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07/04/2015

Un chou, deux choux, trois choux...on aime !

C'est le printemps mais il reste encore sur les étals (et au congélateur) quelques restes de l'hiver, notamment la famille des choux :

- le chou-fleur, je l'aime depuis fort longtemps, cru ou cuit. J'en avais stocké une bonne quantité au congélateur dernièrement. Dans le cadre de mon déstockage de printemps, j'en ai fait un gratin façon Clotilde Dusoulier, aux noisettes et curcuma (recette de son livre Veggivore, que je compte bien explorer largement saison après saison) : le mariage est très réussi et le plat fut délicieux.

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En balade il y a quelques jours du côté de Terroirs d'Avenir, pourvoyeurs de produits de haute qualité, je m'étais lestée d'un chou style pak choy (origine : le fameux maraîcher Olivier Durand) et deux variétés de choux de Bruxelles (dont une violette). Eh oui, car à force de goûter ce mal-aimé deci-delà dans des plats au restaurant, j'ai fini par le trouver bon, et j'ai eu envie de me lancer à le cuisiner. 

- le chou pak choy, je l'ai juste poêlé (avec quelques feuilles de chou de Bruxelles), et c'était savoureux.

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- les choux de Bruxelles, je comptais les cuisiner un soir où je rentrais fort tard avec un frigo vide... Après avoir reçu diverses suggestions appétissantes via les réseaux sociaux, je les ai préparés simplement et rapidement avec ce que j'avais sous la main, soit une recette d'Esterelle Payani : je les ai blanchis puis cuits, coupés en moreceaux, au four avec huile d'olive et sirop d'érable. Résultat savoureux. Et ce qu'il restait, je l'ai proposé en canapés avec graines germées et parmesan. Bref, un nouvel ami dans ma cuisine, dont je n'ai pas fini d'explorer les possibilités.

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Et vous, dans la famille des choux, lesquels aimez-vous et comment ?

14/09/2012

Le maïs, ce n'est pas trop mon truc...

Eh oui, je suis gourmande, curieuse, passionnée d'alimentation,... mais, comme à peu près tout le monde, il y a des aliments que je ne parviens pas à aimer. Au choix, les olives, malgré de multiples tentatives, la betterave cuite, les choux de Bruxelles (un des aliments les plus mal-aimés quand je sonde mes patients...), ... Et aussi, le maïs, un mets qui ne me réjouit vraiment pas.

Jamais de ma vie je n'ai acheté de maïs, frais ou en boîte. Jamais on n'en mangeait dans ma famille. J'avais dû en goûter à droite à gauche dans des salades mais une de mes premières vraies occasions de me confronter à cet aliment, ce fut lors d'un séjour linguistique aux Etats-Unis quand j'avais 15-16 ans (il y a donc fort longtemps...). J'étais accueillie dans une famille et on a dû manger des épis entiers et chauds, plat facile à faire qu'ils adoraient. Beurk !

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Aujourd'hui, je peux quand même en manger sans faire la dégoûtée mais je ne cours vraiment pas après et j'ai tendance à le laisser de côté quand j'en trouve dans mon assiette. Jamais je n'en mets dans une salade, et je n'en mange pas chaud non plus.

Mais je me demande ce qui me déplait, le goût, la texture ?

Le goût, pas sûr, car j'adore la polenta, j'ai bien aimé du pain au maïs quand j'ai eu l'occasion d'en goûter, j'ai même un très bon souvenir d'une soupe de maïs, mais était-ce dû à son assaisonnement ?

Toutefois, je me demande si je ne serais pas en train d'évoluer un peu. En tout cas, pour supporter le maïs quand il est enrobé. Quelques grains peuvent même me plaire mais pas tout seuls : ainsi, sous forme de tempura chez Guilo Guilo ou sous forme de kushiage (brochette panée) ches Bon, j'ai apprécié.

Je ne connais pas beaucoup de personnes qui n'aiment pas le maïs. Alors vous, vous l'aimez un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout ?

NB : Le maïs est intéressant pour varier l'alimentation des personnes qui ont des (vraies) difficultés avec le gluten puisqu'il n'en contient pas. La polenta ou la farine de maïs permettent de nombreuses déclinaisons.

Photo © yotrakbutda - Fotolia.com
 

09/11/2010

Stop à la peur du chocolat !

Novembre me paraît être la bonne période pour parler de chocolat. Et en manger bien sûr ! Fini le Salon du Chocolat et son battage médiatique qui finit par lasser. Pas encore les fêtes de fin d'année et leur trop-plein alimentaire qui ne donne pas forcément envie de se jeter sur les ganaches, rochers et autres tablettes. En même temps, le temps plus froid et/ou humide peut donner davantage envie de douceur chocolatée solide ou liquide.

Le chocolat est peut-être l'aliment qui fait le plus l'objet d'une relation d'attraction-répulsion. Assez peu d'individus n'aiment pas le chocolat. Mais il fait peur à de très nombreuses personnes : elles craignent de ne pas pouvoir contrôler la quantité consommée et préfèrent donc parfois se priver carrément de cet aliment. D'autres se plient aux recommandations souvent en vogue chez des nutritionnistes : un carré de chocolat chaque jour avec le café ou après le dîner par exemple. Ni plus ni moins. Mais est-il vraiment possible d'avoir exactement la même envie tous les jours à la même heure ? Pourquoi pas deux carrés un jour et aucun une autre fois ? 

