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31/07/2012

Pendant l'été, la cuisine (italienne) continue !

La cuisine italienne, on adore, vous le savez si vous me lisez régulièrement. Alors, évidemment, en été, on continue, d'autant que certains de ses ingrédients phares sont plus présents en ce moment.

Cette cuisine, c'est plutôt le domaine de Monsieur, par atavisme familial, mais je m'y aventure de temps en temps, avec prudence...

Par exemple, il ya quelques jours, avec une recette d'aubergines à la parmesane que je réalise depuis longtemps. Elle est issue d'un vieux livre d'Alain Ducasse et sa particularité est qu'on insère de fines tranches de jambon de Parme qui donnent un parfum supplémentaire.

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Les aubergines on adore et du coup, quelques jours après, de retour de Nîmes avec de jolies petites aubergines du jardin, Monsieur a tenté une recette trouvée sur le blog de la délicieuse Edda, une parmesane d'aubergines blanche (sans tomate donc). Ce fut un régal, la scarmoza donnant un agréable goût fumé à l'ensemble.

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Il y a eu aussi de belles pâtes aux girolles, c'est la saison et on reste rarement plus de quelques jours sans manger des pâtes ! Tiens, d'ailleurs, on vit un peu aux crochets des gentilles personnes en ce moment : après les aubergines du jardin nîmois, les girolles qu'on nous rapporte de Bourgogne, merci Isabelle !

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Et la pasta authentique et autres délices de la péninsule ont encore de beaux jours devant eux dans nos assiettes : en plus du savoir-faire existant, j'ai découvert récemment le merveilleux blog de Floriana qui s'y entend pour nous faire saliver et remettre les pendules à l'heure sur la cuisine italienne !


30/07/2012

Manger végétarien dehors, ce n'est pas compliqué !

Je ne suis pas végétarienne mais, comme je l'ai déjà dit, plutôt de tendance flexitarienne, si tant est qu'il faille se mettre en catégorie... J'aime le poisson et la viande mais il m'arrive souvent de faire des repas végétariens.

Cela arrive à la maison sans forcément y faire attention : quand je mange des pâtes aux girolles ou à la Norma (aubergine-ricotta-tomate), je ne me dis pas que je fais un repas végétarien !

Et cela peut arriver aussi à l'extérieur. Je vous ai déjà parlé de quelques "cantines santé" qui sont partiellement ou totalement végétariennes. A noter toutefois que manger sain, manger bio, manger végétarien, manger léger sont des notions bien différentes...

Jusqu'à il y a quelques années, peu de bons restos végétariens existaient. J'en ai longtemps fréquenté un près de Beaubourg, ma cantine avant les spectacles de danse du Théatre de la Ville, mais il a disparu depuis longtemps et il n'était pas très "fun" ! Aujourd'hui, sans doute sous l'influence de la mode du bio/nature/bobo, on en voit fleurir quelques-uns, plus ou moins intéressants.

Récemment, j'en ai ainsi visité deux :

- Bob's' Kitchen, dans le 3ème : j'ai savouré un "veggie stew" (qui varie selon les jours), plat complet coloré, parfumé et délicieux. L'accueil est cool, le choix limité, tout est frais.

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- Soya, dans le 11ème : j'ai mangé un grand mezze, assortiment de légumes, crudités, houmous, ... C'était plutôt assez bon mais pas de quoi traverser Paris. Sinon, le cadre est sympa un peu dans le style de certains bars new-yorkais, l'accueil est indifférent et la carte frustrante, à base de formules qui enlèvent de la liberté de choix.

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La question qui permet toujours de synthétiser ma perception : ai-je envie d'y retourner ?
- Bob's Kitchen : oh oui !
- Soya : pas vraiment, ou peut-être pour un petit déjeuner (réservation obligée) car peu de lieux sympa existent pour cela, mais l'emplacement n'est pas top pour moi.

Toutefois, quand on est végétarien, pas besoin d'aller dans des restaurants spécialisés ou de se couper du monde pour trouver un repas adapté. Exemples :

- dans un bistrot, le choix le plus simple et peu coûteux est sans doute une omelette, nature ou avec des champignons ou du fromage ;

- dans une pizzeria, il y a toujours une pizza margarita, aux légumes grillés, aux artichauts, ...

