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30/12/2011

L'art de réveillonner...

Je vous ai fait part il y a quelque temps de dix principes de base pour "bien manger". Je les ai relus à la lumière de cette circonstance festive. A lire si vous avez prévu de réveillonner autour d'un bon dîner :

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1. Manger quand on a faim : quand on connait à peu près l'heure où l'on va se mettre à table, on peu adapter son déjeuner (l'heure et le contenu) pour avoir faim au bon moment (et pas trop faim sinon on se rue sur l'apéro...) ;

2. S'arrêter de manger quand on n'a plus faim : c'est sûrement difficile dans ces circonstances mais on peut de temps en temps faire le point sur son appétit pour sortir de table pas trop mal...

3. Déguster les aliments avec les cinq sens : la conversation sera passionnante, elle n'empêche toutefois pas de regarder, humer, savourer les mets ;

4. Manger lentement en mastiquant les aliments : le dîner sera long pour attendre les douze coups de minuit, raison de plus pour ne pas se presser...

5. Se détendre avant de manger : qu'est-ce qui vous en empêcherait ? (à condition que vous ayez choisi des convives agréables ;-)) ;

6. Manger sans autre activité : sauf parler, échanger, bien sûr !

7. Ne pas s'interdire d'aliment : l'important, c'est de vous faire plaisir. Ce n'est pas le moment de compter les calories !

8. Développer sa curiosité pour de nouvelles saveurs : vous pouvez aussi en profiter pour goûter ce que vous ne connaissez pas, peut-être y a-t-il des mets étonnants ;

9. Ecouter ses envies : pour ne pas trop manger, il peut être intéressant de donner à la priorité à ce dont on a vraiment envie et laisser de côté ce qui nous indiffère ou qu'on remangera facilement ;

10. Présenter joliment les aliments : si c'est vous qui recevez, c'est la moindre des choses !

Très belle fin d'année gourmande !

Si vous voulez relire la liste originale, c'est ici.

Chez nous, c'est la fête tous les jours ! - épisode 4 (ou y a-t-il des endives en Italie ?)

Je ne suis pas sûre que les endives soient très présentes en Italie, on les trouve plutôt dans le Nord, non ...? Pourtant, les Italiens aiment l'amer et les endives en sont porteuses (moins qu'avant, semble-t-il), alors ils les aimeraient sans doute, comme ils aiment la salade Trévise. En tout cas, on peut s'essayer à cuisiner les endives à l'italienne, ou du moins avec des ingrédients italiens. Il s'est ainsi agi de renouveler la traditionnelle salade d'endives-noix-Roquefort en lui adjoignant du jambon cuit italien, du gorgonzola, des noix et en éminçant finement les endives. Ce fut délicieux !

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Et vous, aimez-vous les endives ? Aimez-vous l'amer ?

07:16 Publié dans Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : cuisine, endives, amertume, saveur amère, salade d'hiver | |  Facebook | |  Imprimer

29/12/2011

Chez nous, c'est la fête tous les jours ! - épisode 3 (ou quand Edda nous régale d'Italie)

Récemment, j'ai fait la connaissance de la chaleureuse franco-italienne Edda Onorato à l'occasion de la signature de son livre "Un déjeuner de soleil en Italie". Ce livre, et les recettes qu'elle donne sur son blog, sont fort appétissantes et contrairement à ce que le titre pourrait indiquer, il n'y en a pas que pour l'été...

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Ces derniers jours, j'ai donc eu envie de tester deux de ces recettes :

- l'une, issue du livre : une salade de pommes de terre en sauce verte, pour faire plaisir à mon amateur de pommes de terre qui trouve qu'on n'en mange pas assez souvent. Je me suis équipée de petites Rattes du Touquet et j'ai réalisé la sauce verte indiquée (persil, câpres, anchois, cornichons, mie de pain, ...). Elle avait une superbe couleur verte, était très parfumée et vraiment savoureuse avec les pommes de terre.

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- l'autre, un dessert picoré sur son blog tellement gourmand : des verrines ricotta, poire, noisette. Cela prend un peu de temps mais ce n'est pas du tout compliqué et on peut (on doit même) s'y prendre un peu à l'avance. Il s'agit de la superposition d'un biscuit léger à la noisette (parfum que j'adore), de poire marinée dans un sirop à la vanille et d'une mousse de ricotta. Un délice ! Notez que j'ai encore des progrès à faire dans la rigueur de présentation de la verrine...

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Merci Edda de partager autant de gourmandise de cette cuisine que j'adore !

