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12/11/2010

Quand on aime un pays, on aime sa cuisine - suite

Il y a quelques jours, je parlais de mon goût pour l'Italie et pour la cuisine italienne dont je ne me lasse pas. Mon autre cuisine favorite, c'est bien sûr la cuisine japonaise sous toutes ses formes. Ainsi, jeudi midi, nous nous sommes régalés de saumon teriyaki, accompagné d'une soupe miso, de thé vert et d'un bol de délicieux riz de la région de Niigata que nous avions rapporté (au risque d'un excédent de bagages !) de notre voyage au Japon cet été. Il y avait aussi nos derniers tsukemono (légumes saumurés) d'aubergines, également rapportés du Japon, non seulement délicieux mais particulièrement précieux car on avait failli se les faire confisquer à l'aéroport comme élément "liquide", donc interdit en cabine. Heureusement, on s'en est sortis et on les a savourés peu à peu. Il faudra essayer d'en faire nous-mêmes peut-être car on n'en trouve pas d'aussi bons en France.

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La cuisine japonaise, cela impressionne mais ce n'est pas forcément si compliqué que cela (facile à dire, en général, ce n'est pas moi qui cuisine !). Il suffit de s'y mettre tranquillement et méthodiquement. Ainsi, la sauce teriyaki, c'est un mélange de sauce soja, saké, mirin, sucre (pas obligatoire) que l'on fait réduire, comme si cela caramélisait. Puis on fait un peu cuire le saumon dedans. Elle s'accorde aussi très bien avec le poulet et avec d'autres ingrédients. Vous trouverez notamment des recettes typiquement japonaises sur www.cuisine-japonaise.com

11/11/2010

Comment choisit-on un restaurant ?

Quand on aime manger, en général, on a plaisir à aller au restaurant. Pas tous les jours bien sûr, sinon cela devient une routine, voire une corvée. Pas trop souvent car c'est aussi un grand plaisir de cuisiner et manger chez soi. Mais, quand on habite une grande ville, comment choisir parmi la foule des propositions ? Quels sont les critères de choix ?

Pour ma part, j'en vois plusieurs :
- la proximité : bien sûr, parfois pour des raisons pratiques, on privilégie ce qu'il y a de plus proche. Si on doit faire cela souvent, cela vaut le coup de se renseigner sur les endroits intéressants du quartier et ne pas forcément toujours aller juste au coin de la rue. Je me réjouis que quelques tables correctes aient fleuri depuis quelques années à proximité de chez moi, dans un quartier qui était assez sinistré en la matière : le Café qui parle, Miroir, Alice Pizza, ... Mais cela ne suffit pas. Je préfère m'éloigner un peu pour vraiment me régaler.

- le prix : évidemment, il y a une fourchette de prix qu'on peut/veut s'offrir plus la prise en compte de ce que sont prêts à payer nos compagnons de table. Mais j'essaie que cela ne soit jamais au détriment de la qualité : je préfère un repas dans un très bon restaurant à 40 euros de temps en temps à deux repas très moyens à 20 euros où j'aurai l'impression d'avoir gaspillé mon argent.

- l'originalité de la cuisine : je vais au restaurant pour à la fois bien manger et être surprise, entraînée ailleurs, découvrir des accords de saveurs inédits, manger ce que je ne mange pas chez moi, qu'il s'agisse de la cuisine d'un chef créatif, de cuisines étrangères, de plats qu'on ne sait ou qu'on ne peut pas cuisiner. Un couscous marocain, des tempura japonaises, une vraie pizza italienne sont ainsi des plats que je mange volontiers à l'extérieur.

- la qualité de la cuisine évidemment. En fait, j'aime tout (ou presque !) pourvu que ce soit bon. De beaux ingrédients, bien traités, assaisonnés, présentés, ...

- l'accueil, le service, le cadre : pour moi, ce n'est pas aussi important que ce qu'il y a dans l'assiette mais si cela fait défaut, cela peut carrément gâcher un repas. Serveur désagréable ou inattentif, tables trop serrées, environnement bruyant où l'on ne s'entend pas, tout cela a un impact sur le plaisir de ce moment.

- l'envie du moment. Car on va au restaurant pour se faire plaisir, donc sans dire "je dois faire attention". Quelle tristesse de prendre une triste salade quand les autres se régalent du plat dont on rêvait. En revanche, ce n'est pas parce qu'on est au restaurant qu'il faut trop manger. De ce fait, j'aime bien quand il y a une carte et pas seulement un menu imposé qui risque d'être très au-dessus de mon appétit.

