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17/12/2015

Echos de mon ego !

Eh oui, en cette fin d'année approchante, un petit billet totalement auto-centré avec quelques liens vers des gentilles personnes qui m'ont interviewée, si cela vous dit d'en savoir un peu plus sur mes goûts :

Le cher duo, fin gastronome, du Grumeau, avec qui j'ai le plaisir trop rare de déjeuner de temps en temps, m'a passée à la question jusqu'à l'étrange exercice d'imaginer mon dernier repas...

L'étonnante et remuante Parisienne Sans Gènes, que j'ai eu le plaisir de rencontrer autour d'un bon déjeuner chez Fulgurances, m'a demandé pléthore d'adresses ici et ailleurs et d'autres choses encore...

La charmante et éclectique Sophie m'a incluse dans sa drôle de série Fromage et Féminisme.

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Mes lunettes qu'on repère souvent des réseaux sociaux à la "vraie vie" mais projet d'en changer ;-)


Tout ça, c'était en décembre.

Mais du coup, période de rétrospective oblige, j'ai voulu retrouver un peu où j'avais parlé à droite à gauche durant l'année, peut-être en avais-je déjà évoqué certains. Et j'ai eu la surprise, merci google, de trouver aussi mon nom dans quelques endroits insoupçonnés... toujours en lien avec mon activité, rassurez-vous !

Petit panorama :

Le printemps avait été prolixe.

En mars et avril, en deux épisodes, Yumi, créateur de jus, m'a interviewée sur ma vision de l'alimentation moderne, et a ainsi évoqué la voie du milieu et les repères alimentaires

Je découvre qu'en avril encore, un blog minceur me cite en reprenant un vieux billet sur les buffets...

Toujours en avril, Marie-France m'avait demandé pourquoi tant de femmes sont si accros aux régimes...

Il y avait eu aussi le blog Tryndo me demandant mon avis sur le sans gluten...

...et L'Express qui m'a demandé de réagir sur le sans sucre.

Je m'aperçois qu'en juin, le site Femme Actuelle m'a sélectionnée dans le top 10 des meilleurs blogs minceur..., moi qui ne prône surtout pas la minceur à tout prix mais l'acceptation de soi et de la diversité corporelle...

Parlons un peu des hommes aussi, en juin, je participais à la demande d'un journaliste de Slate.fr à une parodie de défense du "dad bod".

Voilà, voilà, bonne lecture ! et si vous avez des questions alimentaires auxquelles vous ne trouvez pas de réponse sur ce blog, posez-les !

14/12/2015

Vive les livres qui parlent cuisine, aliments et pas seulement recettes...

Bon, on se rapproche à grands pas des fêtes de fin d'année, alors je fais comme tout le monde, je vais parler un peu livres... Car, ne nous le cachons pas, la période est propice aux cadeaux mi-plaisir mi-utilité que peuvent être les livres culinaires. Mais on peut trouver bien d'autres occasions pour (s')offrir des livres. Ce que je fais...

Récemment, plusieurs livres m'ont réjouie car il ne s'agissait pas seulement de livres de recettes. En effet, il en va pour moi des livres comme des revues culinaires : j'aime qu'il y ait de la "chair", des informations, des histoires... autour des recettes.

1. C'est le cas dans la très belle et richement fournie Encyclopédie de la Cuisine Végétarienne d'Esterelle Payani. Je suis impressionnée par la masse de travail que cela a dû représenter, surtout que je connais le perfectionnisme de l'auteure... Avant même de passer en cuisine, on se délecte de tout ce qu'on peut y découvrir. Il y a des informations sur tous les aliments de la sphère végétale, classés par familles, un large éventail de techniques (certaines qu'on a pu observer dans d'autres livres de cuisine végétarienne, d'autres plus rares) comme faire un lait végétal, cailler du fromage, préparer une chantilly de noix de coco...

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C'est déjà une grande richesse du livre. Mais le plus intéressant est peut-être le panorama des richesses de la cuisine végétarienne à travers les pays et les cultures. Car le végétarisme est aussi bien présent dans de nombreux pays d'Asie qu'en Europe, dans la bassin méditerranéen, ... On voyage ainsi d'une culture à l'autre avec curiosité et l'envie de passer en cuisine pour en découvrir davantage dans son assiette. Et, pour chaque recette, on a un renvoi aux techniques utilisées, ce qui est bien pratique si on débute dans la cuisine végétale. Le livre bénéficie par ailleurs de très belles photos. Petit bémol justement : ce n'est pas le format de livre que j'aime le plus emporter en cuisine... Un livre de référence vraiment utile si on a envie de diminuer sa consommation de viande et poisson.

