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31/01/2011

Je me souviens...

je me souviens, georges perec, italie, cuisine, partage, pâtes, familleJe me souviens des raviolis, les meilleurs que j'ai mangés,

Je me souviens des cannelloni, gorgés de sauce tomate,

Je me souviens des gnocchis, fermes et moelleux à la fois,

Je me souviens des farcis, que je n'ai jamais aussi bien réussis,

Je me souviens des involtini, une délicieuse découverte,

Je me souviens que pourtant, elle ne venait pas d'Italie,

Je me souviens que cuisiner était au coeur de sa vie,

Je me souviens que tous en profitaient, la famille, les amis,

Je me souviens qu'à son fils, elle a beaucoup transmis,

Mais la mamma, elle est partie...

30/01/2011

Faisons goûter les enfants !

alimentation,nutrition,goût,enfants,dégustation,saveur,éducation au goût,classes du goûtCette fois, je ne vais pas vous parler du goûter, cet agréable (et souvent nécessaire) moment de pause dans l'après-midi. Mais plutôt du goût et de son éveil. Cette semaine, je participais à un colloque sur l'éducation au goût des jeunes, sous l'égide du Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation... (trop long à citer en entier !). Sujet qui m'intéresse vivement car je suis persuadée qu'une éducation au goût et aux aliments est plus utile pour développer une relation sereine et plaisante à l'alimentation qu'une éducation nutritionnelle orientée santé.

Un petit zoom sur quelques points qui m'ont parlé (il ne s'agit en aucun cas d'un compte-rendu exhaustif et je reviendrai peut-être sur d'autres points). Globalement, j'ai été confortée dans ce que je connaissais concernant le comportement alimentaire des enfants :

- le bébé est naturellement régulé dans ses sensations de faim et de rassasiement. Il adapte spontanément ses prises alimentaires en fonction de la densité calorique des aliments. Cette auto-régulation peut diminuer quand il grandit mais il est souhaitable de la préserver le mieux possible. Malheureusement, de nombreux éléments peuvent l'éloigner de cette régulation :
- si on lui sert des portions inadaptées, trop importantes pour son âge,
- si on l'incite fortement à finir son assiette,
- si on positionne certains aliments comme des récompenses, par exemple : "si tu manges tes légumes, tu auras du dessert",
- si un parent est lui-même en restriction, au régime et contrôle ce que mange l'enfant par peur qu'il grossisse,
- si on lui interdit certains aliments, ce qui en renforce l'envie et pourra le faire "se lâcher" quand il en aura devant lui, etc.

Les bébés ont dès le départ une attirance naturelle (de survie !) pour les aliments gras et sucrés (dont le lait maternel) car ce sont les plus riches en énergie, les plus nourrissants. L'enfant qui grandit continue le plus souvent à préférer les aliments doux et denses (les féculents par exemple).

Mais on peut quand même développer peu à peu son goût d'autres aliments. Au hasard, les légumes !
On a observé qu'il y avait plusieurs facteurs favorables pour que les enfants aient progressivement du plaisir à manger des légumes :

- d'abord, cela peut paraître une évidence, qu'il y en ait dans la maison, qu'ils soient disponibles. Cela aide à les rendre plus familiers. Cela signifie aussi bien sûr que les parents mangent des légumes avec plaisir et pas par contrainte, montrent l'exemple ! Encore mieux, faire le marché avec les enfants, les associer à la cuisine. Avec des tâches adaptées à chaque âge : un enfant très petit peut ainsi commencer à touiller la pâte à gâteau ou à crêpe, ...

- qu'il y ait des consommations répétées. Eh oui, il ne faut pas se décourager ! L'enfant (et pas que lui !) n'aime pas la nouveauté et va souvent rejeter un aliment à la première ou deuxième proposition. Beaucoup de parents arrêtent au bout de 3 ou 4 essais mais plusieurs études  ont montré qu'il fallait environ 7 à 8 présentations d'un même aliment pour qu'il soit accepté. C'est ainsi que l'enfant se familiarise peu a peu avec lui et finit souvent par l'aimer autant que les autres. Et l'aliment doit être présenté de façon identique, sinon il est à chaque fois perçu comme nouveau.

