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15/12/2010

Un bento, oui mais pas tous les jours

Chouette, encore un bento ! Comme j'avais une bonne quantité de légumes pour lundi, j'ai pu en garder pour garnir un bento mardi. Cette fois, avec les légumes, il y avait une salade de crevettes et concombre, et du riz.

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Mais je reste raisonnable, je ne me fixe pas de faire des bentos tous les jours (j'admire celles qui le font !), j'alterne avec des déjeuners à l'extérieur, l'approvisionnement en restauration rapide de proximité, un sandwich ou une salade, ... Et cela satisfait mon besoin de variété.

Pour vous motiver peut-être à vous lancer dans des déjeuners faits maison de temps en temps, rappelez vous que cela a un triple intérêt :
- gustatif car vous mangez des aliments qui vous plaisent et cuisinés à votre façon,
- nutritionnel car vous savez ce que vous mettez dedans et comment vous les assaisonnez,
- économique : même avec de bons ingrédients, il y a de bonnes chances que cela vous revienne moins cher qu'un repas à l'extérieur.

Ensuite, vous avez le choix : le déballer au calme pour manger tranquille ou rallier quelques collègues pour déjeuner de façon conviviale. Mais pas devant l'ordinateur s'il vous plait !

08:03 Publié dans Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alimentation, déjeuner au bureau, bento, lunchbox, japon, riz | |  Facebook | |  Imprimer

14/12/2010

Qui n'aime pas les fruits d'hiver ?

P1020989.JPGQui croit ne pas aimer les fruits d'hiver, qui se lamente de devoir se contenter de pommes et poires, devrait absolument goûter cette salade de fruits inspirée par une recette de Kaori Endo, une des cuisinières japonaises francophiles en vogue à Paris.

Je n'ai pas tout à fait suivi ses proportions et n'ai pas ajouté les amandes prévues ni le sucre, qui me paraissait tout à fait superflu (et j'ai eu raison). Il y avait déjà une multitude d'ingrédients : poire, orange, pamplemousse, kaki, graines de grenade, dattes, abricots secs, pruneaux, jus de citron vert, gingembre, vanille. On mélange tout cela, on laisse mariner 2 heures et on déguste. Un pur délice qui fait apprécier l'hiver !

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

Plat du jour au Y

Dans le 9eme arrondissement de Paris, il y a une rue plutôt tranquille, la rue Godot de Mauroy qui se déroule toute droite entre Madeleine et les grands magasins du boulevard Haussmann. M'y promenant à l'heure du déjeuner, j'ai remarqué à quel point elle était riche en offre de restauration de toutes sortes : rapide, traditionnelle, étrangère, ... ? Alors, comment faire son choix ? Le mieux est d’écouter son envie du moment. Car le plaisir fait partie intégrante du rassasiement : si on mange un plat qui correspond à notre envie et non un choix fait par contrainte, raison, …, on sera pleinement satisfait et on pourra passer à autre chose sans frustration. C’est donc ce que j'ai fait un midi récent : il fait froid, j'ai faim, un plat chaud et reconstituant ferait mon bonheur. 

Attirée par l'ardoise des plats du jour, je m'arrête au Y (le prononcer pour comprendre : c'est un restaurant grec !). Je choisis un poivron farci au riz et au bœuf, un plat qui me paraît répondre à mon cahier des charges. Le service est rapide, souriant, agréable, je suis vite servie. Le poivron arrive, fort appétissant. La farce est moelleuse, le poivron bien tendre, une sauce tomate plutôt goûteuse évite toute par sécheresse. Le tout est fait maison et tout à fait revigorant et réconfortant. Je le savoure tranquillement, l’assiette est chaude et préserve la température. On aurait pu se passer des pommes de terre, qui n'apportent pas grand chose. Il s’agit d’un plat traditionnel grec, le « gemista ». Cela me permet de voyager un peu sur la pause déjeuner.

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Ce n’est pas de la grande cuisine mais ce n’est pas ce qu’on recherche en général au déjeuner.  C 'est une cuisine familiale faite maison, le patron est grec et installé depuis longtemps en France.

Le Y, 24 rue Godot de Mauroy, Paris 9eme

Formule 13,50 euros : entrée-plat ou plat-dessert + boisson

 

 

 

 

 

 

Bento du lundi, c'est plus facile

J'ai l'impression qu'en général, je parle plus de bentos en début de semaine. En effet, je suis comme beaucoup de personnes : le week end, j'ai plus de temps pour faire des courses, pour cuisiner, je peux plus facilement préparer pour le lendemain. En fin de semaine, le frigo se vide, on est peut-être plus fatigué (e), ...