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Les recettes : déjà savourées, les pâtes de sarrasin aux brocolis et ume. Hier soir, le "curry de pois chiches au chou-fleur, patate douce et lait de coco", accompagné de riz et de coriandre, fut un délice. Et, dans mon viseur hivernal, le "Mac'n'cheese au chou-fleur", la "soupe de quinoa", le "gâteau de millet aux choux de Bruxelles, butternut et noix de Pécan"...

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2. J'ai découvert par hasard à la Librairie Gourmande le livre Cuissons de Keda Black. Un livre vraiment atypique au rayon culinaire, par son format, ses photos, son organisation. Là encore, les recettes ne sont pas forcément le cœur du livre qui révèle bien d'autres richesses. L'idée est de nous faire découvrir les facettes des différents modes de cuisson et la meilleure façon d'y recourir. Certes, certains sont moins quotidiens que d'autres mais on peut rêver un peu... On plonge dans ses pages avec bonheur et on y pêche des tas de bons conseils, que ce soit la poêle idéale ou les aliments les plus adaptés au pochage. Un livre à savourer à petits pas et qui va devenir peu à peu un compagnon du quotidien mais on a aussi envie de se dépêcher d'expérimenter. Très envie par exemple de tenter la cuisson des légumes en croûte de sel...

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3. Thés japonais - la maison de thé Jugetsudo, de Chihiro Masui

Je n'aurais peut-être pas acheté ce Thés Japonais car je crois que je connais un peu déjà le thé japonais, en étant grande consommatrice et amatrice. Mais Chihiro Masui et son éditeur me l'ont envoyé et j'ai adoré le découvrir d'abord parce que les photos sont magnifiques. Puis parce qu'il y a toujours à apprendre sur le thé japonais et ses diverses variétés et les textes sont clairs, précis. Les recettes sont très appétissantes et pour la plupart vraiment pas compliquées. En ligne de mire pour commencer, les sablés aux noisettes et Genmaicha et la salade de fruits secs au Genmaicha aussi.

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Plus centré sur les recettes mais intérgrant de nombreuses informations sur les ingrédients et techniques : Tout sans gluten, de Clea : vous êtes peut-être étonnés de me voir citer ce livre alors que je m'agace souvent de cette mode envahissante du sans gluten sans raison valable. Je sais bien sûr que certains ont une vraie intolérance, d'autres un inconfort réel. Il s'agit ici d'une très vaste somme, sans doute un peu trop riche pour moi : je n'ai pour ma part aucun problème avec le gluten, aucune envie de céder à la mode mais j'explore parfois avec curiosité d'autres goûts en variant les farines. Mais c'est un livre qui me parait assez incontournable pour des personnes qui ont réellement une incapacité à digérer le gluten. Elles ont souvent du mal à trouver des idées de plats variés quand elles se rendent compte qu'elles n'ont d'autre choix que de cuisiner majoritairement. Elles se réjouiront de cette somme qui distille le style culinaire original et gourmand de Clea et n'ont pas fini d'en épuiser les plaisirs. Pour ma part, je commencerai bien par cette recette japonisante.

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Sinon, j'ai repéré en librairie deux livres sympathiques, avec de jolies mises en page colorées :

- La Bièrographie, pour amateurs de bière (que je ne suis pas) ou voulant le devenir,

- le très grand, lourd et bien garni On Va Déguster, issu de l'émission du même nom (que j'ai jugé pour l'instant trop encombrant pour mes étagères déjà bien remplies...).

Et, bien sûr, il devrait y avoir quelques Simplissime au pied des sapins...

D'autres suggestions ?

 

Encyclopédie de la Cuisine Végétarienne,d'Esterelle Payani, Flammarion (acheté)

Cuisson(s), de Keda Black, Keribus (acheté)

Thés japonais - Maison de thé Jugetsudo, de Chihiro Masui, Chêne (reçu)

Tout sur le gluten, de Clea, La Plage (reçu)

 

04/12/2015

Demain ne peut pas attendre !

Je ne sais plus trop comment j'ai entendu parler du projet du film Demain. Sans doute via twitter où je suivais Cyril Dion, que je "connaissais" via Pierre Rabhi, son association Colibris, le magazine Kaizen.

Quand la souscription pour participer au financement du film a été lancée en 2014, j'ai eu envie d'y participer car le projet de montrer l'urgence de changer à travers des initiatives concrètes et positives me plaisait. Pas seulement à moi visiblement : 10266 personnes ont contribué et le budget attendu a été plus que doublé.

Alors, j'ai été ravie quand j'ai reçu une invitation à l'avant-première. J'avoue toutefois que j'avais un peu peur d'être déçue, de ne pas apprendre grand chose, de crouler sous les bons sentiments...

