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10/03/2011

Connaissez-vous le donburi ?

Mercredi soir, direction Japon avec un donburi. Il s'agit d'un plat japonais très courant, vite prêt, composé d'un bol de riz nature sur lequel on dépose toutes sortes d'ingrédients qu'on mange avec le riz. Un grand classique des donburi est par exemple le oyako-don : du riz recouvert de poulet et d'oeuf (le nom signifie parents et enfants...). Cet oyakodon est aussi décliné de façon maritime avec saumon et oeufs de saumon.

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Notre donburi de mercredi soir comprenait du saumon cuit, des oeufs de saumon, de l'omelette, des algues nori, du gingembre mariné. Prendre des petites bouchées de plusieurs ingrédients avec ses baguettes permet d'avoir des saveurs variées et c'est délicieux. 

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne régulièrement un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

08:09 Publié dans Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : alimentation, cuisine, japon, donburi, riz, repas rapide | |  Facebook | |  Imprimer

09/03/2011

Le poisson, mille façons de le préparer

alimentation, nutrition, poisson, cuisine, espadon, philippe delacourcelleEn ce moment, je me plonge dans mes recettes de poisson en vue d'un atelier. Et il y a vraiment des façons de préparer du poisson faciles et rapides. Saumon, espadon, cabillaud, sole, ... se prêtent à des variations multiples et pas besoin d'être expert(e) en cuisine. Ainsi, j'ai préparé de l'espadon en croûte de pavot, une recette de Philippe Delacourcelle, chef passionné d'épices (chef du restaurant le Pré Verre à Paris). C'est vraiment très simple (on enrobe la tranche d'espadon de graines de pavot avant de la cuire), c'est joli, original, bon, cela craque sous la dent. Accompagné de fenouil au citron vert et à l'huile de noisette, c'était un plat très plaisant.

Dans un autre style, il y a quelques jours, j'ai cuisiné des filets de sole avec un mélange poireaux-champignons, c'était très différent et délicieux aussi.

Alors, n'ayez pas peur de cuisiner le poisson si vous aimez cela, ce n'est pas plus compliqué que le reste.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne régulièrement un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

 

07/03/2011

La cuisine, c'est de la transmission

Au menu ce dimanche, un risotto, concocté par mon chef personnel ;) Il s'agissait d'un risotto au veau et à la tomate, issu de sa tradition familiale italienne. La recette s'est transmise de génération en génération, par la parole et le geste, chacun y apportant sa petite touche personnelle pour l'améliorer encore.  C'était vraiment succulent, avec un parfait équilibre des goûts et des textures, et tout à fait digne d'un repas du dimanche.

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Le risotto se prépare. Concentration !

Ne croyez pas que le risotto soit un plat compliqué, comme on le pense souvent. C'est juste un plat qui demande un peu d'attention (même si on n'est pas obligé de le remuer non stop), des ingrédients adéquats (un riz italien arborio ou carnaroli notamment) et quelques principes, comme par exemple de laisser reposer le riz couvert juste avant de servir ("mantecare"). Il est donc accessible à tous. La recette de base est par exemple bien expliquée dans le livre "Trattoria" de Patricia Wells.

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Le risotto est servi. Dégustons !

Petit conseil : vous l'apprécierez d'autant plus si vous le présentez en dôme pour qu'il reste bien chaud tout au long de la dégustation, que vous commencez à le manger par l'extérieur et avec une cuillère plutôt qu'une fourchette.

Rassurez-vous, la transmission familiale n'est pas un passage obligé pour cuisiner et il n'y a pas d'âge pour s'y mettre, même si on part de loin, en commençant par des plats simples, des ingrédients qu'on aime. On peut ainsi se construire son propre répertoire culinaire en étant curieux, impliqué et sans complexe. Ainsi, la quasi-totalité des plats que je cuisine ne figurait absolument pas au menu des repas familiaux de mon enfance ! Mais je sais gré à mes parents de m'avoir transmis le goût des bons produits.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne régulièrement un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

03/03/2011

Pourquoi pas un hamburger de temps en temps ?

Récemment, je lisais un résumé d'une déclaration d'un prestigieux boucher parisien, Hugo Desnoyer : "mangeons moins de viande mais de la bonne !".