- dans un restaurant italien, on trouve toutes sortes de pâtes aux légumes (tomate, aubergine, champignons, ...) ;

- dans un restaurant indien, il y a presque toujours une offre de plats végétariens avec des lentilles, du riz, des épinards puisque c'est une pratique très répandue dans ce pays ;

- chez un libanais, il y a souvent une assiette de mezze végétariens ;

- chez un restaurant de couscous, il est très fréquent d'avoir une option végétarienne et un couscous de légumes, c'est sympa (si vous êtes strictement végétarien(ne), pensez à demander comment a été préparé le bouillon) ;

- dans une crêperie, le choix ne manque pas : galette nature, oeuf, fromage, légumes, ...

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- dans les restaurants japonais, ce n'est pas toujours évident, notamment dans les bars à sushi (les makis végétariens, c'est souvent dans des faux japonais..), et, malheureusement, il n'y a pas de restaurant de tofu ou des tempura de légumes à Paris. Les restaurant de nouilles (udon ou soba) sont sans doute l'option la plus simple.

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Même les restaurants classiques semblent s'y mettre et proposer au moins un plat végétarien : j'ai ainsi vu (mais pas goûté) une "cocotte de légumes de saison, salade d'herbes" entre l'entrecôte et l'andouillette, sur la carte de la très traditionnelle brasserie Bourgogne Sud.

Et on trouve parfois un menu végétarien plaisant et assez recherché qui suit les saisons comme chez Maceo par exemple, au beau cadre par ailleurs.


Rappel de la définition : le végétarien ne mange aucun animal (poisson, volaille, viande, fruits de mer, ...) mais consomme des produits issus des animaux (oeufs, lait, fromage...) à la différence du végétalien.

Et vous, vous avez des bons plans végétariens ?

 

Bob's Kitchen, 74 rue des Gravilliers, Paris 3ème, 0952 55 11 66

Maceo, 15 rue des Petits-Champs, Paris Ier, 01 42 97 53 85   

Soya, 20 rue de la Pierre Levée, Paris 11ème

 

26/07/2012

Devinette !

Qu'est-ce que c'est à votre avis (en tout cas, c'était délicieux !) ?

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Indice : c'est italianisant...

08:23 Publié dans Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : gourmandise, légumes, été | |  Facebook | |  Imprimer

24/07/2012

Convivialité et plaisirs de la table, oui, kilos en plus, non !

L'année dernière à la même époque, j'avais écrit un billet qui me paraît toujours d'actualité : "En vacances, on grossit ou on maigrit ?". Pour certain(e)s, ni l'un ni l'autre et pour d'autres, tout dépend des circonstances...

Peut-être l'été sera-t-il pour nombre d'entre vous l'occasion de grandes tablées conviviales, d'apéritifs sans fin qui conduisent à des repas sans faim, de générosité alimentaire qui conduit à se resservir et à manger trop copieusement. Du coup, on craint que les vacances détente soient source de kilos supplémentaires et cela peut générer des inquiétudes chez les stressé(e)s du poids au lieu de se réjouir pleinement de ce moment vacant.

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Ainsi, certaines patientes qui ont commencé à changer leurs habitudes alimentaires, à se réconcilier au quotidien avec leurs sensations de faim et de rassasiement, éprouvent des difficultés dans les repas de famille (ou belle-famille) à respecter ces sensations tout en faisant honneur aux plats proposés.

Parfois, en effet, on mange un peu trop dans ces occasions car on est absorbé (e) par une conversation passionnante et on ne prête pas trop attention à ce qu'on mange ou à se demander si on a encore faim. Mais, souvent, on a tout à fait conscience qu'on est rassasié et on continue, on se ressert, on prend fromage et dessert et on est au bord d'exploser... Tout cela pour d'autres raisons. Par exemple parce qu'on n'ose pas dire non à la personne qui reçoit/cuisine. Parce qu'on a une réputation de bon(ne) mangeur(se) à tenir. Parce qu'on a peur de gaspiller en ne finissant pas le plat.

Quand on évoque ce  sujet, j'explique qu'il ne s'agit pas de se priver mais peut-être de commencer à changer ses habitudes dans ces contextes là-aussi. Il s'agit par exemple de privilégier ses aliments et ses plats préférés, d'en mettre d'autres de côté sans se sentir frustré(e), de s'affirmer et de savoir dire non en mentionnant qu'on a assez mangé (ne plus avoir faim, ce n'est pas être au régime !), à saluer la bonne cuisine autrement qu'en se resservant, à manger de tout avec modération même si d'autres font autrement...