28/12/2011

Chez nous, c'est la fête tous les jours ! - épisode 2 (ou quand la cuisine raconte une histoire)

On mange de temps en temps d'excellents risotti, la tradition italienne étant bien présente à table pour mon grand bonheur. Ce jour-là, en plus d'être délicieux, le risotto servi racontait une histoire, celle de celui qui l'avait cuisiné. En effet, ce risotto, au safran, à la brandade, au chorizo et à la tapenade n'était vraiment pas anodin car il disait ses origines, mi-italiennes, mi-espagnoles et aussi sa passion nippophile.

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Car le risotto, le riz Carnaroli, la purée d'olives utilisés, c'est l'Italie paternelle. Le chorizo et le safran, c'est l'Espagne maternelle. La brandade de morue, c'est sa ville natale de Nîmes (mais notez que cette brandade délicieuse était espagnole). Le bouillon dans lequel a cuit le risotto, c'était un dashi japonais. Et notez l'utilisation de baguettes en cuisine (non, non, ce n'est pas du snobisme !)...

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Tout cela a constitué un mélange richement parfumé qui nous a ravis.

Et vous, votre cuisine raconte-t-elle une histoire de filiation, de terroir, de passion, ... ?

07:01 Publié dans Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : italie, japon, transmission, risotto, brandade, chorizo, cuisine, famille | |  Facebook | |  Imprimer

27/12/2011

Chez nous, c'est la fête tous les jours ! - épisode 1 (ou un repas tout orangé)

Pendant les fêtes, je ne vous abandonne pas complètement (si vous passez de temps en temps devant votre ordinateur...). Je vous reparlerai peut-être, si c'est utile, des repas de fête. Et, si besoin, pour le réveillon à venir, vous pouvez (re)lire mes conseils de plaisir serein et gourmand ;-)). Mais pour l'instant, j'ai envie de vous montrer, comme je le répète souvent, qu'il n'est nul besoin d'attendre les fêtes ou de dépenser des fortunes pour se faire plaisir à table. En effet, ce n'est souvent pas une question de coût, peut-être davantage une question de temps. Mais on n'a vraiment pas besoin de passer des heures en cuisine !

Ainsi, la semaine dernière, j'ai eu envie de faire un dîner tout orange (et encore, je me suis limitée, il n'y avait pas de dessert* !). Je vous ai déjà parlé de ces repas monocolores qui sont un moyen à la fois de concevoir un ensemble joli à regarder et de débloquer sa créativité.

Au départ, j'avais des carottes et une recette appétissante que j'avais envie de tester : une soupe carotte-gingembre-orange (vue dans un livre que je continue à apprécier, le "Bonheur de cuisiner"). Très simple, comme souvent les soupes : on prépare les ingrédients, on cuit, on mixe.

Je me suis souvenue aussi d'une recette de potimarron au four, du livre "Les petits légumes", qui avait l'air toute simple (avec ail, sirop d'érable, épices, coriandre). Première occasion de cuisiner du potimarron cette année.

Du coup, il a suffi d'insérer un peu de coeur de saumon fumé moelleux que je venais d'acheter pour avoir un repas complet, facile et surtout délicieux.

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Suite au prochain épisode !

*ce n'aurait pas été compliqué en cette saison, il suffisait de faire appel aux clémentines....

24/12/2011

Joyeux Noël gourmand...

...quelle que soit votre gourmandise ! Ecoutez vos envies et faites-vous plaisir !

Et si à Noël, par exemple, on mangeait des pâtes, pour changer du foie gras ?!

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07:40 Publié dans Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : fêtes, noel, réveillon, pâtes, mets de fête | |  Facebook | |  Imprimer

23/12/2011

Manger seul(e) chez soi, ne serait-ce pas aussi la liberté ?

Deuxième épisode, où l'on parle de manger seul(e) chez soi.

Manger, je vous en parlais hier, est un acte convivial : la plupart d'entre nous aimons partager notre repas avec de la famille, des proches, des collègues, ... Mais diverses circonstances font qu'on peut être amené (e) ponctuellement ou régulièrement à manger seul(e) chez soi.

Prenons-le du bon côté, et disons-nous que cela nous permet une certaine liberté dont ce serait sympa de profiter :
- je peux manger exactement ce dont j'ai envie, sans avoir à négocier avec d'autres convives aux goûts différents (et cela vaut peut-être la peine de consacrer quelques minutes à le cuisiner, je le mérite !) ;
- je peux manger les plats dans l'ordre que je veux : si j'ai envie de commencer par le fromage ou le dessert, libre à moi, personne ne me traitera de fantaisiste !
- je peux manger à mon rythme, faire des pauses, m'arrêter, reprendre, manger le dessert une heure après le repas, ... ;
- je peux m'installer où je veux dans la maison, et pas forcément à table (à ce sujet, des personnes me disent souvent piteusement : "je mange devant la télé, oui, je sais, ce n'est pas bien !". Je ne serai pas si catégorique, cela peut être parfois difficile de manger dans le silence. L'important me parait être, si on préfère vraiment manger devant la télé, de garder une part d'attention pour son repas et ne pas se laisser totalement absorber par l'émission) ;
- je peux manger dans la tenue qui me plait, du moment que je me sens bien ;
- je peux me concentrer sur les merveilleuses saveurs de mon assiette sans être perturbé (e), prendre le temps de déguster, de me remplir de sensations.