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On peut avoir à juste titre envie de chocolat pour se réconforter, se faire plaisir. Mais si on mange ce chocolat avec culpabilité car on croit que c'est un "mauvais" aliment, qu'il va nous faire grossir, on ne trouvera pas ce réconfort et on aura à la place un certain mal-être. Or, savez-vous que deux ou trois carrés de chocolat de taille "normale" comptent moins de calories qu'une pomme ? Que quand on mange du chocolat attentivement en le savourant, on en est vite rassasié (e) et on ne peut vraiment pas finir la tablette ? Alors que la culpabilité au contraire peut conduire à en remanger beaucoup sans forcément l'apprécier. Je fais faire l'expérience régulièrement en consultation ou en atelier et cela change le regard sur le chocolat. Donc mangez du chocolat en vous demandant si vous en avez envie et, si la réponse est oui, dégustez-le avec plaisir.

Il y a de multiples formes sous lesquelles on peut manger du chocolat. Il y a les purs et durs des tablettes fortes en cacao. Il y a les adeptes des bouchées, ganaches , palets, ... de petits ou grands chocolatiers. Et le chocolat est aussi bien sûr un ingrédient majeur de nombreux desserts :
- les crèmes, mousses, glaces, ...
- les gâteaux et assimilés : éclair, mi-cuit, fondant, tarte, marquise, ...

Pour ma part, ma consommation la plus fréquente est la tablette. Mais je suis fort réjouie quand on m'offre une boite d'un de mes chocolatiers favoris. Une bonne mousse bien chocolatée ou un mi-cuit maison sont aussi des gourmandises que j'apprécie beaucoup. Je n'ai pourtant pas envie d'en faire mon quotidien car je raffole de toutes sortes d'autres douceurs, je ne suis pas une exclusive du chocolat. En matière d'éclair, je préfère nettement celui au café. En matière de glaces, le praliné !

Et vous, quelles sont vos pratiques en la matière ? Quelles qu'elles soient, comme je le répète souvent, il est important de manger toutes ces douceurs chocolatées avec un appétit suffisant pour être en mesure de les apprécier, et donc de garder une place si elles arrivent en fin de repas.

Photo copyright Fotolia_Monica Adamczyk

13/10/2010

A chacun son répertoire culinaire (plaisir gourmand du 12 octobre)

Mardi soir, très plaisant dîner japonais composé d'un peu de saumon grillé au sel, un peu de délicieux tofu, des épinards au gingembre, une classique salade concombre-algues, du riz, des tsukemono (légumes saumurés), une soupe miso. Ce type de repas nous réjouit car nous aimons beaucoup (voire passionnément !) les saveurs de la cuisine japonaise.

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Mais si je vous parle d'alimentation japonaise, ce n'est aucunement pour vous y convertir, ou pour vous convaincre que ce serait bon pour vous. A chacun de définir ses propres préférences alimentaires, de partir à la découverte de nouvelles saveurs, de se constituer son répertoire culinaire, issu du répertoire familial ou au contraire très personnel, ou un mélange des deux.
Et vous, quelle cuisine aimez-vous/pratiquez-vous ?

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez une recette détaillée, une adresse,... ou faire une suggestion gourmande.

22/09/2010

Chacun ses goûts ! (plaisir gourmand du 21 septembre)

P1020619.JPGMardi soir, j'ai savouré avec délectation une délicieuse omelette/tortilla de fin d'été aux légumes (tomates cerise, courgette), parmesan, aromates. C'était moelleux et parfumé, tout simple et vraiment bon.

Ce n'aurait peut-être pas été l'avis d'une des participantes de mon atelier de vendredi dernier "Transposer ses talents à l'organisation des repas" pour laquelle une omelette le soir, c'est vraiment trop triste ! Comme quoi tous les goûts sont dans la nature.

Ainsi, hier, une maman s'étonnait des préférences de sa petite fille, adepte notamment de poireaux sans même de vinaigrette ! Ou on me parlait d'une jeune ado qui réclame comme summum du plaisir gustatif des pois gourmands ! Laissons les enfants affirmer leurs préférences alimentaires, souvent très variables au sein d'une même famille, et donc un peu mystérieuses, et encourageons-les en leur faisant découvrir des saveurs multiples, en développant leur curiosité gustative. C'est ce qui leur donnera envie d'avoir une alimentation variée pendant des années.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez une recette détaillée, une adresse,... ou faire une suggestion gourmande.

 

14/06/2010

Aimez-vous la polenta ? (plaisir gourmand du 13 juin)

P1010844.JPGJ'ai déjà raconté ici que la polenta, j'avais commencé par la détester puis fini par beaucoup l'apprécier. Comme quoi, il ne faut vraiment pas rester "scotché" sur ses dégoûts d'enfance et goûter à nouveau les aliments qu'on n'avait pas aimés. Surtout quand on les a goûtés à la cantine, qui est rarement le lieu privilégié de découvertes délicieuses. On pourra avoir des bonnes surprises. J'ai ainsi au fil des ans redécouvert par exemple les navets, les lentilles, les calamars et même les salsifis !

La polenta est un plat très facile à préparer : on cuit la semoule de maïs dans de l'eau, on remue jusqu'à la consistance adéquate (un peu ferme). Ensuite, on peut la compléter avec des légumes ou de la viande. L'important, c'est qu'il y ait une sauce car sinon, la polenta sera un peu sèche.  

Dimanche, il s'agissait d'une polenta végétarienne, associée avec de la tomate, des aubergines, de la mozzarella et du basilic. Des saveurs d'Italie bien agréables.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. N'hésitez pas à poster un commentaire si vous voulez une recette détaillée, une adresse,... ou faire une suggestion gourmande.