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Je peux ainsi prendre l'exemple de quatre jours passés au sein de la généreuse convivialité nîmoise de ma "belle" famille chez qui les plaisirs de la table sont festifs et très largement pourvus. Ainsi, lors de ce court séjour, il y eut beaucoup de richesses de la mer (des lisettes -petits maquereaux-, des merluchons frits, de l'espadon à la plancha, des moules, des huîtres, des tellines sautées, des coques (avec spaghetti) et aussi des pâtes aux cèpes parfumés, des pommes dans un moelleux gâteau ou une superbe tarte fine, un repas de brasserie, de la caponata parfumée, du vin blanc et un peu de pastis (consommés avec modération), des tomates gorgées de soleil, ...

Que de régals partagés dans la bonne humeur. Bien sûr il y aurait de quoi sortir de table largement plus que rassasiée. Mais je m'écoute, je me fais plaisir, je régule mes repas sans me priver. Avec même une incursion vers quelques spécialités locales sucrées : les caladons, biscuits nimois traditionnels inventés pour concurrencer les très anciens croquants de M. Villaret, les deux à base d'amandes et miel ou un "malakoff", chocolat dont certains ont la nostalgie mais pas grandiose pour un palais chocolato-exigeant...

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Alors, expérience que je fais parfois dans ce type de circonstances pour vous montrer que c'est possible, je monte sur la balance avant et après. Résultat : quelques grammes de variation, autant dire rien !

PS : quand on était parisien ces jours-ci, on avait un peu l'impression d'arriver en terre étrangère en sortant du TGV à Nîmes dans une forte chaleur sous un grand ciel bleu... Quel plaisir de manger dehors, de buller en terrasse, de ne plus se poser la question parapluie ou imper, ... !

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Ca, c'était la couleur du ciel là-bas et elle est enfin arrivée sur Paris !

21/07/2012

Pendant l'été, la cuisine (japonaise) continue...

Ce n'est pas parce que c'est l'été qu'on va s'arrêter de cuisiner, qu'on va se nourrir uniquement de salades... d'autant que le temps n'y incite pas vraiment... Et cuisiner, ce n'est pas toujours innover : ainsi, dimanche dernier, ce fut repas japonais d'un grand classicisme, qui nécessite un certain temps de préparation (mais pas par moi !).

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Il y avait du saumon grillé au sel, de l'omelette (tamago), une salade d'algues hijiki et carottes, des prunes salées (umeboshi), une salade concombre-algues wakame, et bien sûr du riz, une soupe miso, du thé vert ... Certains diraient que c'est un parfait repas santé mais on n'y pense pas, on pense surtout à se régaler ! Et à se remémorer le Japon qu'on aime tant...

19/07/2012

Vagabondage culinaire tout vert, ou presque

Le dimanche soir, je fais souvent une soupe. Ou un plat à base de légumes en été. Le temps étant ce qu'il est en ce mois de juillet, une soupe chaude n'aurait rien de surprenant... Et ce serait enfin l'occasion de mettre en concordance les haricots coco d'été et leur soupe bien réchauffante. Malheureusement, c'est encore trop tôt. Comme je m'y attendais, ils arrivent plutôt en août. J'erre chez le marchand de légumes sans trop d'idées et finalement j'achète un peu au hasard du melon, des courgettes, des artichauts poivrade, de la salade.

De retour chez moi, je me dis que je peux aussi utiliser quelques ressources en stock au frigo et au congélateur pour faire une sorte de petit buffet :

Voilà des oeufs, de la mozzarella, un reste de pâte à tarte : j'étale la pâte, je coupe le fromage et les courgettes en dés, je bats les oeufs, je mélange le tout et voilà une belle tarte salée.

J'ai aussi au congélateur des aubergines déjà tranchées et grillées, reste de délicieuses aubergines à la parmesane.

Les artichauts poivrade, je les fais cuire  avec un bouillon parfumé et cela donne des artichauts "confits".

Et il y aussi la salade, un mesclun.

Et voilà mon buffet : tout vert (ou presque, j'ai caché le melon !) :

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Et vous, comment faites-vous ? Les courses avec une liste ou des idées claires ou alors la totale impro sur place ?! 

16/07/2012

Fromages d'ailleurs, blancheur, saveur, douceur...