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Oh non ! J'ai passé un très bon moment, j'ai aimé les expériences montrées, les personnes passionnées et persévérantes qui les ont portées, la ligne générale qui ne cache pas les dangers et difficultés qui nous attendent mais va pêcher des réponses concrètes. Le film bénéficie aussi d'une musique de Fredrika Stahl (je découvre...) en phase avec le contenu. Sûrement beaucoup d'entre vous n'imaginent pas aller au cinéma pour voir un documentaire. Mais ce n'est pas un documentaire classique. C'est un film qui transmet de l'énergie, donne un élan pour agir, qui montre que le pire n'est pas certain. Sous réserve de s'y mettre sans tarder... Et il essaie de nous convaincre que chacun, sans exception, peut s'y mettre. Les protagonistes du film n'étaient pas au départ des gens exceptionnels. Mais ils ont osé se lancer dans des plantations sauvages, une monnaie alternative, un recyclage intégral, des énergies renouvelables...

Car un des intérêts du film, c'est de balayer (autour d'exemples) cinq grands thèmes essentiels : alimentation / énergie / économie et monnaie / éducation / politique. Je connaissais certaines expériences, les Incroyables Comestibles par exemple, croisés à Grasse. J'en ai découvert d'autres. L'expérience des monnaies complémentaires est vraiment intéressante et déjà existante dans certaines villes en France. Sans doute difficile à mettre en œuvre à Paris... La ferme du Bec-Helluin, dont j'entends souvent parler, est un très bel exemple d'une réussite par le travail, l'imagination, la détermination. Les exemples sont positifs et ne visent pas à nous culpabiliser. Il s'agit plutôt de montrer des actions à petite échelle, qui, multipliées, auront un réel impact.

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Les participants au film présents à la fin de la projection (Vandana Shiva et d'autres étaient à mon avis venus surtout pour la Cop21...)

Cinématographiquement, ce n'est évidemment pas le chef d’œuvre du siècle. Mais ce n'est pas la question. Ce qui compte, c'est l'impact du film. Si vous allez voir Demain, essayez d'observer si le film vous donne de l'énergie. Ne le prenez pas comme un truc d'écolo-bobo qui veut sauver l'humanité. C'est plutôt une belle occasion de réfléchir à ce que vous pourriez faire, pas à pas, pour que votre vie soit davantage en phase avec vos valeurs.

Par exemple, que faire individuellement ? Camille Labro, journaliste du Monde, dans un article sur le film a posé la question à Cyril Dion et il a donné plusieurs exemples très concrets. Alors, je me suis demandé où j'en étais, moi :

- Se déplacer en ville à vélo : eh bien non, aucune envie de m'y mettre à Paris mais je me déplace pas mal à pied et je n'ai pas de voiture.

- Planter des potagers à partager : à Paris, on donne des permis de végétaliser, c'est bien plus raisonnable que les Incroyables Comestibles....

- Changer de banque : tiens, il faudrait y penser, aucune raison d'être scotchée à la mienne...

Changer de fournisseur d’électricité : je n'y ai pas pensé en déménageant, à creuser.

Eviter les supermarchés, et faire plutôt ses courses au marché, chez les petits commerces locaux et indépendants : je le fais autant que possible en allant chez Terroirs d'Avenir, chez Rap, chez de bons boulangers ou pâtissiers; ... Bien sûr, je vais aussi dans un supermarché de proximité par facilité mais vu mes achats, je n'ai pas beaucoup de raison d'y aller. Et j'évite beaucoup de produits de grandes entreprises, j'en boycotte certaines qui ne sont pas conformes à ce que j'en attends.

Manger moins de viande, et choisir la viande d’animaux bien élevés et bien traités : en phase avec ce que je fais.

Choisir des produits d’entretien biodégradables : je m'y suis mise. Prochaine étape : simplifier encore.

Consommer moins, arrêter d’acheter trop, à tort et à travers : oh oui, depuis un bon moment maintenant. Vive la sobriété joyeuse !

- Choisir un métier « qui a du sens pour soi, qui est en phase avec ses propres valeurs » : exactement ce que j'ai fait il y a maintenant une petite décennie...

Et vous, ces sujets vous intéressent ? Vous avez envie de voir le film ?

03/12/2015

Saison du brocoli : je ne m'en plains pas !

J'aime beaucoup le brocoli et le week-end dernier, j'ai décidé que ce serait un peu un festival...

Premier épisode : je voulais faire un gratin (brocolis blanchis puis cuits au four avec un peu de fromage frais (en l'absence de crème) et du Comté râpé mais il n'a pas vraiment gratiné... Appelons cela des brocolis au four. En tout cas, c'était délicieux.