Mais comment on les trouve, ces restaurants qu'on aime ? Le bouche à oreille à condition que cela vienne de quelqu'un qui a a peu près les mêmes goûts que vous, la lecture de guides, sites, blogs de critiques culinaires (que pour ma part je préfère au quidam moyen), le hasard d'une promenade, ...

Quand on repère un lieu qui répond à tous ces critères, on ne le lâche plus. Et souvent plus on y va, plus on l'apprécie car on y est reconnu, bien traité, on a parfois droit à des petites faveurs, ... Mais il ne faut pas pour autant se priver de découvrir de nouvelles adresses pour enrichir peu à peu son carnet d'adresses. Ainsi, on retourne assez souvent chez KGB (Kitchen Galerie Bis) d'autant plus que différents amis souhaitent y dîner avec nous. Mais on a été ravis de découvrir par exemple Saturne et on est impatients d'y retourner.

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Les délicieux Zord'oeuvres de KGB, un festival de saveurs qu'on n'a pas chez soi !

Dans ce registre, je vous livre, outre ceux mentionnés ci-dessus, quelques-unes de mes adresses favorites à Paris (hors restaurants japonais, sur lesquels je reviendrai bientôt). Ce n'est qu'une vision totalement subjective, je ne suis aucunement critique gastronomique, je n'ai pas énormément d'occasions de tester de nouvelles tables, je rate probablement quelques merveilles. Je me rends compte d'ailleurs qu'il y en a qui ne m'ont pas vue depuis longtemps. Mais je ne passe pas ma vie au restaurant !

L'Affriolé, 17 rue Malar, Paris 7eme
Caius, 6 rue d'Armaillé, Paris 17eme
Cibus, 5 rue Molière, Paris Ier
Le Clos des gourmets
Le Cristal de sel
L'Entredjeu, 83 rue Laugier, Paris 17eme
La Fourchette du printemps
Le Gaigne
Maceo ,
 

Et vous, vous avez des restaurants préférés ?

10/11/2010

Anticiper, c'est être gourmand (e) !

Anticiper, penser un peu à l'avance à ce que l'on va manger, ce n'est pas forcément être rigide, planificateur ou obsédé (e) par la nourriture. C'est aussi être vraiment gourmand (e).

Car qu'est-ce que cela signifie ? Cela veut dire par exemple :

- garder une place pour le dessert, quand on est amateur de sucré, et donc ne pas arriver au moment du dessert en étant complètement rassasié (e). C'est cela qui permettra de l'apprécier vraiment, d'en tirer tout le plaisir gustatif. Que ce soit au restaurant en regardant la carte côté desserts au début du repas, chez des amis faiseurs de bons desserts en se renseignant sur l'ensemble du menu, ou chez soi, on peut anticiper un peu pour avoir du plaisir de bout en bout du repas et au final, ne pas trop manger.

 Pour ma part, j'aime beaucoup les desserts et je les prends en compte dans la composition du repas. Ainsi, il y a quelques jours, j'ai grandement apprécié un dessert parce que j'avais mangé un plat de taille raisonnable. C'était dans un restaurant de cuisine classique, bien exécutée, "Le Violon d'Ingres". Ce savoureux dessert était une poêlée de fruits de saison avec une brioche perdue et une glace au miel et pignons. Il y avait une compotée de figues, des figues fraîches, des coings délicieusement confits, une boule de glace et un morceau de brioche comme du pain perdu. C'était un dessert consistant et je l'ai apprécié avec beaucoup de gourmandise car j'avais encore de l'appétit pour lui. Si on aime le fromage, c'est pareil, on y pense un peu avant pour avoir encore faim quand il arrive sur la table.

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- faire un repas léger avant un bon dîner pour préserver sa faim et pouvoir d'autant mieux apprécier ce dîner. Il ne s'agit pas de s'affamer, surtout pas, sinon on ne tiendra pas jusqu'au dîner, mais de doser son repas ou un éventuel petit goûter pour avoir suffisamment faim au moment du dîner. Il ne s'agit pas de "faire attention" mais d'être attentif à ses besoins et ses envies. Mettre en phase sa faim et ses occasions de bien manger, c'est avoir encore plus de plaisir gourmand.

