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16/04/2012

Un poisson, une papillote, c'est facile !

Il y a quelques jours, fait rarissime, je n'avais pas de consultation en fin de journée. J'en ai profité pour faire quelques courses alimentaires dans mon quartier, notamment passer chez le poissonnier pour le dîner. Choix d'une daurade, préparation des filets sur place, puis achat de quelques légumes et direction la cuisine !


L'idée, c'était de faire un poisson en papillote. J'en fais de temps en temps et j'ai un rouleau de papier sulfurisé pour cela. Le plus simple, c'est un lit de légumes sur le carré de papier, le filet de poisson, un peu d'assaisonnement et on referme bien.

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On peut improviser avec ce qui passe par la tête ou ce qu'on a sous la main. Cette fois, j'ai pensé à un petit livre qui m'avait plu il y a quelques mois mais qui était au bord de prendre la poussière dans ma bibliothèque culinaire... "Mes petites papillotes" dans la collection très abordable "Les petits plats" de Marabout. J'ai feuilleté le livre et fait un mix de plusieurs recettes, ce qui a donné un filet de daurade sur un lit d'épinards (des pousses d'épinard en lanières) avec un émincé de vert de poireau.

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Voilà, rien de compliqué, pas d'odeurs (c'est souvent la crainte qu'on a avec le poisson) et un résultat délicieux, cuit parfaitement à point.

Une papillote pour le poisson, ce n'est pas très original mais ce qui est sympa dans ce livre c'est qu'il y a aussi des idées appétissantes autour du poulet, des légumes et même des desserts.

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13/04/2012

La vie à toute vitesse : réflexion autour des feux de signalisation...

Avez-vous remarqué à quel point, depuis quelques années, les piétons ne respectent plus les feux (est-ce seulement à Paris ?) ? A tout moment, alors que le feu est clairement vert pour les voitures, je vois de nombreux piétons s'engager pour traverser la rue, même un large boulevard... Et même des personnes âgées avec canne, des adultes avec une poussette... Alors que des voitures sont en train d'approcher rapidement. Comme si plus personne ne songeait à attendre que le feu passe au rouge... (et je ne parle pas de la quasi-totalité des vélos qui pratiquent depuis longtemps un non-respect des feux !). Moi-même, je n'ai jamais eu la discipline des Japonais qui sont capables d'attendre un feu rouge en plein soleil sur une route totalement déserte : je traverse parfois en dehors des passages piétons ou du feu rouge mais seulement s'il n'y a clairement aucune voiture loin à l'horizon.

Alors, ces comportements m'irritent et me questionnent. Car cette petite chose me parait grandement parlante.

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Et cette personne, elle a respecté le feu ?

- De nombreuses personnes sont de plus en plus pressées, leur temps est minuté ou elles le vivent comme tel, au point que même ces quelques secondes d'attente deviennent insupportables. Est-il vraiment nécessaire de courir autant ?

- Une règle, tel que le fonctionnement feu rouge/feu vert, a beau avoir été établie depuis longtemps en vue d'une vie en commun harmonieuse, on ne la respecte plus et on est prêt à supporter le désordre que cela engendre. Jusqu'où cela ira-t-il ?

- Ce comportement crée une tension chez l'automobiliste en ville : auparavant, il observait le feu ; désormais, il peut à tout moment voir surgir un piéton alors que le feu est vert. Il doit  alors réagir en urgence et freiner brutalement. Son attention doit être toujours en éveil, il ne peut plus se fier à la signalisation, et c'est une source de stress évidente.

- Et peut-être ce comportement peut-il plus globalement dégrader les relations entre les personnes : on s'agace, on s'énerve car on a dû freiner brusquement et peu à peu, on devient plus méfiant ...

Quel rapport avec l'alimentation, me direz-vous ?

D'abord, la vitesse, le fait de ne plus prendre son temps a une claire influence sur la façon de manger. Beaucoup ne prennent pas le temps d'une vraie pause pour leur déjeuner, jugent que ce serait du temps perdu. C'est tellement tentant d'utiliser ce temps à autre chose... Alors, on mange de plus en plus vite, souvent en faisant autre chose en même temps, on ne prend plus le temps de se poser, d'apprécier son repas, de ressentir le moment où l'on est rassassié.

Ensuite le stress que l'on accumule en passant ses journées sous tension se retrouve souvent dans le comportement alimentaire. Cela entraîne souvent une tendance à se lâcher sur la nourriture, à grignoter, à décompresser en mangeant quand on rentre chez soi, ...

Alors, pourquoi ne pas recommencer à respecter les feux et profiter de cette pause pour lever les yeux et observer le monde qui nous entoure ... ?