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Deuxième épisode : un plat inspiré d'une recette nippo-Esterellienne (Esterelle Payani) extraite de son Encyclopédie de la Cuisine végétarienne : des pâtes de sarrasin aux brocolis, ume et sésame avec une sauce au miso et gingembre.

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Troisième épisode : une soupe de brocoli avec de la pomme (vague souvenir d'avoir déjà accordé ces deux ingrédients dans une recette), petite touche personnelle : une touche de cumin. Une soupe, cela permet notamment de ne pas gaspiller le pied du brocoli. Celle-ci n'était pas parfaite, à refaire...

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Et il aurait pu y avoir un quatrième épisode tout simple avec un peu d'huile d'olive et de parmesan par exemple. Un cinquième avec une quiche, etc.

Il y avait eu aussi récemment de délicieuses pâtes brocoli-anchois-pignons-pecorino, un classique de la cuisine italienne préparé par Monsieur.

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Car, bien sûr, il y a plein d'autres façons de le préparer et je vous avais déjà parlé du brocoli

Et vous, avez-vous essayé quelques variantes ou attendez-vous de plonger dans l'hiver ?

 

05/11/2015

Un tout petit peu de Mingou Mango, incontestable gourmande BCBT

Si vous aimez ce qui tourne autour de la nourriture, est-il encore possible que vous soyez passé(e) à côté du merveilleux blog de Mingou Mango ?! Des années que je le lis, que je me régale de ses jolis croquis gourmands et de ses mots délicats. Jusqu'au jour où j'ai eu la chance de rencontrer la vraie gourmande BCBT (Bien dans son Corps, Bien dans sa Tête) qui se cache derrière dessins et pseudo (avez-vous remarqué qu'elle ne se montre quasiment jamais...?). Je n'ai pas été déçue et, quelques déjeuners partagés plus tard, j'ai eu le plaisir de l'interviewer pour en savoir un peu plus sur elle...

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Ta définition de la gourmandise

Se faire plaisir  tout simplement !
 
Ta gourmandise favorite

Le granola du matin ou la tartine beurrée, qui m'aident à me lever...

Ta dernière découverte gourmande

J'avais envie d'une tartine beurrée justement, je suis allée au café Télescope et j'en ai trouvé une parfaite (elle l'a dessinée...). Le patron m'a expliqué qu'il faisait désormais son pain lui-même, suite à un stage avec Thierry Delabre (oooh, j'ai fait le stage aussi et moi, je n'ai toujours pas panifié ;-))
 
Le plat / l’aliment que tu ne parviens absolument pas à aimer
La noix de coco
 
Tu pars sur une île déserte, l’aliment que tu emportes absolument
Du riz
 
Que consommes-tu sans modération ?
Le granola ! C'est comme un feu d'artifice sur le yaourt le matin. J'aime la texture, je le fais bien griller, caraméliser, je mets tous les ingrédients que j'aime, j'ai perfectionné ma recette au fil du temps et maintenant elle est parfaitement à mon goût ! (j'essaie dès que mon nouveau four est installé :-))
 
D’où vient ton tempérament gourmand ?
C'est familial, génétique et culturel ! Je suis née dans une famille de cuisiniers : mon père est cuisinier, mes deux grand-pères le sont, un de mes oncles, des amis de mes parents... Tout tourne autour de la cuisine chez nous ! Mon père exprime beaucoup ses sentiments à travers elle, il faut dire qu'il a connu la famine enfant, en Chine, alors, bien manger, ça compte...
 
Ta gourmandise inavouable
C'est un truc un peu bizarre...Un lendemain de fête, il peut arriver que j'ai envie de toasts de foie gras au petit déjeuner... Il y a aussi les Demae Ramen, des nouilles instantanées que je mange depuis mon enfance.
 
La cuisine, c’est quoi pour toi ?
Je fais la différence entre la cuisine du quotidien et la cuisine quand on a le temps. Celle du quotidien ne devrait pas être une corvée mais c'est quand même un peu de la routine. Alors que quand j'ai le temps, c'est de la détente, un moment calme et aussi un jeu.
 
Dans tes placards (et ton frigo), il y a toujours… 
Du granola évidemment ! Et du poivre de chez Roellinger, de l'huile d'olive de Nyons, de la sauce soja, du ponzu (pour mes vinaigrettes), du chocolat à pâtisser, et tout plein de flocons, graines, oléagineux (pour le granola).
Au frigo : du bon beurre salé, du beurre doux aussi, des oeufs, des yaourts, des fromages des jus de fruit... 
 
