !

Il y a les ultra-classiques : oeuf à la coque et oeuf au plat. A ne pas répéter trop souvent pour ne pas se lasser.
Puis il y a les oeufs vite prêts, qui sont encore mieux avec une garniture, quelle qu'elle soit :

- les oeufs brouillés, BA ba des oeufs : on ajoute un peu de lait ou de crème puis on fait cuire tout doucement et pas trop, pour les servir bien moelleux. Ainsi, mercredi, pour un dîner vite fait, un peu "cuisine du placard", et tout à fait délicieux, il s'agissait d'une assiette composée avec un oeuf brouillé à la ciboulette, une salade d'épinards, quelques pommes de terre, des oeufs de saumon, des toasts.

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- l'omelette ou la tortilla ou la fritatta (omelette plate) qu'on peut garnir avec toutes sortes d'herbes, légumes de saison, fromage, ...

On peut aussi utiliser les oeufs pour un appareil plus complet qui prendra un peu plus de temps :

- une quiche ou pourquoi pas une quiche sans pâte : autant manger un morceau de bon pain en accompagnement plutôt qu'une pâte brisée moyenne. Et on peut faire ainsi une quiche à l'improviste même sans pâte à tarte sous la main. Elle cuit au four de la même façon.

- un flan, un clafoutis, un cake : toutes sortes de variation sont possibles, il y a toujours des oeufs battus et, en quantités variables, de la crème, du lait, éventuellement de la farine. Plus une garniture selon son envie et ce qu'on a sous la main.

Bref, l'oeuf est un aliment à avoir toujours dans son frigo.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

 

01/11/2010

Conférence Beauty Loft : compte-rendu

P1020845.JPGAlexandra Béhêtre, spécialiste de la beauté et organisatrice du Beauty Loft auquel elle m'avait conviée récemment pour une conférence autour de l'alimentation et du corps vient de publier un compte-rendu sur son site. C'est à lire ici. Beauté et poids, c'est très souvent lié dans la tête des femmes. Pour ma part, je suis persuadée qu'on peut se sentir bien, se sentir belle sans se conformer au modèle fourni par les magazines féminins. Et, quelque soit son poids, on peut aussi se mettre en valeur par les vêtements, le maquillage, la coiffure, ... 

Lle site avec plein d'informations autour de la beauté : www.ahealthybeauty.com/