C'est tout à fait ma philosophie : je ne mange pas énormément de viande, notamment de viande rouge (vous avez dû constater que ce n'est pas ce qui revient le plus souvent sur ce blog). Mais je n'ai rien contre et donc, quand j'en mange, j'aime autant qu'elle soit bonne.P1030205.JPG

C'est dans ce but que je suis volontiers allée goûter ce que certains semblent appeller "le meilleur hamburger de Paris". Je ne peux pas être juge moi-même, je n'en connais pas assez. Il s'agit du hamburger du Bar des Variétés, bistrot traditionnel du Passage des Panoramas dans le IIeme. On peut goûter ce hamburger le midi dans une formule très raisonnable (autour de 10 euros) avec une salade aux noix en entrée. La viande du hamburger, issue de boeuf de Salers, est bien grillée, moelleuse et cuite parfaitement. Elle est servie dans un bon bun chaud avec une fondue d'oignon et des pommes sautées en accompagnement. Le tout était bon et copieux, j'ai laissé une bonne partie des pommes de terre. Un bon hamburger mais probablement parmi d'autres, je vous laisse juges si vous êtes connaisseur/se. 

Pendant qu'on y est, petits rappels à propos de la viande :
- on n'a aucunement besoin de manger de la viande deux fois par jour ;
- il est souhaitable de varier les viandes et de ne pas manger que des entrecôtes !
- on peut se passer de viande si on a d'autres apports en protéines (poisson, oeufs, charcuterie, tofu, ...) (sans parler des végétariens) mais la viande rouge est toutefois un des quelques aliments qui fournissent un bon apport en fer bien absorbé. Ne pas en manger du tout, ce que font de nombreuses femmes, peut entraîner une carence en fer et de l'anémie. Il peut être utile quand on est dans ce cas de faire vérifier cela ponctuellement en demandant une analyse à son médecin généraliste.

Donc, de la viande oui mais surtout de la variété !

Le Bar des Variétés, 12 passage des Panoramas, Paris IIème,

02/03/2011

Pas d'idée de repas ? Direction internet !

alimentation, cuisine, ester kitchen, laure kie, cuisine japonaise, salade, saumon fumé, cuisine du placardProblématique du jour : je voudrais utiliser du saumon fumé qui stationne dans mon frigo + je veux préparer un dîner très rapide. Pas de panique, je me souviens avoir repéré récemment une recette de salade fort appétissante sur le blog gourmand Ester Kitchen. Je retrouve la recette de base, rien de compliqué. C'est en fait une recette de Laure Kié, franco-japonaise dont j'apprécie le livre "Mes petits bentos".

Il y a de la poire, de l'avocat, du parmesan et de la sauce ponzu (une sauce japonaise à base de sauce soja et de jus de yuzu, on peut utiliser à la place de la sauce soja et du jus de citron). On peut y ajouter donc du saumon fumé. Je n'avais pas la recette exacte, juste les ingrédients, j'ai fait au feeling. Le résultat était un délice de saveurs sucrées-salées, de texture moelleux-fondant. A refaire vite ! 

Il est clair qu'internet a permis ainsi un partage, un développement, une multiplication, voire peut-être une overdose, de recettes de cuisine. Alors, peut-on encore vraiment dire qu'on ne sait pas quoi faire à manger ?!

NB : un billet sur quelques blogs que je visite, paru cet été

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne régulièrement un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

01/03/2011

Une place pour le dessert

Garder une place pour le dessert : voilà un principe important pour qui, comme moi, aime les desserts et souhaite donc les apprécier à leur juste valeur. Car, quand on prend un dessert alors qu'on n'a déjà plus faim, non seulement on alourdit son compteur calorique alors que les besoins énergétiques du corps sont comblés, mais en plus, on n'est plus à même d'en apprécier pleinement le goût.

J'apprécie donc les restaurants où les desserts sont précisés sur le menu dès le début du repas, ce qui me permet éventuellement de composer mon repas en fonction de mon envie d'un dessert attirant. Si le plat s'avère plus consistant que prévu, je ne me force pas, je partage peut-être ou je me dis que ce sera pour une autre fois...

Il y a quelques jours, nous faisions un repas de fête dans un de nos restaurants favoris, la Kitchen Galerie Bis (KGB). Un restaurant qui propose une carte à tiroirs et qui accepte donc sans problème toutes les fantaisies dans la composition de son menu. Il se trouve que ce jour-là, la partie desserts était fort attirante, alors que les plats me paraissaient plus classiques. J'ai donc opté pour 6 Z'ors d'oeuvre, une spécialité de la maison, un ensemble de six petits plats, pour me réserver pour non pas un mais deux desserts !