- que cela se passe de façon à la fois cadrée et chaleureuse : ni un comportement autoritaire ni un comportement laxiste laissant l'enfant décider de ce qu'il mange ne donnent de résultats satisfaisants. Les parents devraient inciter sans forcer, développer la curiosité, ...

Chaque enfant peut bien sûr avoir ses préférences mais il ne faut pas les confondre avec le refus d'un aliment. Une préférence éventuelle ne peut s'exprimer qu'une fois l'aliment goûté. Il est donc essentiel d'inciter l'enfant a goûter, à être curieux, à ne pas dire "j'aime pas" s'il n'a pas goûté. alimentation,nutrition,goût,enfants,dégustation,saveur,éducation au goût,classes du goûtSi certains aliments ne sont toujours pas appréciés après de nombreux essais, alors il peut s'agir de préférences individuelles : elles ont le droit de s'exprimer légitimement, personne n'est obligé d'aimer tous les aliments ! Et ces préférences évoluent au fil du temps.

Ce colloque visait à lancer un réseau de professionnels qui pourront mettre en place des actions d'éveil du goût (en premier lieu, les "Classes du goût" initiées par Jacques Puisais dans les années 70 et réactivées maintenant - visuel du CD-Rom associé ci-contre). Toutefois, c'est en premier lieu aux parents de réaliser l'éducation des enfants dans le domaine alimentaire, comme dans les autres domaines de la vie courante, et notamment de jouer un rôle dans le choix des aliments, la façon dont on mange, ...

Si le sujet de l'alimentation des enfants vous intéresse, que vous vous sentez concerné(e), vous pouvez prolonger le sujet avec deux lectures qui me semblent intéressantes et pas trop orientées vers le "nutritionnellement correct" :
- "Manger, un jeu d'enfant", de Guylaine Guevremont et Marie-Claude Lortie (Canada)
- "Libérons l'assiette de nos enfants", de Laura Annaert et Laurence Haurat.

29/01/2011

Chocolat chaud anti-froid

chocolat,boisson chaude,jean-paul hévin,bar à chocolat,gourmandise,hiver,palmares figaroscopeLe chocolat chaud, c'est vraiment une excellente arme pour lutter contre le froid. A faire chez soi après un promenade rafraichissante ou à déguster chez un de ses spécialistes. En l'occurence, Jean-Paul Hévin, qui a remodelé son salon de thé en "Bar à chocolat". Il propose diverses spécialités originales voire étranges (un chocolat à l'huitre par exemple) mais nous avons opté classiquement pour son "mélange JPH tradition". Un chocolat pas trop épais en texture, parfumé, à la saveur équilibrée, ni trop amère ni trop sucrée. Je ne saurai dire si c'est vraiment le meilleur de Paris comme l'a décrété le Figaroscope dans un récent palmarès, car je manque de points de comparaison mais il était très bon et absolument pas écoeurant, ce que certains redoutent.

Et n'ayons pas peur d'une telle gourmandise chocolatée en cours d'après-midi. Notre corps a une superbe capacité à se réguler et à adapter notre faim : sans effort particulier, le dîner sera plus léger.

Jean-Paul Hévin, 231, rue Saint-Honoré 75001 Paris

27/01/2011

Mon plat du jour au Comptoir Baulois

P1030076.JPGCeux qui vivent ou travaillent dans le 9ème arrondissement de Paris ont la chance d'avoir un journal local qui les tient informés des actualités de toutes sortes du quartier, le Daily 9eme. Pour ma part, soucieuse bien sûr du bien manger de mes concitoyens et curieuse de découvertes culinaires, j'arpente l'arrondissement en quête de lieux agréables, bons, sains, pas trop chers, pour déjeuner.