Cet été, quand on habite à Paris, il est un peu difficile de se convaincre que c'est l'été. Mais il faut regarder du côté des fruits et légumes et ne pas rater ceux de saison, on risque de le regretter quand il sera trop tard !

Ainsi, il y a quelques jours, je suis tombée sur une recette du blog "Et si c'était bon" de Mamina, dont j'ai eu le plaisir de faire connaissance dans la vraie vie, lors de la dégustation récente chez Philippe Conticini.

Il s'agissait d'un gâteau à la ricotta et aux framboises qui m'a tout de suite fait envie. Du coup, je l'ai réalisé le jour-même. J'adore la ricotta nature, en mode salé ou sucré et elle est aussi un excellent ingrédient pour un gâteau moelleux. J'ai suivi scrupuleusement les instructions et ai donc battu les oeufs et la crème d'où, comme cela était annoncé, une délicieuse impression de légèreté.

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Pour le précéder, j'ai eu envie d'une salade que j'avais faite et appréciée l'été dernier, avec un autre fromage, tout aussi blanc, mais d'une autre origine, d'une autre texture : la feta. Il s'agit d'une association melon-concombre-feta-pignons grillés-basilic (et non menthe cette fois). 

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Tout cela a constitué un repas coloré, savoureux, ensoleillé qui nous a réjouis.

Et vous, vous pensez aux aliments de saison ?

15/07/2012

Foodin' anti-routine et Christophe Dufau à Paris

Nous, on est plutôt du genre à sortir en semaine et pas le samedi soir. A rester chez nous le soir du 14 juillet... La foule, ce n'est pas trop notre truc. Mais les habitudes sont faites pour être rompues... Alors quand j'ai vu que le Fooding annonçait une Cafête Nationale et qu'en plus, il y avait la participation de Christophe Dufau, échappé de son havre sudiste, je n'ai pas tardé à m'inscrire.

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Christophe Dufau et sa cuisine, je les adore. Après les avoir découverts à Tourrette sur Loup il y a pas mal de temps, je garde le souvenir d'un déjeuner merveilleux aux Bacchanales et je suis impatiente d'y retourner un jour.

Les gens du Fooding, je les aime bien : je sais, ça fait un peu bobo parisien... Ils m'ont fait découvrir des bonnes tables et ils ont souvent des idées sympa et originales pour organiser des réjouissances gourmandes, telles les Ebullitions qui nous avaient fait manger en pleine nuit en 2010 ou un poulet cuisiné par le critique gastronomique François Simon en 2008 dans un bistrot des Halles (cet homme toujours mystérieux n'était bien sûr pas sorti de sa cuisine).

Cette fois, l'événement dure toute la journée et quatre chefs "modernes" se partagent l'affiche et officient successivement. A la lecture du menu, on a plutôt l'impression de plats de cantine ou de self basique mais on imagine que le chef fera un peu des siennes...

Bonne pioche ! On a fait un très bon repas :

- pour commencer, en accompagnement d'un apéritif anisé visiblement gros contributeur de la fête (à consommer avec modération), une drôle d'installation légumière préparée par Sven Chartier, le chef du restaurant Saturne. Un bon exemple de ce qu'est la branchitude en cuisine ! Il a repris le même genre d'idée qu'un chef basque que j'avais vu en démonstration au festival Omnivore : s'amuser à faire une fausse terre pour recréer l'idée de potager. Ici, il s'agissait d'une sorte de crumble de graines et d'olives, entièrement comestible, sur une faisselle de chèvre... Vous pouvez même avoir la recette en video.

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En entrée, on nous a servi une ratatouille moelleuse, parfumée, épicée, dont on aurait bien savouré quelques cuillères supplémentaires, à 10 000 km de la ratatouille en boite qu'on voit trop souvent en collectivité.

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Ensuite, un croissant au jambon (très bon jambon) avec oignons rouges fut un plat simple et plaisant (bon, la photo ne dit pas grand chose...).

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En dessert, un grand classique, une délicieuse mousse au chocolat (étrangement présentée n'est-ce pas !), réveillée par de la framboise séchée.

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L'ambiance était très sympa, le service mis en place par le Fooding impeccable, aucune fausse note, une très bonne soirée, qui s'est terminée par le salut du chef.