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Je me souviens que cette assiette estivale et solitaire fut fort plaisante

Et on peut aussi décider parfois de renouer avec la convivialité, telle cette patiente célibataire qui régulièrement se réjouissait de dîner en compagnie de sa voisine beaucoup plus âgée.

Alors, seul(e) ou à plusieurs, savourons ce que nous mangeons !

22/12/2011

Manger seul(e) au resto, est-ce si triste ?

Cette semaine, alors que beaucoup vont passer des moments en famille, je vous propose deux billets légèrement à contre-courant, à propos des repas pris en solitaire, à l'extérieur (aujourd'hui) ou chez soi (demain).
 
Beaucoup de personnes détestent, le mot n'est pas trop fort, manger seules au restaurant. Déjà, nombreux sont ceux qui n'aiment pas se retrouver face à leur assiette chez eux. Au restaurant, ils sont non seulement tristes de ne pas partager un moment avec autrui mais de plus, souvent, ils ont l'impression que tout le monde les observe et sans doute les plaint de ne pas être accompagnés.

Certes, manger est une activité de partage. Par goût ou par obligation, ce n'est pas toujours possible. Du coup, on peut peut-être trouver des conditions pour que ce soit quand même un bon moment.

Un très bon restaurant, c'est bien normal de préférer le partager (encore que... si la conversation est trop passionnante, elle risque de prendre le pas sur les mets et ce serait dommage). Alors, on peut lui préférer des lieux plus simples, voire même où le fait d'être seul (e) est prévu.

Soit parce qu'il y a un comptoir : il est souvent présent dans les restaurants japonais de sushis (les vrais bien sûr !), et dans quelques lieux qui s'y sont mis. Il y a aussi les bistrots où l'on peut déjeuner au bar, il permet de s'asseoir face au chef, au serveur, ... Eventuellement d'engager la conversation, de regarder les préparatifs, ...

D'autres lieux, du plus traditionnel au plus branché, ont installé une table d'hôtes, une grande table où tout le monde mange ensemble et où il est donc facile d'échanger quelques mots avec son voisin si on en a envie.

On peut aussi emporter un livre, un journal, ou le trouver sur place mais en veillant à ce que cette occupation ne nous détourne pas complètement de l'assiette et des sensations plaisantes que l'on peut capter en mangeant.

En restauration rapide, le mangeur solitaire est largement attendu et des types d'assises multiples sont prévus (longue table face au mur ou à la vitre, petites tables hautes, ...). En général, on sait qu'on ne va pas s'attarder. Ce n'est pas une raison toutefois pour avaler son repas à toute vitesse ! Faisons de ce moment une vraie pause plaisante. En effet, pourquoi ne pas profiter d'être seul(e) pour manger avec un peu plus d'attention, surtout si on a choisi quelque chose qui nous faisait envie.

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Ainsi, il y a quelques jours, de retour d'une "expédition" lointaine et pluvieuse, je suis allée déjeuner chez Cojean, ce qui est devenu assez rare. J'avais entendu parler de leur soupe de gyoza ("fantastic gyoza & noodle soup") et cela m'a paru bien adapté à la température. J'ai choisi ceux au poulet (il y a aussi végétarien et fruits de mer). On prend sa "soupe", à la caisse, le serveur ajoute le bouillon et on s'installe. Je hume les exotiques parfums (citronnelle, coriandre, menthe...), je remue et je déguste avec des baguettes. Les délicieuses sensations suffisent à m'occuper et à me satisfaire. C'est parfumé et nourrissant : outre les gyoza (sortes de ravioli), il y a des soba, un peu de légumes, un bouillon épicé. Un vrai bon plat et aucune tristesse à le manger seule !

Et vous, comment vivez-vous un repas solitaire à l'extérieur ?

21/12/2011

Ce n'est pas parce que les fêtes approchent qu'on va mourir de faim ! (ou la cuisine domino s'empare du saumon fumé)

Je vous racontais que, dimanche, nous avions mangé du saumon fumé. Il en restait largement et j'en ai emporté deux tranches en prévision de futurs repas (j'en voulais une seule au départ mais vous connaissez la générosité des parents... même quand leurs enfants sont très grands et ne risquent pas de mourir de faim !). Deux tranches ok, mais pas pour le manger à l'identique, ce ne serait pas drôle !