 

Photo © SVLuma - Fotolia.com

12/04/2012

En matière d'aliments, soyons curieux...

Mes patientes sont sympas, certaines lisent mon blog, y postent des commentaires, d'autres essaient mes recettes ou m'en proposent. Et il y a même qui me font parfois des petits cadeaux ! Ainsi, l'une d'elles, m'ayant parlé d'un fruit que je ne connaissais pas, m'en a apporté un exemplaire peu après. Il s'agit d'un anone, un fruit originaire d'Amérique du Sud ou d'Espagne, vert-brun, avec une peau qui a une apparence comme des sortes d'écailles.

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Je l'ai coupé en deux, la chair est blanche, avec des pépins noirs (que l'on recrache). Et je l'ai savouré avec délice : il était bien mûr, la chair blanche est onctueuse, la saveur très douce, aux arômes vanillés, avec des parfums un peu au carrefour de la fraise et de la banane. Miam, voilà une jolie découverte.

L'anone est aussi appelé corossol et il semble qu'il fasse partie d'une famille comportant de nombreuses variétés aux aspects et goûs variés. Le mieux, c'est de goûter !

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Et vous, quel est le dernier aliment que vous avez découvert ?

09/04/2012

Les pâtes, ça se mange à toutes les sauces...

P1050333.JPGQuand on parle de pâtes, il y a, en simplifiant, deux types de personnes. Celles qui restent dans les basiques : sauce tomate, beurre, fromage râpé, voire carbonara plus ou moins authentiques. Ce sont souvent parmi celles-ci qu'on en trouve qui me parlent de "plâtrée de pâtes", une expression qui ne rend pas le meilleur hommage à cet aliment délicieux... Et il y a celles qui expérimentent, tentent des mélanges, utilisent les pâtes comme une base propice à toutes les variations. C'est plutôt ainsi que nous procédons, tout en restant majoritairement dans une certaine orthodoxie italianisante...

Ainsi, tombant sur une recette appétissante dans un excellent petit livre de pâtes dont je vous ai déjà parlé ("61 recettes de pâtes", de Monica Luciani), celle-ci a suscité l'envie du préposé au repas de ce jour-là, par ailleurs, fort amateur d'asperges. Cela a donné un plat coloré tout à fait délicieux : des pâtes aux asperges et lard de Colonnata. Je suis allée m'enquérir de ce dernier à l'excellente épicerie Rap, qui cumule une quantité impressionnante de trésors gourmands italiens au mètre carré. Dans la sauce, il y a aussi de la sauce tomate et du pecorino.

Et vous, vous avez des recettes de pâtes à partager ?

Rap, 15 rue Rodier (je n'ai pas testé le restaurant, juste en face), Paris 9ème

06/04/2012

Des légumes, une cocotte, facile !

En hiver, je fais souvent des soupes, en été, des salades. A ce moment de début de printemps, je penche plutôt pour une cocotte de légumes.

D'ailleurs, souvent des personnes me disent qu'elles ne savent pas cuisiner les légumes. Il me semble que la cocotte est une façon plaisante et simple de le faire.

Ici, pas de recette suivie à la lettre mais une provision de légumes variés, si possible de saison. Epluchés, coupés, les uns mis à cuire directement (jeunes carottes, fenouil, asperges, champignons, cébettes) avec un fond d'eau si besoin, les autres cuits rapidement en parallèle dans l'eau (petits pois, pois gourmands) et ajoutés en fin de cuisson, du persil plat, un trait de vinaigre de Banyuls et c'est prêt. C'était excellent !

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Et on peut varier à l'infini en changeant les légumes, en ajoutant différentes herbes ou épices (de la coriandre, du curry, du gingembre, ...), voire du lait de coco, de la sauce soja, ...On peut aussi glisser quelques fruits (dés de pomme, poire, grains de raisin, ...) pour une note sucrée acidulée, comme le propose Alain Ducasse dans son livre Nature.

Et comme rien ne se perd, tout se recycle : j'ai improvisé une soupe toute verte avec les fanes de carottes et les restes de fenouil, de pois gourmand, quelques petits pois, les tiges d'apserges, du persil. Elle fut vraiment délicieuse le lendemain.

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Et vous, vous faites des cocottes de légumes ?

05/04/2012

J'ai testé pour vous...l'aquabiking !

Profitant d'une promo attractive, j'ai décidé de tester une séance d'aquabike (aussi appelé aquacycling, watercycle...). Si vous parlez un tant soit peu anglais, vous comprenez sans doute qu'il s'agit de faire du vélo dans l'eau. Etrange, non ?