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Bref, on ne regrette vraiment pas d'être sortis en ce samedi soir. Cela se passait au Rouquet, un bistrot au look rétro de Saint Germain des Prés. Coût : 16 euros par personne tout compris et cerise sur le gâteau, on a fait une bonne action.

Et vous, comment vous sortez de vos petites routines ? 

 

13/07/2012

Connaissez-vous les Kits à Cuisiner ?

Les "Kits à Cuisiner", ce sont d'intrigants sachets pleins d'ingrédients aux formes et couleurs variés, avec tout ce qu'il faut pour concocter un plat ou un dessert gourmands. Tout y est, c'est facile et rapide, composé de produits naturels uniquement, secs ou déshydratés. Dans la gamme salée, la base est toujours une céréale ou équivalent : riz, pâtes, quinoa, ... On peut bien sûr, si on le souhaite, personnaliser et s'approprier le kit en y ajoutant quelques dés de légumes, des herbes, ... On peut choisir une soupe, des muffins, un riz cuisiné, une polenta, ...

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Ces "Kits à Cuisiner" naissent purement et simplement de l'imagination de Sophie, la patronne de l'Epicerie Lion, à partir d'un ingrédient, d'un goût, d'une rencontre. Elle remplit sa cuisine de toutes sortes de graines, fruits ou légumes déshydratés, épices et aromates, ... et crée des mélanges qui doivent être à la fois beaux et bons. Sa cuisine est son terrain d'expérimentation et les membres de sa famille ses cobayes.

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A force de les voir dans sa boutique, de m'amuser de leurs intitulés rigolos, d'en offrir parfois, je me suis dit que je pouvais bien aussi y goûter moi-même. Mon choix s'est porté sur un "riz sauté aux 5 parfums-balade en Asie". Il est resté un temps dans mon placard et un jour récent, cela m'a paru le plat impeccable pour une soirée improvisée sans envie de cuisiner.

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C'est vraiment tout simple : un peu d'huile dans une casserole, on y fait revenir le riz, on ajoute de l'eau et tout le reste du sachet (ici des petits pois, des champignons, toutes sortes d'épices) et on laisse cuire à couvert, tandis que de délicieux effluves envahissent la pièce (NB : le packaging a changé entre temps mais rassurez-vous, rien de périmé !).

Cela a donné un riz très parfumé, agréable à manger après un effort culinaire minimal !

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Ces kits ont été depuis leur création plusieurs fois copiés mais on peut compter sur Sophie pour imaginer toujours de nouveaux mélanges surprenants, sans abandonner ses best-sellers.

les "Kits à Cuisiner" sont disponibles à l'Epicerie Lion dans le 18eme, à l'Epicerie du 4 dans le 19eme et dans toutes sortes de "bonnes maisons".

Toute la gamme est présentée sur http://epicerie-lion.fr/

Et vous, vous les avez déjà essayés ?

11/07/2012

Je me souviens... de Philippe Conticini

Je me souviens d'avoir dîné à la Table d'Anvers des frères Conticini dans les années 1990,
Je me souviens que le dessert de Philippe Conticini m'avait bluffée,
Je me souviens qu'il y avait des fruits et du pain d'épices, enfin je crois,
Je me souviens qu'ensuite il est parti chez Petrossian et que je n'y suis jamais allée,
Je me souviens avoir vu un reportage émouvant à la télé sur ses efforts pour perdre du poids,
Je me souviens être allée dans sa minuscule boutique de la place du marché Sainte-Catherine,
Je me souviens de sa passion gourmande dans une vidéo à l'ouverture de la Pâtisserie des Rêves,
Je me souviens de mon ravissement quand j'ai goûté pour la première fois son Paris-Brest,
Je me souviens que la Pâtisserie des Rêves a un lien avec la jolie Maison des Rêves où j'ai vu une exposition,

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J'ai rencontré Philippe Conticini pour la première fois jeudi dernier. En quelques mots, il m'a résumé son histoire, son parcours, sa passion. C'était lors de la présentation de ses nouvelles douceurs en tous genres, certaines absolument merveilleuses. Je vous en reparlerai plutôt quand ces nouveautés arriveront en boutique afin que vous ne soyez pas frustrés de ne pas pouvoir y goûter si vous en avez envie...

Plusieurs adorables blogueuses fort gourmandes étaient là aussi :

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De gauche à droite, Edda, Pascale, Anne, Philippe Conticini, Mercotte