Le lundi, devant déjeuner rapidement, je me suis préparé un sandwich, un de mes classiques avec une base que j'agrémente selon les ingrédients disponibles. J'ai fait avec divers restes et je n'ai eu en fait qu'à acheter le pain. Dans ce sandwich qui s'est avéré délicieux, il y avait donc de la ricotta, du saumon fumé, du concombre, des feuilles de mâche.

Suite à cela, il en restait encore. Pour le renouveler et être sûre qu'il se conserve, je l'ai fait cuire, ce qui donne des sortes de miettes de saumon. Il a ainsi agrémenté un bento plein de parfums et de textures : sarrasin, concombre, mangue, crevette, saumon, coriandre. Miam !

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Il s'agit là de la cuisine domino dont je vous parle quelquefois. Ne pas gâcher, ne pas s'obliger à finir un plat quand on n'a plus faim, ne pas forcément re-manger exactement la même chose, elle permet tout cela à la fois ! Car, en attendant des repas censés être particulièrement festifs, je continue tous les jours à me faire plaisir en mangeant ! Pas vous ?

20/12/2011

Repas de fête sans excès : je l'ai fait !

Ce dimanche, c'était repas festif en famille pour cause d'anniversaires multiples et de Noël anticipé. L'occasion de mettre en pratique ce que je vous répète : pas question de rester dans la théorie, je m'applique bien sûr à moi-même mes préceptes ! s'écouter, se faire plaisir, savourer, réguler, ... Récit.

Le repas commença comme c'est souvent le cas par un apéritif avec petits fours salés. Envie d'en déguster quelques-uns car je les sais bons (plus tentants que des cacahuètes) mais sans se laisser influencer par le plat qui passe et repasse : je sais que la suite est copieuse.

Mais les hôtes ont été raisonnables et ont conçu un repas où la liberté règne en maître, prenez-en de la graine si vous êtes maître de cérémonie !

Nous commençons par du foie gras de canard et du saumon fumé, de grands classiques, accompagnés de pains divers. Chacun se sert et se ressert comme il l'entend, nulle obligation de finir le plat. Alors, se servir une petite part de chacun, goûter, apprécier, savourer, ne pas manger trop de pain, ne pas forcément y revenir ou très légèrement (en revanche, emporter une tranche de saumon fumé en pensant qu'il fera bonne figure dans le sandwich du lendemain !).

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Ensuite, les hôtes ayant considéré que cette entrée riche peut aussi faire office de plat, ce qui ne me gêne aucunement, on passe directement aux légumes : assortiment délicieux d'haricots verts, pommes dauphine et girolles. Chacun se sert et se régale. 

Un superbe plateau de fromages avec une grande variété est servi ensuite. Le choix est difficile tellement il y en a de différents. Prendre son temps, réfléchir à ses envies, ne pas se laisser impressionner, du fromage, on en mange régulièrement, en choisir deux ou trois et prendre de tout petits morceaux, avec un peu de pain. Là encore, la liberté est de mise et le plateau de fromages repartira encore bien garni.

Car il convient, si on aime le sucré, comme cela est mon cas, de garder une petite place pour le dessert. D'autant que je sais qu'il s'agit d'un bon gâteau...

Quelques fruits de saison pour ceux qui en ont envie, avant une petite pause et la conclusion donc : un superbe Opéra au glaçage lisse et brillant, de la pâtisserie Grandin, fondée en 1822, et que je connais depuis quasiment ma naissance ! Chacun peut avoir une part selon son envie. Même les enfants présents savent se réguler et n'ont pas les yeux plus gros que le ventre ! L'appétit diminue, une petite part me suffira, elle est tout à fait délicieuse avec ses parfums de café et de chocolat et je la savoure avec lenteur.

Côté boissons, j'ai bu un peu de champagne en apéritif et de vin blanc à table mais aussi beaucoup d'eau, présentée dans de jolies bouteilles (eh oui, le marketing des fêtes avait frappé !). Car il y avait bien sûr deux verres pour faciliter l'alternance.

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Voilà un bon repas, copieux mais sans excès. Il est clair que je n'ai plus faim, que j'ai mangé davantage que d'habitude, mais je ne ressens pas de lourdeur. Pas besoin d'anticiper, dans quelques heures, je ferai le point de ce que mon estomac réclame au dîner. Et, à aucun moment, on ne m'a obligée à manger plus que mon envie, c'est donc à moi qu'il revenait de décider. Je vous souhaite de pouvoir faire de même !