- ne pas se jeter sur l'apéritif quand on est invité (e) à dîner. C'est dommage d'arriver à table en n'ayant déjà plus faim car on a dévoré des biscuits apéritif, canapés et autres cacahuètes. Car, le plus souvent, on va manger quand même à table mais sans grand plaisir car on sera déjà rassasié (e). Cela veut dire ne pas arriver affamé (e) à l'apéritif, ne pas manger machinalement en discutant ou en pensant à autre chose, ne pas s'interdire ces aliments car cela augmente le risque de "se lâcher" lorsqu'on se trouve face à eux. Mais on goûte ce qu'on aime et on attend sereinement le dîner (malheureusement, certains apéritifs durent plus d'une heure et je conçois que cela soit un peu difficile mais il y a sûrement autre chose à faire que manger !).

Tout cela, cela veut dire se connaître, se connecter à sa faim pour savoir l'évaluer, adapter ce que l'on mange à son appétit, sans se priver, sans s'affamer. Vous verrez, tout est meilleur quand on a faim. Et quand on ne mange pas trop, on maintient son poids !

09/11/2010

Stop à la peur du chocolat !

Novembre me paraît être la bonne période pour parler de chocolat. Et en manger bien sûr ! Fini le Salon du Chocolat et son battage médiatique qui finit par lasser. Pas encore les fêtes de fin d'année et leur trop-plein alimentaire qui ne donne pas forcément envie de se jeter sur les ganaches, rochers et autres tablettes. En même temps, le temps plus froid et/ou humide peut donner davantage envie de douceur chocolatée solide ou liquide.

Le chocolat est peut-être l'aliment qui fait le plus l'objet d'une relation d'attraction-répulsion. Assez peu d'individus n'aiment pas le chocolat. Mais il fait peur à de très nombreuses personnes : elles craignent de ne pas pouvoir contrôler la quantité consommée et préfèrent donc parfois se priver carrément de cet aliment. D'autres se plient aux recommandations souvent en vogue chez des nutritionnistes : un carré de chocolat chaque jour avec le café ou après le dîner par exemple. Ni plus ni moins. Mais est-il vraiment possible d'avoir exactement la même envie tous les jours à la même heure ? Pourquoi pas deux carrés un jour et aucun une autre fois ? 

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On peut avoir à juste titre envie de chocolat pour se réconforter, se faire plaisir. Mais si on mange ce chocolat avec culpabilité car on croit que c'est un "mauvais" aliment, qu'il va nous faire grossir, on ne trouvera pas ce réconfort et on aura à la place un certain mal-être. Or, savez-vous que deux ou trois carrés de chocolat de taille "normale" comptent moins de calories qu'une pomme ? Que quand on mange du chocolat attentivement en le savourant, on en est vite rassasié (e) et on ne peut vraiment pas finir la tablette ? Alors que la culpabilité au contraire peut conduire à en remanger beaucoup sans forcément l'apprécier. Je fais faire l'expérience régulièrement en consultation ou en atelier et cela change le regard sur le chocolat. Donc mangez du chocolat en vous demandant si vous en avez envie et, si la réponse est oui, dégustez-le avec plaisir.

Il y a de multiples formes sous lesquelles on peut manger du chocolat. Il y a les purs et durs des tablettes fortes en cacao. Il y a les adeptes des bouchées, ganaches , palets, ... de petits ou grands chocolatiers. Et le chocolat est aussi bien sûr un ingrédient majeur de nombreux desserts :
- les crèmes, mousses, glaces, ...
- les gâteaux et assimilés : éclair, mi-cuit, fondant, tarte, marquise, ...

Pour ma part, ma consommation la plus fréquente est la tablette. Mais je suis fort réjouie quand on m'offre une boite d'un de mes chocolatiers favoris. Une bonne mousse bien chocolatée ou un mi-cuit maison sont aussi des gourmandises que j'apprécie beaucoup. Je n'ai pourtant pas envie d'en faire mon quotidien car je raffole de toutes sortes d'autres douceurs, je ne suis pas une exclusive du chocolat. En matière d'éclair, je préfère nettement celui au café. En matière de glaces, le praliné !

Et vous, quelles sont vos pratiques en la matière ? Quelles qu'elles soient, comme je le répète souvent, il est important de manger toutes ces douceurs chocolatées avec un appétit suffisant pour être en mesure de les apprécier, et donc de garder une place si elles arrivent en fin de repas.