Ta madeleine de Proust, le goût que tu n’arrives pas à retrouver
Le tofu aux cinq parfums de mon grand-père paternel, que je picorais au fur et à mesure qu'il le coupait en morceaux pour le faire sauter à la poêle avec du porc et de la ciboulette chinoise.
Les zong zi de mes grand-mères, qu'elles faisaient pour la fête du dragon mi-juin
 
Ta recette super-express et super-bonne 
Le grilled cheese : je prends du pain de mie complet, du Cheddar, du poivron et je fais griller. Excellent !
 
L’effort que tu fais pour ta ligne
Je mange peu si je n'ai pas faim le soir. Mais ce n'est pas un effort...
Je diminue un peu parfois ma quantité de sucre, je crois que j'en mange vraiment beaucoup !
 
C’est quoi les régimes pour toi ?
L'horreur absolue !
 
Ta meilleure façon de bouger
Marcher, nager tous les jours
 
Une astuce gourmande pour embellir le quotidien
Se faire un petit plaisir tous les jours, s'offrir chaque jour un aliment dont on a vraiment envie, hier, un kaki rien que pour moi.
 
 
Merci beaucoup Mingou Mango pour ces confidences et cette photo qui ne devrait pas encore permettre à tes admirateurs de t'arrêter dans la rue ;-) 
 
 

20/10/2015

Recevoir sans stress...et se régaler !

Comme vous le savez si vous me lisez, on cuisine souvent pour nous, on va au restaurant, on est invité à dîner... Et parfois, on reçoit. Dans ces moments-là, je trouve important de s'organiser pour ne pas stresser à l'approche du repas, ni passer trop de temps en cuisine quand les convives sont là. On peut préparer une partie des mets à l'avance, ne pas faire trop compliqué, voire même déléguer une partie à de très bons artisans. Halte au perfectionnisme culinaire qui fait passer à certains 20 heures en cuisine pour recevoir quelques amis et être à la hauteur de leur réputation. Comme si le plus important n'était pas le plaisir de passer du temps ensemble... Même si le contenu de l'assiette compte, évidemment !

Exemple du déjeuner de dimanche dernier, d'inspiration italo-française :

- en entrée, un très fameux et merveilleux pâté en croûte de Gilles Vérot, "vice champion du monde",  Bien sûr, on aurait pu prévoir une entré maison mais avec ça, on était sûr de faire plaisir. C'était ciblé...

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- en plat, de délicieuses pâtes aux cèpes : Monsieur avait préparé sa "sauce" en avance et il restait donc principalement à la réchauffer et à cuire les pâtes au dernier moment.

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- en dessert, une fabuleuse tarte poire praliné noisette, une recette du blog de Mamina, que j'avais repérée car je cherchais un dessert de saison à base de poire et de noisette. J'avais préparé la pâte à tarte la veille et terminé la tarte dans la matinée tranquillement avant le déjeuner. J'ai juste eu à ajouter noisettes concassées et copeaux de chocolat sur le dessus au dernier moment.

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Bref, aucun stress, une préparation tranquille et partagée, un repas passé à savourer les plats et échanger avec bonne humeur.

Et vous, comment vous organisez-vous quand vous invitez ?

 

NB : Comme il restait une peu de pâte sablée à la noisette et qu'il n'était pas question de la gaspiller, j'ai fait des petits sablés qui sont délicieux avec une touche de pâte praliné. Eh oui, je suis dingue de noisette et de praliné !

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12/10/2015

Dans les mailles du filet : de la rude pêche d'antan à la complexité actuelle

La semaine dernière, j'ai été conviée en avant-première à la présentation d'une nouvelle exposition qui vient d'ouvrir au Musée de la Marine à Paris (Palais de Chaillot). Heureux calendrier, j'étais disponible et cela donnait l'opportunité d'une visite commentée de façon très intéressante par son commissaire.

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Une bonne partie de l'exposition est consacrée à la pêche à la morue en haute mer. C'est un pan majeur de l'histoire de la pêche européenne, et très rude. Les navires partaient pour 6 mois vers les mers froides de Terre-Neuve, du Labrador, d’Islande et du Groenland, les pêcheurs abandonnaient leur famille pour cette durée, Certains même ne revenaient pas car la mer peut être fort violente. Toute cette histoire est racontée à travers dessins, tableaux, films, livres... avec notamment une mise en avant du plus célèbre, Pêcheur d'Islande.

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On apprend aussi quelques anecdotes culinaires : ainsi la présence des accras de morue aux Antilles est dû au fait qu'on venait y débarquer quantité de morue, mets facile à conserver (elle était salée sur le bateau ou séchée au soleil) et source de protéines économique pour les esclaves d'alors. Sans oublier bien sûr la si répandue huile de foie de morue pour fortifier les enfants naguère. Ou que l'homme le mieux payé du navire était le responsable du salage car de son travail dépendait la qualité du produit final.