Donc, dimanche soir, j'ai eu le temps de cuisiner une poêlée de légumes à la japonaise (champignons, carottes, haricots verts), de faire mariner et cuire du poulet au citron auquel j'ajouterai du persil plat. Lundi matin, il ne me restait plus qu'à cuire des soba (pâtes de sarrasin japonaises), que j'ai ensuite agrémentées, au moment de manger, d'une sauce à la ciboulette et au gingembre (cuisine domino : c'était le reste de la sauce du tofu) et d'algue nori. Cela a fait un déjeuner vraiment délicieux avec une soupe miso pour réchauffer le tout.

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Cela concerne aussi les dîners. Il ne s'agit pas de planifier de façon rigide les repas de la semaine. Mais cela peut être utile de se rendre compte qu'en fin de semaine, on aurait sans doute intérêt à avoir quelques basiques faciles à préparer avec ce qu'on a dans les placards. Et qu'il vaudrait mieux oublier les légumes achetés presque une semaine avant, qui flétrissent dans le bac à légumes. C'est donc sans doute plus en fin de semaine qu'on va préparer de bonnes pâtes vite prêtes, une omelette, qu'on va ressortir un plat congelé avec soin, ... Aucun problème, l'important est surtout que cela soit bon, vous fasse plaisir et que vous variiez les saveurs.
Et vous, avez-vous l'impression que vous mangez différemment en début et en fin de semaine ?

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

13/12/2010

La cuisine japonaise, ce n'est pas que des sushis !

Depuis quelques années, ce qu'on voit le plus en France de la cuisine japonaise, ce sont les sushis, sashimis, ...pour le meilleur et pour le pire ! Avant, il y avait eu les yakitori (brochettes). Il y a aussi, du moins à Paris ou dans les grandes villes, les tempura, les ramen, ... Mais ce n'est pas tout. Ainsi, cette semaine, il se trouve qu'on a beaucoup mangé japonais mais rien de tout cela.

Il y a par exemple toute une cuisine familiale. Dont un plat d'hiver déclinable de multiples façons, le nabe (prononcer nabé). Il s'agit d'un d'un bouillon qu'on fait mijoter. On peut y mettre ce qu'on veut. Cette fois, c'était quelques fines lamelles de boeuf et beaucoup de légumes : carotte, épinards, poireau, champignons. Le bouillon était composé de dashi, sauce soja, saké, mirin. Le tout était un régal, tout à fait adapté à une soirée où l'on est mieux au chaud chez soi que dehors.

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Les Japonais sont aussi de grands amateurs de pâtes et c'est vraiment un de leurs plats très usuel. Outre les ramen, cuites dans un bouillon à base de viande, les soba (nouilles de sarrasin), il y a les udon, grosses nouilles de blé qu'on avale en faisant bruyamment "slurp" (ce qui n'est pas du tout mal vu au Japon, au contraire). Le "temple" à Paris, c'est Kunitoraya, où l'on déguste des udon dans un bouillon très chaud. Là, je les ai mangées avec une crevette, des algues wakame et des feuilles de chrysanthème.

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Autre régal japonais, le tofu*. Une des spécialités qu'on goûte à Kyoto, ville marquée par le végétarisme bouddhiste, c'est le tofu bouilli (ou yudofu). De gros morceaux de tofu cuisent dans un dashi (bouillon fait avec de l'algue kombu), avec des feuilles de chou, et on les déguste en les trempant dans une sauce goûteuse.

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*A Paris, il y a notamment du bon tofu chez Kioko, Jujiya, Ace-mart, épiceries situées dans le quartier Opéra-Ste Anne.

12/12/2010

Repas de fêtes sans stress - un atelier utile et agréable

Fotolia_orane_noel.jpgJeudi, j'animais un atelier en vue des fêtes et des repas en famille ou avec les amis, qui sont en général d'actualité en cette période. Le but était d'enlever du stress à ces moments pour n'en garder que le plaisir d'être ensemble. Je pensais à plusieurs types de stress et les participantes en étaient assez représentatives, dans des styles différents :

- le stress d'organiser, que tout se passe bien, que les invités soient contents, que le menu leur plaise,

- le stress de prendre des kilos en enchaînant sans fin (et sans faim) les repas à rallonge, ou se lâchant car on se restreint le reste du temps,

- le stress de trop manger et d'avoir des suites de repas pénibles,

- le stress d'être mal vu(e) si on dit non trop souvent pour se resservir ou pour refuser un n-ième plat.