En effet, il y avait la natation, l'aquagym, voilà le vélo dans l'eau. L'intérêt, nous dit-on, c'est que l'effort est intense mais beaucoup plus supportable que sur la route. Et qu'on brûlerait beaucoup de calories...

Ma séance durait 30 mn, ce qui est suffisant pour moi qui débute mais j'ai vu que certains centres proposent 45 mn. En l'occurence, le lieu est moins glamour que certaines photos vues sur internet : eau pas vraiment turquoise, pas d'environnement de plantes vertes mais plutôt un sous-sol tristounet. Sept vélos sont alignés dans l'eau, on met des sandales anti-glisse et on s'installe. On démarre en musique, un peu faible et pas vraiment entraînante. Puis le prof fait enchaîner des petites séquences de pédalage, avec ou sans les mains sur le guidon, avant, arrière, normal ou sprint, debout sur les pédales, ... L'effort est intense, j'ai chaud, je m'applique, je parviens au bout de tous les exercices mais suis quand même assez contente quand ça s'arrête ! Je vous rassure, l'eau est assez chaude, on n'a pas froid du tout !

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Un exemple des nombreuses promesses faites autour de l'aquabike...

Je n'aime pas vraiment le principe mis en avant de "productivité" dans la consommation de calories mais j'avoue que dans le genre d'activité "cardio" avec un effort assez intense, ce n'est pas désagréable, surtout pour moi qui aime l'eau.

Et je constate après la séance que je me sens vraiment bien, détendue sans être fatiguée.

Problème annexe : les séances sont vraiment chères, autour de 20 euros à l'unité, un peu moins en forfait, voire plus dans des instituts de beauté, ce qui peut être carrément dissuasif pour beaucoup. Comme cela devient à la mode, il semble qu'un certain nombre d'instituts ou clubs de sport surfent sur la vague...

J'ai aimé : couci couça

J'y retournerai : peut-être (sous réserve de prix raisonnable)

04/04/2012

Du Japon à l'Italie, le riz...

J'aime le Japon,

J'aime l'Italie,

J'aime le riz...

Ce grain blanc fait le pont entre ces deux pays où il est assez semblable, petit et rond. Il était largement présent ce week end à notre table, avec :

- un riz japonais au maquereau et au cresson, une recette toute simple faisable avec une boite de maquereau au naturel mais rendue encore meilleure par l'utilisation de maquereau frais : associé au cresson, cela avait un goût bien marqué.

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- un risotto aux asperges, au Speck et au gorgonzola. De l'onctuosité et là aussi, beaucoup de goût et le plaisir de savourer chaque bouchée moelleuse à la cuillère.

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Au global, on s'est régalés. Et si vous pensez que cela fait beaucoup de riz, dites-vous qu'au Japon, la plupart des personnes en mangent tous les jours et même plusieurs fois par jour. Comme le pain chez nous !

Et vous, vous l'aimez comment, le riz ?

03/04/2012

Connaissez-vous les chocolats Akesson's ?*

Pour les tablettes de chocolat, bien sûr, il y a les grandes marques qui squattent le linéaire des supermarchés. Puis, quand on devient un peu plus exigeant, Il y a le top des chercheurs de grands crus : Bonnat et Pralus. Il y a aussi celles de chocolatiers dont ce n'est pas le coeur d'activité mais qui proposent néanmoins un vaste choix : Patrick Roger, Jean-Paul Hevin, ...

Et il y a aussi depuis quelque temps les petites tablettes carrées d'Akesson's. J'avais d'abord, grâce à Sophie de l'épicerie Lion, voisine des Abbesses, humé et goûté leurs poivres chaudement parfumés. Puis j'ai découvert le chocolat.

Un récent vendredi en fin de journée, je me suis en effet rendue à une dégustation de chocolats Akesson's organisée par l'épicerie Lion, un de ses quelques distributeurs parisiens. Le créateur de ces produits était là pour nous faire découvrir ses différents délices et ce fut un moment rare. A la fois car il est plus souvent aux quatre coins de la planète cacao qu'à Paris et par sa disponibilité, sa franchise et sa passion qu'il était content de partager.

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Il nous a fait goûter avec une progression étudiée et tous les détails souhaitables cinq chocolats isssus de ses plantations, tous très différents, aux arômes bien marqués :
- un cru du Brésil, où il a réhabilité une plantation dans la région de Bahia : une douceur fondante et des parfums de tabac,
- un cru de Madagascar, aux délicieux arômes de fruits rouges,
- le chocolat du Brésil garni de café grossièrement moulu (avec une vieille machine) à l'arôme très présent : du café qu'il a fait pousser sur les arbres d'ombrage des cacaoyers.
- le chocolat de Madagascar avec :
. du poivre fleuri Voatsiperifery,
. puis du poivre noir puissant.
- et pour finir en douceur, un chocolat au lait, sucré au sucre de fleur de coco, aux arômes de caramel.