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J'avais eu un aperçu de cette histoire il y a un an et demi, quand nous étions partis à St Brieuc, En effet, en 2013-2014, quatre villes (Granville, Rennes, St Brieuc, St Malo) s'étaient regroupées pour monter plusieurs expositions relatant cette épopée maritime. A Saint Brieuc, nous avions vu Le temps de l'absence qui mettait l'accent, de façon émouvante, sur la vie difficile à terre, notamment pour les familles quand les bateaux étaient loin.

Cette exposition est donc riche en œuvres diverses racontant cette époque qui s'étale sur plusieurs siècles. Et par ailleurs, pour la première fois dans ce Musée, nous a-t-on dit, elle embrasse un sujet totalement actuel, celui de la surpêche et de l'épuisement de certaines espèces. Il est ainsi frappant de voir que cette pêche à la morue, certes très dure mais semblant fournir des ressources inépuisables, a tout à coup connu un coup d'arrêt à Terre-Neuve en 1992. Car les réserves de morue ont fini par s'épuiser... avec les excès de la pêche industrielle. Cela devait être provisoire mais ne s'améliore que très peu... Le cabillaud que l'on mange aujourd'hui vient majoritairement de la mer de Barents au nord de la Norvège.

La dernière partie de l'exposition rassemble ainsi de nombreuses informations orientées vers le grand public pour le sensibiliser à ce sujet sur lequel il peut agir dans son quotidien, en mangeant éventuellement moins de poisson (c'est-à-dire inverser la tendance...) et en choisissant et variant les poissons qu'il mange.

dans les mailles du filet; musée de la marine,pêche à la morue,histoire de la pêche

Les concepteurs de l'exposition ont davantage cherché à informer qu'à créer la polémique et ils ont donné la parole, via des témoignages notamment en video à des intervenants divers (il y a notamment Bloom, Greenpeace, le MSC...). Différentes activités sont aussi prévues pour les enfants.

Bref, une exposition artistique, historique, informative et citoyenne visant un large public.

Dans les mailles du filet, Musée de la Marine, place du Trocadéro, Paris 16eme, jusqu'au 26 juin 2016.

10/10/2015

Du poisson, oui, un peu et surtout pas toujours le même !

Il y a déjà 6 ans, en 2009, je publiais le billet ci-dessous où je m'interrogeais sur notre capacité à varier davantage les poissons. Ce billet m'est revenu suite à un échange avec un des concepteurs de l'exposition "Dans les mailles du filet" qui vient de commencer au Musée de la Marine (j'étais conviée à une visite cette semaine). En effet, la dernière partie de l'exposition évoque la problématique actuelle de la sur-pêche de certaines espèces. Et on se disait, ce n'est pas une révélation, que les Français mangent un peu toujours les mêmes poissons : du saumon, du thon, du cabillaud, des sardines...

J'ai pour ma part refait le petit exercice auquel je m'étais livrée en 2009. En fait, la variété reste à peu près la même si l'on considère l'occasionnel mais, en fait, je mange au global du poisson moins souvent car je fais beaucoup de repas végétariens. Ma consommation se répartit ainsi, me semble-t-il :

- anchois, bar, bonite, daurade, maquereau, sardine, saumon, thon (ceux que Monsieur cuisine ou l'utilisation de conserves). On est attentif à l'origine, au type de pêche... Par exemple en allant chez le poissonnier de Terroirs d'Avenir, où il y a de merveilleux poissons qui arrivent en direct, d'espèces variées selon la disponibilité du jour. 

- anguille, bonite, cabillaud, chinchard, espadon, hareng, lieu jaune, lotte, St Pierre, sole, truite (occasionnellement au restaurant, chez des amis...).

Pour moi, il en est du poisson comme du reste de l'alimentation : mieux vaut moins souvent et de bonne qualité. Et si possible, continuer à se faire plaisir avec du bon plutôt que le supprimer de son alimentation. 

Et vous, combien de poissons différents mangez-vous ? Quelles espèces ? Etes-vous parfois curieux(se) d'en découvrir de nouvelles ? Trouvez-vous que la proposition trop pauvre ?

 

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Billet publié le 16 février 2009

Je reviens sur le poisson, dont j'ai parlé il y a quelques semaines suite à une conférence de l'Institut Français de Nutrition. Des questions qu'on se pose souvent : que vaut le poisson d'élevage ? Faut-il privilégier le poisson de pêche ? En France, c'est encore très majoritairement la pêche qui domine : 85 % contre 15 % environ pour l'élevage (alors que dans le monde, la pêche représente 55 % seulement).