On a échangé beaucoup autour de ces sujets ; on a réalisé que, parfois, on se comportait en tant que personne invitante comme les personnes qui nous reçoivent et nous "gavent" ; on a réfléchi aux moyens de faire autrement ; on a passé en revue idées, contraintes, astuces des unes et des autres. Je vous livre quelques pistes :

- ne pas arriver affamé (e) pour ne pas se jeter sur l'apéro et se couper la faim ;

- se renseigner si possible sur le repas pour repérer ses mets favoris et garder "de la place" pour les apprécier (surtout si c'est les desserts qu'on préfère !) ;

- écouter ses envies pour privilégier l'entrée qu'on apprécie le plus (il y en a souvent 2, 3 ou 4) et prendre une moindre quantité (ou pas) des autres,

 - prendre (ou se faire servir) des petites quantités, notamment du plat principal, et ne se resservir que si c’est vraiment délicieux,

- zapper les mets habituels qu’on reverra très probablement, le fromage par exemple (sauf rareté), ou les chocolats qui pourront sûrement attendre quelques jours,

- ne pas se laisser complètement happer par l'ambiance conviviale, manger avec attention, savourer  les aliments pour les apprécier dès les premières bouchées et ne pas avoir à se resservir,

- ne pas avoir peur des aliments « riches », on en mange peu,

- savoir dire non agréablement, en complimentant avec précision sur le plat, si l'on n'a pas envie d'en reprendre,

- faire le point de temps en temps sur ses sensations et ne pas se sentir obligé (e) de manger autant que les autres si l'on n'en a pas envie,

 - après un repas très copieux, attendre si possible le retour de la faim.

 

Claire, spécialiste es fêtes en tous genres m'avait fait le plaisir d'être là et l'atelier l'a fait réfléchir en vue du réveillon qu'elle prépare pour une grande famille. C'est à lire ici.

Merci beaucoup à toutes les participantes pour les échanges riches et sincères.

Visuel copyright Fotolia_Orane

 

09/12/2010

Maigrir, C dans l'air mais pas forcément clair

Je voudrais revenir un peu sur la discussion entre Gérard Apfeldorfer et Pierre Dukan qui a eu lieu dans le cadre de l'émission C dans l'air vendredi dernier.

Quand je vois ce type d'émission, je me réjouis que cette approche alternative aux régimes, défendue par le G.R.O.S. soit entendue du grand public. Mais en même temps, j'ai l'impression que cela suscite quelques malentendus.
- Comme on interroge Gérard Apfeldorfer, qui est psychiatre, cela pourrait donner à penser que toutes les personnes en difficulté avec leur alimentation sont des cas pathologiques. Non, bien sûr ! De nombreuses personnes ont pris du poids au fil des ans consciemment ou non, ont peut-être enchaîné des régimes à répétition, avec reprise des kilos perdus, mais cela reste une question alimentaire.
- On pourrait croire aussi que, si on a grossi, il faut accepter son poids si on abandonne les régimes. Non plus ! Ou en tout cas, pas toujours.

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Avoir du plaisir à manger une pomme comme ceci...

Chaque personne est différente et a une histoire alimentaire qui lui est propre.
Si on a pris du poids car on mange trop par rapport à ses besoins, on peut commencer par revenir à l'écoute de ses sensation de faim et de rassasiement et on diminuera ainsi les quantités et donc l'apport calorique global sans se priver.
Une fois ce travail fait, il arrive souvent qu'on constate qu'on mange sans faim, soit machinalement, soit par habitude, soit pour chercher du réconfort ou fuir certaines émotions. Beaucoup de personnes cherchent du plaisir dans la nourriture quand " ça va mal". On peut alors engager un travail sur ses émotions ou son stress sans forcément aller voir un psy, au moins en première approche (mais il ne faut pas avoir peur du psy non plus).

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... ou comme cela, sans culpabilité, en la savourant

Plusieurs solutions sont envisageables :
- se débrouiller seul(e) car on se connaît bien, ou l'on a l'habitude de s'écouter, ou l'on a déjà appris à faire un travail sur soi.
- consulter le site www.gros.org qui donne de nombreuses explications et analyses,
- lire des ouvrages qui vont aider à prendre du recul (quelques suggestions ci-dessous*),
- si on ressent le besoin d'une approche plus personnalisée, d'un échange, d'un accompagnement pour amorcer le changement, aller voir un praticien du G.R.O.S (médecin nutritionniste ou diététicienne) ou un professionnel de santé dont vous savez qu'il a ce type d'approche globale du comportement alimentaire, quelqu'un qui ne vous donnera pas un régime mais vous aidera à comprendre et avancer dans la voie du changement.

Tout cela pour revenir à une alimentation intuitive et plaisante qui permette d'atteindre son juste poids.