Pas de problème, comme je vous le répète souvent, l'équilibre ne se fait pas sur un repas. Et je ne fais pas ce type de repas tous les jours bien sûr !

Les Z'hors d'oeuvre étaient un régal, un festival de saveurs, de couleurs, de parfums, avec notamment un ravioli de tourteau, un velouté de topinambour avec émulsion de coquillage, une croquette de lapin, ..

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Et j'avais donc encore un bon appétit pour mes desserts :

- une pomme rôtie et confite, cassis et glace gingembre, une explosion de douceur (très sucrée !) fondante relevée par l'acidité du cassis et le piquant du gingembre ;

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- une panacotta à la noix de coco et crème au gianduja (que j'ai eu la bonne grâce de partager avec un autre amateur !), deux de mes parfums favoris.

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Je me suis régalée de bout en bout et suis sortie sans aucune sensation d'excès.

Et vous, vous arrive-t-il de composer votre repas en fonction du dessert ?

Kitchen Galerie Bis, 25 rue des Grands Augustins, Paris 6ème

 

27/02/2011

En mars, pas de régime, plutôt manger avec sérénité et gourmandise !

Mars : ça y est, les couvertures de magazines vantant le dernier régime sont déjà là. Ne cédez surtout pas au chant de ces sirènes, les régimes, cela ne marche pas, c'est prouvé ! 
Alors, dans cette période cruciale, pour aider certaines personnes à résister à cette tendance et avoir une relation sereine et gourmande à l'alimentation sans problème de poids, j'anime des ateliers sur divers thèmes, toujours de façon très interactive, avec un nombre de participants limité.
 
SPECIAL HOMMES – LA BRIOCHE N’EST PAS UNE FATALITE ! - Jeudi 3 mars de 19h00 à 21h00
 
Les hommes n’ont pas la même relation à l’alimentation et au corps que les femmes et sont (jusqu’à quand ?) moins adeptes des régimes. Mais, au fil des années, le manque de temps pour faire du sport, les déjeuners professionnels un peu trop copieux, les pots entre amis, … amènent quelques kilos bien localisés. Comment réagir en restant gourmand ?
 
BIEN MANGER QUAND ON EST FREELANCE - Vendredi 11 mars de 8h30 à 10h30Si vous travaillez en indépendant(e ), seul (e), chez vous, beaucoup, un peu de tout ça peut-être, cela ne vous laisse pas beaucoup de temps pour penser à votre alimentation. Du coup, vous êtes davantage abonné(e) au sandwich ou au paquet de biscuits qu'à des repas dignes de ce nom. Au risque de voir la forme s'effriter ou les kilos s'installer. Un atelier interactif pour apprendre à concilier emploi du temps intense et plaisir de manger sain sans passer des heures en cuisine.

JE MANGE QUAND JE SUIS STRESSE/E... QUE FAIRE ? - Jeudi 17 mars, de 19h00 à 21h00

Nous vivons dans un monde stressant : le travail, la famille, les amis, les contraintes de la vie quotidienne : on veut tout faire, on court, on s'énerve, on vit sous pression. Et souvent, on trouve de la détente et du réconfort dans l'alimentation. Il s'agira de comprendre ce qui nous stresse, d'apprendre à mieux gérer son stress et ses émotions sans que cela se transforme en grignotage de compensation au bureau ou le soir en rentrant, de trouver des moyens de ne pas ajouter le stress d'un repas pris à toute vitesse à la tension du travail, ...  

TRANSPOSONS NOS TALENTS A L'ORGANISATION DES REPAS (Spécial femmes actives)  - Jeudi  24 mars de 19h00 à 21h00

Nombreuses sont celles qui gèrent admirablement une carrière réussie, des responsabilités, avec un grand talent d'organisation, de préparation, d'animation, ... bien souvent, les mêmes se retrouvent fort démunies quand il s'agit des repas à la maison. Presque rien dans le frigo, des enfants ou un mari qui demandent "qu'est-ce qu'on mange ce soir ?" ou qui geignent "Encore la même chose !". Et cela peut les entraîner dans des abîmes de culpabilité. Conseils et astuces pour être plus sereine et efficace quant à la gestion des repas.

ALIMENTATION  ET STRESS - Vendredi  25 mars de 14h00 à 17h00

Les liens sont nombreux entre alimentation et stress. Prenez une après-midi complète pour faire le point sur votre relation à l'alimentation autour de trois thèmes clés (manger stresse / faire à manger stresse / le stress fait manger) et repartir plus sereine et armée d’astuces (participation 50 euros).