En fait, tout n'est pas blanc ou noir. Il y a de bons et de mauvais poissons d'élevage car il y a différentes façons de les nourrir. Et l'élevage permet de garantir une régularité dans leur nourriture meilleure qu'en mer, ce qui leur assure notamment un niveau de chair grasse constant. Le problème, c'est que la meilleure nourriture, c'est l'huile de poisson, mais cela en consomme une trop grande quantité. Il y a des recherches pour mixer différentes alimentations.

Mais le problème est surtout que les mers se vident, certaines espèces n'arrivent plus à se renouveler et pourraient disparaître. Selon l'IFREMER, 75 % des espèces sont surexploitées ou totalement exploitées. Alors, ne pourrait-on pas nous faire découvrir d'autres variétés de poissons ? Ne mange-t-on pas toujours les mêmes par habitude ou méconnaissance ?

Ainsi, à l'étal de mon poissonnier, j'ai compté une vingtaine d'espèces. C'est déjà pas mal, il est plutôt bien fourni mais ce sont quasiment toujours les mêmes poissons. Ce qu'il trouve chez ses fournisseurs et ce que demandent ses clients.
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Il y a 250 espèces de poissons dans les vastes océans. Mais, en France, une dizaine d'espèces seulement représentent 70 % des ventes : le thon, le saumon, le lieu, le cabillaud, le merlu, la sardine, le hareng, la truite, le maquereau, le panga , le perche du Nil.
Certes, certains poissons ne seraient pas à notre goût mais sont-ils tous immangeables ? Ou est-ce un manque de curiosité ? Et je suis bien désolée que, parmi les plus consommés, on trouve le panga, encore inconnu il y a quelques années et pas vraiment inoubliable gustativement parlant. Et même pas intéressant d'un point de vue nutritif. Malheureusement, il est en train d'envahir les collectivités.

Moi-même, plutôt amatrice de poisson et notamment via la cuisine japonaise, j'ai compté que je consommais de façon plus ou moins régulière 12 variétés (sans compter coquillages et crustacés) : sardine, maquereau, saumon, thon (de moins en moins de thon rouge, qui devient rare), anguille, bar, cabillaud, sole, espadon, lotte, merlan, daurade...

Et vous, avez-vous déjà compté ? Vous arrive-t-il de goûter de nouveaux poissons ? Et variez-vous les modes de préparation ? Car le poisson, on peut le manger par exemple grillé, au four, à la vapeur, au court-bouillon, mariné, en terrine, en salade, etc.

01/10/2015

La rentrée est déjà loin. Et les bienfaits des vacances ?

Peut-être avez-vous observé que je ne vous ai pas imposé de billet "conseils de rentrée"... ? Un de ceux où vous auriez sans doute vu des injonctions, même déguisées, même sympathiques ;-) Je me suis abstenue. Mais un mois ou davantage plus tard, peut-on en parler ? Leurs bienfaits sont-ils carrément partis aux oubliettes ?

Sans doute beaucoup d'entre vous ont-ils pris des vacances cet été, tranquilles ou exploratrices, proches ou lointaines, calmes ou animées. Peut-être aimeriez-vous être plus souvent en vacances...

Vous vous étiez par exemple reposé(e), ressourcé(e), régénéré(e), regonflé(e), revitalisé(e).

Vous aviez ralenti, ri, vous vous étiez réjoui(e) régalé(e)...

Puis cela a été la rentrée, avec son lot d'urgences, de tâches multiples, de stress.... Les vacances sont déjà loin. Où en êtes-vous ?

Peut-être certain(e)s d'entre vous

- sont-ils vite retombés dans le stress et le rythme effréné des mois précédents, persuadés que c'est une fatalité,

- ou ont-ils déjà abandonné les ambitieux objectifs qu'ils s'étaient fixés, un abonnement à une salle de sports pour y aller 3 fois par semaine, un stock de livres de cuisine pour mitonner de bons petits plats au quotidien, un régime super strict pour compenser les apéros-chips-saucisson...

Et attendant les prochaines vacances avec impatience...

Stop ! N'y aurait-il pas une possibilité d'agir en douceur, d'impulser quelques petits changements qui feront la différence côté bien-être ? Maintenant que l'urgence de la rentrée est passée, n'est-ce pas le bon moment pour y penser ?

Il n'est pas trop tard pour prendre quelques minutes pour réfléchir à ce qui vous avait vraiment fait du bien en vacances, ce que vous avez fait avec plaisir, sans contrainte. Par exemple, aller au marché, prendre le temps de cuisiner des plats simples et bons sans se presser, bouger, nager, vous promener dans la nature, passer du temps avec vos proches, prendre votre temps, lire, ne rien faire, dormir...