Toute cette richesse de parfums repose sur le seul chocolat et a fait encore une fois la démonstration que c'est un produit d'une merveilleuse diversité.

Nous étions peu nombreux et cela a créé plus de proximité pour l'écouter, découvrir des photos de ses plantations sur son téléphone, échanger sur le marché du chocolat où il est difficile aux "petits" de se faire une place.

Bien sûr, il s'agit de chocolats plus coûteux que les chocolats de grande distribution mais on peut en manger peu : comme je le dis souvent, il est intéressant de savourer avec attention pour avoir beaucoup de plaisir avec peu de quantité. Et ne vaut-il mieux pas de très bons produits moins souvent ?

Merci à l'épicerie Lion pour cette belle rencontre !

*A la manière de Food Intelligence

31/03/2012

Un tagine de poulet, on se régale !

poulet, tagine de poulet aux pruneaux, recette facile, préparer un repas à l'avance, organisation, cuisine pratiqueLe poulet, enfant, je ne le mangeais que rôti, pour le déjeuner du dimanche. Depuis mes habitudes alimentaires ont terriblement changé, surtout dans le sens de l'ouverture, et j'aime varier les préparations.

Cette fois, j'avais besoin de pouvoir préparer un plat à l'avance, assez rapidement, pour avoir juste à le réchauffer en rentrant assez tard le soir. Je me suis souvenue d'une recette que j'avais faite pour un bento et que j'avais beaucoup appréciée, un tagine de poulet aux pruneaux. Bien adaptée à la période car, si le printemps est là pour le calendrier, il n'a pas encore livré toutes ses richesses légumières...

Les ingrédients sont simples, j'avais toutes les épices nécessaires, la recette n'est vraiment pas compliquée, elle est toujours , sur le blog gourmand d'Estelle.

J'ai choisi de l'accompagner de semoule, là aussi question de rapidité de préparation : 2 mn de cuisson dans l'eau bouillante pendant que le poulet se réchauffait, puis un filet d'huile d'olive. Ce fut tout à fait délicieux !

Et vous, vous l'aimez comment le poulet ?

30/03/2012

J'ai testé pour vous : le Power Plate ! (Stop au sport qui fait mal !)

Mon sport préféré, c'est la natation. Sans doute car je la pratique depuis toute petite. J'aime glisser dans l'eau, enchaîner les longueurs sans penser à autre chose, cela me vide la tête et me détend.

J'ai déjà écrit ici qu'il ne faut pas faire du sport par pure contrainte mais écouter ses envies, se faire plaisir, voir si cela nous détend. Les préférences en la matière sont très personnelles. Pour me faire une opinion et pouvoir parfois donner un éclairage à mes patientes qui le souhaitent, j'ai décidé de tester certaines activités en vogue.

Première expérience : le Power Plate

sport,activité physique,bouger,bien dans son corps,power plate,gym suédoise,nia,natationFait essentiellement pour se muscler, très orienté vers le résultat, cela était a priori éloigné de mes goûts mais je n'avais aucune idée de ce que c'était. En ayant beaucoup entendu parler, j'étais curieuse de voir. J'ai profité d'une super promo d'un site d'achats groupés pour tester cela dans une petite salle spécialisée. Je me change, un "prof" s'occupe de moi, en même temps que de deux autres personnes. En fait, il s'agit de tenir des positions un certain temps sur une sorte de plate-forme vibrante.

Je trouve cela hyper-désagréable ! Non seulement tenir des positions immobiles simplement pour se muscler ne me parait pas très intéressant, carrément ennuyeux, mais la vibration que je ressens jusque dans la tête est vraiment insupportable. Je tiens une demi-heure, la durée du cours mais pars en me promettant de ne plus jamais essayer. Alors que j'avais un bon pour deux autres séances à prix cassé ! Cela m'étonnerait que quiconque fasse cela pour le plaisir... Le Power plate est pour moi la traduction exacte du principe stupide "il faut souffrir pour être belle" (si tant est qu'être très musclée, c'est être belle... ceci est un autre sujet...).

J'ai aimé ? Pas du tout !

J'y retournerai ? Sûrement pas !

Et vous, vous avez déjà testé le Powerplate ? Vous avez aimé ?

Voilà, je vous parlerai d'autres activités prochainement.