Cette fois, j'ai déjeuné au Comptoir Baulois, que je connaissais déjà par son merveilleux fondant baulois, ses crêpes, ... Y manger un plat du jour dans une atmosphère paisible et gourmande, c'est pas mal aussi. Ce jour-là, c'était du filet mignon, plat que je n'ai pas vraiment l'habitude de manger. C'est à lire ici

Le Comptoir baulois, rue Godot de Mauroy, Paris 9eme

08:12 Publié dans Plaisirs gourmands, Restaurants & Shopping | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |  Imprimer

26/01/2011

Les Eatinérants m'ont embarquée !

P1030116.JPGMardi soir, tout près de chez moi, c'était la soirée des Eat'inérants. Un de ces happenings gastronomiques de plus en plus fréquents, tant la cuisine est à la mode. Je ne suis pas forcément friande de ce type d'événements, préférant la quiétude d'une table de restaurant à la foule de ces manifestations. Mais ma curiosité gustative avait été attirée par le nom des chefs en présence, dont trois dont j'avais déjà pu apprécier la table : Flora Mikula (qui a arrêté les Saveurs de Flora mais devrait ré-ouvrir un autre lieu), Lionel Lévy (Une Table au Sud, à Marseille, qu'on avait découvert avec bonheur il y a quelques années), Peter Nilsson (la Gazzetta dans le 12eme, où on a dîné une fois avec plaisir), ainsi que Michel Portos (le St James à Bordeaux). Nous voilà donc en route pour le Café Carmen, rue de Douai, dans le 9eme.

D'abord, le lieu, ancien hôtel particulier de Georges Bizet (d'où le nom ;)) est magnifique, avec toutes sortes de petits salons où se lover confortablement dans un canapé.

Les quatre chefs s'affairaient à leurs préparations et nous n'avons pas été déçus du voyage : ils étaient chaleureux, disponibles et nous avaient concocté quelques délices autour de la vedette de la soirée, la vodka à l'herbe de bison, Zubrovska.

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De gauche à droite : Flora Mikula, Lionel Lévy, Peter Nilsson, Michel Portos 

Nous avons ainsi dégusté tranquillement quatre petits plats et un dessert :

- un oeuf poché et chou fleur, poutargue et pain fumé en chapelure, par Peter Nilsson, une merveille d'équilibre de saveurs et de texture ;

- une savoureuse poitrine de cochon croustifondante, pommes de terre et un fantastique condiment betterave vodka genièvre, par Lionel Lévy ;

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- un borsch et foie gras poëlé, hareng fumé, betterave et chantilly à la vodka, par Flora Mikula, un délicieux mélange de moelleux, amer, sucré, ...

- une Saint-Jacques poëlée, purée de cèpes archi-parfumée, pomelos pour une note d'acidité et menthe fraiche, par Michel Portos.

Après tout cela, il restait juste un brin de faim pour apprécier le dessert, une tartelette concoctée par Jacques Genin (au choix : citron, chocolat, noix-caramel). J'ai pris la dernière et j'ai adoré : une gourmandise elle aussi croustifondante, à tomber !

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La soirée était donc une réussite. Et cela n'est pas réservé qu'aux Parisiens. Les Eatinérants portent bien leur nom et seront en "tournée" dans quelques villes de France : Marseille en mars, Bordeaux en avril, Lyon en mai.  

25/01/2011

Bento-patchwork

P1030104.JPGCe lundi, me voilà en route avec un bento pour lequel je n'ai pas vraiment cuisiné. Un bento pas du tout japonais. J'ai un peu improvisé avec les ressources que j'avais en stock et avec l'idée que ce soit varié et parfumé. Cela a donné : du poulet vanillé, des carottes à l'orange et au cumin, des dés de concombre, du chou rouge aux marrons, des champignons à la coriandre, de l'épeautre. Le tout a été fort agréable à manger, il y avait une grande diversité de parfums et de textures. Et la variété, pour moi, fait partie du plaisir d'un repas : je suis plus heureuse avec une multitude de saveurs qu'avec un plat copieux.

Et vous, vous préférez un repas-patchwork ou un plat unique ?

NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, je vous donne régulièrement un plaisir gourmand personnel. Je serai ravie que vous postiez un commentaire si vous voulez plus d'informations ou faire une suggestion gourmande.