Ces choses que vous aimez, occupent-elles une place suffisante dans votre quotidien pendant l'année ? Aimeriez-vous leur en faire une plus grande ? Ne vous occupez pas de ce qu'il FAUDRAIT faire, d'écouter vos meilleurs amis, votre famille ou les magazines mais de ce dont vous AVEZ REELLEMENT ENVIE. Pas cinquante projets, peut-être un ou deux qui vous tiennent à coeur, vous font plaisir, vous donnent la pêche.

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Côté alimentation, comme je le répète sans cesse, la rentrée, pas plus qu'un autre, n'est le bon moment pour se mettre au régime. Beaucoup de personnes sont encore persuadées que c'est la seule façon de mincir. Mais non ! On peut retrouver son poids naturel (si on s'en est éloigné) en réapprenant à écouter les signaux envoyés par son corps, en mangeant de tout, en  s'arrêtant quand le corps dit stop, en observant pourquoi, parfois, on n'a pas envie de l'écouter...

Côté repas par exemple, qu'est-ce qui vous avait particulièrement fait plaisir en vacances ? La découverte de nouvelles saveurs, les courses sans courir, le temps de cuisiner sans regarder sa montre... ?  Pas besoin de disposer de plusieurs heures pour cuisiner quelque chose de bon et pour se faire plaisir....

Qu'en pensez-vous ?

 

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23/09/2015

Et si on petit déjeunait salé ?

Parfois, des personnes me parlent de leur faim trop vite revenue ou d'un coup de barre en cours de matinée, alors qu'elles ont pris un petit déjeuner. Mais sans doute pas le petit déjeuner qui leur convient. Ces personnes (ce n'est pas le cas de tout le monde, ne généralisons pas !) ont un mode de digestion du "sucre" (pain blanc, céréales raffinées ou très sucrées, confiture, jus de fruit...) très rapide qui ne leur permet pas un rassasiement durable.

Pour trouver ce qui leur convient, la réponse peut être graduelle et basée sur l'expérimentation personnelle :

- la suppression de la confiture (la réserver au week-end par exemple),

- un pain plus rassasiant (pain au levain, pain complet bio,  pain allemand "pumpernickel"...),

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- ajouter un fruit dont les fibres ralentiront la digestion.

Ou, si tout cela ne suffit pas, opter pour un petit déjeuner salé, où la part des aliments riches en protéines (jambon, œuf, fromage...) sera plus importante.

Bien sûr, il y aussi des personnes qui choisissent un petit déjeuner salé par goût, notamment quand elles ont le temps.

Mais récemment, une amie ayant expérimenté avec satisfaction des petits déjeuners salés, me confiait sa crainte d'être rapidement lassée, de retomber trop souvent sur le même petit déjeuner. Il me semble pourtant que les possibilités sont nombreuses avec juste un peu d'organisation. Par exemple :

. Autour du pain :

- du fromage, en variant les pains et les fromages (parmi ceux que l'on apprécie le matin) : fromage frais, fromages de chèvre, de brebis, Comté, Cantal, feta, voire Reblochon ... par exemple, avec du pain de campagne, du pain aux céréales, aux noix, ...

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- du jambon, de la bresaola, du poulet, du saumon fumé, ...

- un petit sandwich avec ce que vous voulez comme base et un peu de salade, de crudités, ...

- une tartine d'avocat écrasé (c'est très à la mode) avec un peu de mozzarella, de radis, de graines germées, ...

- un œuf à la coque et des mouillettes,

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D'autres possibilités :

- une part de cake salé ou un mini-cake aux légumes, par exemple potimarron ou carotte-châtaigne, ou épinards... (qu'on peut faire à l'avance et congeler),

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- un reste de quiche ou de tarte aux légumes,

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- à la japonaise, un bol de riz (éventuellement un reste de la veille) agrémenté de ce que vous aimez (algues, œufs de saumon, légumes...).

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Et pourquoi se fixer des barrières ? En salé comme en sucré, le meilleur petit déjeuner est celui qui vous plait, vous rassasie jusqu'au déjeuner, que vous digérez bien et ne nécessite pas des heures de préparatif...

L'important est d'essayer pour trouver ce qui vous convient sur ces différents aspects, en vous écoutant vous plutôt qu'écouter les pseudo-gourous alimentaires qui vous disent "surtout pas ci, surtout pas ça". Et bien sûr, quand même un conseil, de boire aussi (chaud ou froid) pour vous réhydrater après la nuit.

Alors, vous arrive-t-il de petit-déjeuner salé ? Ou avez-vous envie d'essayer ? Avez-vous des bonnes idées à partager ?