Photo copyright Fotolia_Monica Adamczyk

08/11/2010

Les fêtes, ça se passe souvent à table...

Dimanche, c'était mon anniversaire. Etant gourmande, c'est normal de le fêter en partie à table. Mais je suis loin d'être la seule bien sûr. En France, il est en effet rare qu'une occasion festive n'ait pas son volet nourricier, qu'il s'agisse de fiançailles, mariage, anniversaire, Noël, ... et même des enterrements. Car manger, c'est du partage, de l'échange, de la complicité, du réconfort, ... Malheureusement, parfois aussi du stress quand on restreint sa façon de manger et qu'on craint de trop manger.P1020864.JPG

Ce n'est pas mon cas. Dimanche, c'était donc un déjeuner de fête maison concocté par mon cher chef à domicile, qui m'a ravie. Six huîtres toutes douces en entrée puis un merveilleux filet de bar arrosé d'un peu d'huile d'olive, accompagné de "mignardises" de légumes : épinards, tomates cerises grillées, petit gratin de courgettes.  P1020866.JPGOn a enfin terminé simplement avec un peu de ricotta avec du miel. Que de bonnes choses ! Certains diront peut-être que c'était raisonnable, cela ne l'est pas pour moi, c'est tout ce que j'aime (entre autres). Et la fête continue aujourd'hui dans un autre contexte !

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07/11/2010

Les plaisirs gourmands ont un an !

Les plaisirs gourmands ont un an. En effet, c'est le 7 novembre 2009, à l'occasion d'un déjeuner d'anniversaire, que je décidais de vous donner chaque jour un plaisir gourmand personnel. Pas d'égocentrisme dans cette démarche ni de volonté de donner à voir un modèle alimentaire. Mais une envie de vous montrer de facon concrète que le plaisir de manger, qui est au coeur de ma pratique de diététicienne, peut faire partie du quotidien et n'est pas réservé aux fêtes, week ends, invitations... De vous inciter à être vous-mêmes gourmand(e)s le plus souvent possible.

A l'époque, je m'étais fixé de tenir pendant un an. Histoire de créer une dynamique pour être présente plus souvent sur mon blog qui à l'époque somnolait un peu, Je n'étais pas sûre d'y parvenir. Cela me semblait nécessiter une certaine discipline. Un an après, pari réussi, je peux le dire. Hormis quelques périodes de vacances, j'ai été fidèle au rendez-vous chaque jour. La fréquentation de ce blog n'a cessé de progresser (cf courbe du nombre de pages vues ci-dessous) notamment grâce à ces plaisirs gourmands quotidiens. Accros de la cuisine ou adeptes du manger simple, vous semblez les apprécier d'après vos commentaires. Je vous en remercie sincèrement. Je suis vraiment très heureuse quand ce que j'écris ou montre vous intéresse, vous donne des idées, voire vous fait saliver ! En ce qui me concerne, ils m'ont donné confirmation que mes habitudes alimentaires étaient vraiment variées au fil des envies, des saisons, des occasions.

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Eh bien, au risque de décevoir peut-être certain(e)s, j'ai décidé de changer ! Car je déteste la routine et je ne veux pas que cela puisse le devenir. Les plaisirs gourmands ne vont pas disparaître bien sûr, car j'ai plaisir à les partager avec vous. Ils seront encore souvent là mais ils ne seront plus quotidiens. Je me fixe une nouvelle étape : continuer à être présente (quasiment) tous les jours, mais avec une variété de thèmes : outre les plaisirs gourmands, vous donner plus souvent des informations sur l'actualité de l'alimentation, des réactions sur des événements ou des lectures, des éclairages sur des aliments, des réflexions sur la relation à l'alimentation,... Bref, encore plus de variété gourmande ! J'espère que vous me suivrez dans cette voie.

Quand on aime un pays, on aime sa cuisine (plaisirs gourmands des 5 et 6 novembre)

Vous êtes d'accord, non ? Quand on aime un pays, on s'intéresse à sa culture, ses traditions, ses coutumes et, en général, la cuisine, la façon de manger, les aliments sont au coeur de ces pratiques. Pour ma part, j'aime énormément l'Italie et le Japon et je me délecte de leurs cuisines.