 Participation aux ateliers 30 euros sauf indication contraire

26/02/2011

Stop à la culpabilité ! (je suis paresseuse, j'assume)

Stop à la culpabilité qui envahit trop de femmes qui ont l'impression qu'elles ne sont pas les modèles de perfection qu'elles imaginent devoir être. Et assumons notre quota de paresse.

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OUI, je suis paresseuse, je suis comme toutes les femmes, je n'ai pas toujours l'envie ou le courage de passer des heures en cuisine même si je suis gourmande.
Alors, j'avoue :
- OUI, j'utilise parfois des légumes Picard déjà épluchés et découpés (surtout les oignons pour ne pas pleurer !). En plus, ils sont plus riches en vitamines et pas plus chers ;
- OUI, il m'arrive d'acheter de la salade en sachet par flemme de l'éplucher le soir à 20h. Et il y a des mélanges originaux très parfumés ;
- OUI, je me réjouis que mon conjoint soit un excellent cuisinier et prenne sa part des dîners de semaine, de sorte que je n'aie pas à cuisiner tous les jours ;
- OUI, je suis contente quand on fait un dîner pâtes, non seulement parce que j'adore ça mais aussi parce que c'est facile et rapide ;
- OUI, quand je fais de la soupe le dimanche, j'en garde pour le lundi soir et je ne suis pas mécontente que cela m'évite de cuisiner,
- OUI,  j'ai un énorme stock de recettes mais ce n'est pas un soir de semaine que je vais me lancer dedans, je les garde pour le week end, et encore ! 
- OUI, quand une recette me plait, je regarde d'abord la longueur du texte et c'est un critère éliminatoire. Je ne suis pas une de ces cuisinières accro qui peuvent passer 4 heures à faire un gâteau multi-couche !

Mais je ne suis pas prête à tout quand même par paresse. En revanche,
- NON, je n'achète pas de plats préparés (sauf cas exceptionnel pour faire une expérience),
- NON, je ne me fais jamais livrer de pizzas, sushis, ...
- NON, je ne vais pas au restaurant pour dépanner mais uniquement par plaisir.

Et vous, où se situe votre (éventuelle) paresse ? Et l'acceptez-vous ?

Image © piumadaquila.com - Fotolia.com

24/02/2011

Bento tout vert poulet et soba

P1030211.JPGTroisième (et provisoirement dernier) épisode de mon feuilleton autour du poulet. Cette fois, comme il me restait des morceaux de poulet cuit, nature, j'ai pensé à une salade de soba au poulet. Je me suis inspirée d'une recette d'un nouveau livre* et je l'ai adaptée avec ce que j'avais. Il y avait finalement beaucoup de légumes (haricots verts, pois gourmands, pousses d'épinards, dés de concombre) alors cela a donné un bento tout vert. Cela avait beaucoup de goût, notamment grâce à une sauce au miso (miso, sauce soja, vinaigre de riz, graines de sésame) et à un peu de gingembre mariné émincé (on n'y pense pas très souvent et cela ajoute une note piquante et rafraîchissante très agréable).
C'était absolument délicieux, plein de saveurs et de textures variées, et très différent des deux autres bentos : je me suis régalée !

*Un livre sur lequel je suis tombée par hasard, traduit de l'anglais, "La cuisine japonaise de Kimiko", une japonaise installée depuis longtemps en Grande-Bretagne. Ce n'est pas vraiment de la pure cuisine japonaise mais plutôt une cuisine japonaise revisitée, adaptée. Sans l'avoir approfondi pour l'instant, il m'a intéressée par plein de recettes qui m'ont paru appétissantes et simples.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne régulièrement un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

 

23/02/2011

Bento poulet très japonais !

alimentation, bento, lunchbox, cuisine japonaise, poulet teriyakiSuite de ma série sur le poulet à toutes les sauces. Cette fois, après le tagine de poulet, je suis partie sur un grand classique japonais : le poulet teriyaki. La sauce teriyaki, qu'on utilise aussi pour le poisson, est une sauce à base de sauce soja, saké, mirin, qu'on fait chauffer et réduire avant d'en napper le poulet. C'était accompagné d'un délicieux mélange poireaux et champignons qui a absorbé volontiers le reste de sauce, et bien sûr de riz japonais. Du facile, du classique, de l'hivernal !

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne régulièrement un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.