22/01/2011

Stop à la gourmandise à date fixe !

Il y a quelques jours, à propos de la galette, je vous parlais de mon agacement devant ce déluge de pâte feuilletée et de frangipane, qui m'enlève toute envie d'en manger. Je n'ai rien contre les fêtes traditionnelles mais en même temps, elles nous obligent à tous manger la même chose à date fixe, alors qu'on n'en a pas forcément envie. Pourquoi forcément manger du foie gras à Noël, des chocolats à Pâques, ... Faut-il se forcer pour faire comme tout le monde ? Oui si cela reste un plaisir. 

P1030093.JPGMais on peut aussi penser à certains mets en dehors de la période obligée. Les crêpes par exemple. Bien sûr, on peut en manger à la Chandeleur (ce sera le mercredi 2 février). Mais pourquoi pas aussi quand on en a envie. Pour faire plaisir à ses enfants un froid dimanche d'hiver. Ou pour un dîner plaisant et tout simple.

P1030094.JPGC'est ce qui nous est arrivé un soir récent. On avait quelques petites crêpes de sarrasin (trouvées au Comptoir Baulois) et on a préparé des grands classiques. Une ornée d'un oeuf miroir, une autre avec un peu de fromage et de la salade et la dernière avec du chocolat. On s'est régalés !

Et vous, quand mangez-vous des crêpes ?

Un repas de secours, s'il vous plait !

Il y a des jours comme ça où l'on rentre tard, où l'on est fatigué(e), où l'on n'a pas envie de cuisiner, où l'on n'a même pas de restes de la veille. Mais on a quand même faim et envie de manger. Certains se tourneront vers le plateau de fromages mais est-on en état de l'apprécier au mieux ? D'autres feront SOS Pizza mais cela ne me vient même pas à l'idée vu le mauvais rapport prix-qualité que j'imagine.

Dans ces cas-là, c'est bien d'avoir en tête des repas de secours. De ceux qui vont être préparés vite, sans effort, mais dont le résultat sera quand même satisfaisant.

Dans cette catégorie, il y a par exemple chez nous :

- les tagliatelles fraîches (cuisson en un temps record) avec huile d'olive et parmesan ;

- l'omelette ou fritatta, et on a toujours sous la main quelque chose à mettre dedans, ne serait-ce que quelques herbes ;

- l'assiette italienne de style bresaola-mozzarella-artichauts marinés ;

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- et il y a le régressif jambon-coquillettes, qui réjouit toujours Monsieur (d'autant qu'on n'en abuse pas) et ne lui semble pas être un plat au rabais. Condition : proposer un bon jambon, ne pas oublier la noisette de beure dans les coquillettes, cuire celles-ci juste à point. Ce soir-là, il y avait en plus un bon mesclun pour la note végétale et amère. Donc un repas agréable et vraiment vite prêt. Et pas de raison de culpabiliser parce ce n'est pas de la grande cuisine !

Et vous, quels sont vos plats de secours ?

19/01/2011

Ayons les papilles curieuses ! (ou un déjeuner chez Rice & Beans)

P1030092.JPGJe suis plutôt du genre curieuse en matière culinaire. Mais s'il y a une cuisine avec laquelle j'ai un peu de mal et que je ne recherche pas vraiment, c'est la cuisine mexicaine.

Étant du côté de Réaumur-Sebastopol pour un RV professionnel, je me demande où déjeuner. Je me rappelle avoir entendu parler d'un restaurant qui a l'air rigolo, un peu asiatisant, Rice and Fish*. J'y vais et découvre, un peu dépitée, que c'est devenu Rice & Beans (créé par la même équipe), soit de la pure cuisine mexicaine, avec tacos, burritos, guacamole, ... Hésitation, pas vraiment ce que j'imaginais. Faut-il faire demi-tour ? C'est comme ça qu'on finit par se replier sur toujours les mêmes restaurants, les mêmes plats, et à restreindre peu à peu sa curiosité gustative. J'ai faim, je décide de me lancer. Après tout, le risque est quand même limité !