Ainsi, après ma bolognaise de légumes jeudi, c'était un peu Italie non stop vendredi et samedi, pour mon plus grand plaisir. Vendredi soir, il s'agissait d'un dîner professionnel dans un restaurant italien du 15eme, plutôt bon, le Fontanarosa, où j'ai notamment apprécié de très moelleuses et fondantes aubergines à la parmesane.

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Mais je ne vais pas très souvent dans des restaurants italiens car j'ai un peu ce qu'il y a de mieux à la maison ! C'était le cas samedi soir avec de succulents fusilli aux crevettes et courgettes. Un peu étonnée de voir des courgettes en ce moment, sans doute la fin d'une saison très douce. C'est un classique des pâtes en Italie et c'était très goûteux, je me suis régalée.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

05/11/2010

Trésors du congélo pour déjeuner solo (plaisir gourmand du 4 novembre)

Jeudi midi, déjeuner à la maison, sans trop de temps, entre des consultations et un départ pour les ateliers du Congrès 2010 du GROS (j'y reviendrai). Pas une raison pour mal manger bien sûr, vous commencez à me connaître... J'ai mis la main sur un des trésors (le mot n'est pas trop fort !) de mon congélateur : un reste d'une sublime bolognaise de légumes. Je l'avais mise à décongeler et quand je suis rentrée le midi, j'ai fait cuire les pâtes et réchauffé la sauce. Puis je me suis posée, j'ai saupoudré de parmesan et je me suis régalée. Il faudra que je réinscrive cela au menu d'un prochain repas et que je prépare une nouvelle bolognaise de légumes qui prenne la suite, sûrement un peu différente car avec un autre mélange de légumes de saison.

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NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

04/11/2010

Les oeufs, nos alliés (plaisir gourmand du 3 novembre)

Les oeufs sont vraiment bien pratiques pour dépanner et préparer un repas rapide. De plus, ils sont nourrissants, pas chers et déclinables de multiples façons. Et c'est bon !

Il y a les ultra-classiques : oeuf à la coque et oeuf au plat. A ne pas répéter trop souvent pour ne pas se lasser.
Puis il y a les oeufs vite prêts, qui sont encore mieux avec une garniture, quelle qu'elle soit :

- les oeufs brouillés, BA ba des oeufs : on ajoute un peu de lait ou de crème puis on fait cuire tout doucement et pas trop, pour les servir bien moelleux. Ainsi, mercredi, pour un dîner vite fait, un peu "cuisine du placard", et tout à fait délicieux, il s'agissait d'une assiette composée avec un oeuf brouillé à la ciboulette, une salade d'épinards, quelques pommes de terre, des oeufs de saumon, des toasts.

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- l'omelette ou la tortilla ou la fritatta (omelette plate) qu'on peut garnir avec toutes sortes d'herbes, légumes de saison, fromage, ...

On peut aussi utiliser les oeufs pour un appareil plus complet qui prendra un peu plus de temps :

- une quiche ou pourquoi pas une quiche sans pâte : autant manger un morceau de bon pain en accompagnement plutôt qu'une pâte brisée moyenne. Et on peut faire ainsi une quiche à l'improviste même sans pâte à tarte sous la main. Elle cuit au four de la même façon.

- un flan, un clafoutis, un cake : toutes sortes de variation sont possibles, il y a toujours des oeufs battus et, en quantités variables, de la crème, du lait, éventuellement de la farine. Plus une garniture selon son envie et ce qu'on a sous la main.

Bref, l'oeuf est un aliment à avoir toujours dans son frigo.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

 

03/11/2010

Kaki d'automne (plaisir gourmand du 2 novembre)

P1020858.JPGLes Japonais mangent peu de desserts. Leurs pâtisseries se consomment avec le thé en dehors des repas. En général, on fait de même quand on mange japonais. Mais il y a des exceptions.

Ainsi, mardi soir, après un repas japonais de riz et de poisson, quel plaisir de savourer un kaki en pleine maturité. C'est la saison de ce fruit qui est très consommé au Japon en automne. Il était délicieux car moelleux, fondant, sucré, juteux, parfumé. En profiter d'urgence, cela pourrait vous changer un peu des pommes et des poires et surtout c'est à consommer très très mûr.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

21:54 Publié dans Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : automne, fruits, japon, dessert, alimentation, suivre les saisons | |  Facebook | |  Imprimer