*quelques suggestions (pas du tout exhaustives) de lectures :
Pour aider à avoir une vision globale du comportement alimentaire :
- Mangez en paix de Gerard Apfeldorfer,
- Maigrir sans regrossir, est-ce possible, de Jean-Philippe Zermati

De façon plus ciblée, pour comprendre le rôle des émotions dans les prises alimentaires :
- Lorsque manger remplace aimer, de Geenen Roth
- Les kilos émotionnels, de Stéphane Clerget
- Gérez vos émotions, perdez du poids, de Roger Gould (un peu compliqué à utiliser me semble-t-il)

Pour se détacher de l'obsession de la minceur,
- A 10 kilos du bonheur, de Danielle Bourque.

Achats gourmands de Noël

P1020962.JPGVous êtes peut-être en pleine réflexion sur les cadeaux de Noël ou dans le tourbillon des courses. Pour ma part, vu ma passion pour l'alimentation, je fais maintenant très souvent des cadeaux gourmands. Comme le proposent de nombreux magazines, on peut les confectionner soi-même (biscuits, bonbons, confitures, épices, ...). Je dois avouer que je suis un peu paresseuse en la matière et je me tourne plutôt vers de bons produits pour concocter des "paniers" gourmands personnalisés, en fonction des goûts du destinataire. Pour cela, je vais dans quelques boutiques , par exemple :

- Chocolatitudes, qui propose toutes sortes de délicieux cadeaux chocolatés originaux,

- L'Epicerie du 4, rue de la Villette, qui a installé ses jolies vitrines de Noël (ci-contre) et est allée chercher dans toute la France et au-delà, des gourmandises salées et sucrées, des thés Cannon et Tamayura, des jus de fruits, ...

- l'Epicerie Lion, rue des Abbesses, initiatrice des fameux kits de riz au lait que vous connaissez peut-être et autres gourmandises toujours végétales.

L'avantage de ces lieux, c'est la variété des produits, la possibilité de trouver des produits à tous les prix, l'accueil sympathique et personnalisé.

Il y a bien sûr d'autres épiceries de ce type, à vous de dénicher quelques trésors à Paris et ailleurs.

07/12/2010

Un bento en hiver aussi ?

P1020970.JPGD'abord, je tiens à rassurer les personnes qui me lisent et qui pense que je suis une super-woman de la cuisine qui passe son temps à préparer repas, bentos, ... Je passe plus de temps à mon cabinet que dans ma cuisine et, comme de nombreuses femmes, je n'ai ni le temps ni le courage de me préparer un repas à emporter tous les jours ! Mais j'aime bien préparer de temps en temps un bento pour mon déjeuner quand j'ai le temps et les ingrédients. Car c'est ensuite un vrai plaisir pour ma pause déjeuner.

P1020971.JPGVous vous demandez peut-être si un bento est adapté à l'hiver, où l'on a plutôt envie de plats chauds. Pour ma part, je mange un bento froid car je n'ai pas de moyen de le réchauffer. Mais mon repas comprend deux éléments chauds qui compensent cet inconvénient : du thé et une soupe miso. J'utilise des petits sachets de préparation pour soupe miso individuels et c'est bien pratique. Il me suffit de faire chauffer de l'eau pour le thé et la soupe et le tour est joué.

Cette fois, j'ai profité de la préparation d'une soupe de brocoli pour prélever quelques têtes de ce légume (c'est la cuisine domino dont je parlais il y a quelques jours). J'ai fait cuire en même temps à la vapeur des rondelles de carotte. J'ai aussi fait revenir rapidement des crevettes que j'avais au congélateur, avec échalote, gingembre et sésame (celles du quinoa de la semaine dernière). Tout cela a donné un bento d'hiver fort sympathique, très bon et franchement pas compliqué.

NB : pour les plus curieux, il y a avec le riz des petites prunes ume et un condiment au poisson mariné, rapportés du Japon.

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne de temps en temps un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

Diversité : s'accepter avec style !

mode.jpgJ'aime beaucoup le blog modepersonnel(le) d'Isabelle Thomas, son regard décalé sur la mode, son ton décomplexant, ses magnifiques photos. C'est en le lisant que j'ai eu l'idée de faire appel à Lucile Prache pour refaire ma bannière. Et c'est grâce à Lucile Prache que j'ai rencontré Isabelle Thomas. L'étonnant, c'est que, après avoir baigné pendant des années dans le monde de la mode et en être passionnée, elle n'est pas une accro à la minceur à tout prix et elle accompagne avec joie ses clientes, quel que soit leur gabarit.

Nous avons échangé sur cette dictature de la minceur qui fait tant de mal aux femmes, sur cette difficulté qu'elles ont souvent à s'accepter. Cela lui a donné l'idée d'un article qu'elle vient de publier, qui fait un écho à celui que j'ai écrit sur la diversité. A lire, ainsi que les nombreux commentaires plutôt d'accord avec nous.