Je choisis un "Burritos El Super" (8,50 euros) au poulet et, surprise, c'est délicieux :  une sorte de wrap mi-chaud, mi-froid, moelleux et parfumé, avec légumes craquants, riz, haricots noirs, crème, ... Je le mange avec plaisir, en usant avec parcimonie de la sauce piquante. C'est bien nourrissant et je m'en contente.

Finalement, le hasard et la curiosité ont bien fait les choses. En fait, ils disent s'éloigner de la cuisine tex-mex qu'on voit partout ici et c'est peut-être celle-là qui ne me dit rien. Conclusion : ne restons pas sur nos idées reçues, que ce soit par rapport à une cuisine exotique, un plat, un aliment qu'on ne connaît pas ou dont on a eu une mauvaise expérience une fois. Cela vaut toujours la peine de ré-essayer.

Et vous, vous battez-vous contre vos a priori, continuez-vous à développer votre curiosité en matière de saveurs ?

Rice & Beans, 22 rue Greneta, Paris 2eme

* Rice & Fish devrait rouvrir prochainement à proximité

17/01/2011

Mes restos japonais à Paris

L'Express Styles a publié il y a quelques jours une liste des "meilleurs restaurants japonais de Paris". C'est un titre un peu présomptueux me semble-t-il. Je suis d'accord sur la qualité de certains restaurants cités (dont mon cher Guilo Guilo) mais de là à dire que ce sont les meilleurs, c'est un peu excessif et il y a des oublis.

J'en profite pour vous livrer mes adresses favorites en toute subjectivité. Bien sûr, je ne connais pas la totalité des restaurants japonais parisiens. Passionnée de cuisine japonaise, j'en ai toutefois visité un grand nombre (des "vrais" japonais) et je retourne dans ceux qui m'ont séduite et qui me sont assez accessibles géographiquement. Je vous les cite, dans le désordre, selon les spécialités que je leur connais mais ils ne sont pas forcément mono-thématique.

Pour de l'anguille grillée :
Nodaiwa, 272 rue St Honoré (Ier), THE spécialiste de ce mets délicieux, préparé méticuleusement.

Pour des tempura (beignets) :
Pas de restaurant spécialisé mais ils sont très bons chez Kanno, 6 rue Saussier Leroy (17eme) avec un menu plutôt abordable le midi.

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Pour des sushis :
C'est difficile quand on a la chance de connaître le Japon et ses ports car on ne retrouve jamais exactement la même qualité et fraîcheur ici mais le poisson cru est quand même très savoureux chez Kifune, 44 rue St Ferdinand (17eme) ou aussi chez Takara, 14 rue Molière (Ier), le plus vieux restaurant japonais de Paris.

Pour du tonkatsu (porc pané) :
Momonoki, 68 passage Choiseul (IIeme),
maintenant rejoint par Tonkatsu Tombo, 14 rue de l'Arrivée (15eme)

Pour des yakitori (brochettes) :
Rien d'exceptionnel mais les mieux que je connaisse, c'est sans prétention chez Yasube, 9 rue Ste Anne (Ier), où on peut déjeuner sur des tatamis "comme là-bas".

Pour des nouilles udon :
Kunitoraya 1 et 2, dur d'avoir une place au 1 mais le 2 est vraiment très snob. 39 rue Ste Anne et 5 rue Villedo (Ier).

Pour de la cuisine japonaise audacieuse et délicieuse:
Guilo Guilo, 8 rue Garreau (18eme), dont le menu en 8 plats change tous les mois car le chef a des milliers de recettes dans la tête. 

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Usagi, 58 rue de Saintonge, tout en délicatesse modernisée...

Pour de la cuisine traditionnelle raffinée :
Juan, où j'ai hâte de retourner.

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Pour un délicieux menu donburi (plat à base de riz) : 
Toraya, rue St Florentin, avec une pâtisserie japonaise bien sûr.

Pour de la cuisine familiale servie copieusement :
Chez Miki, 5 rue Louvois (IIeme)

Pour une ambiance atypique et de la bonne cuisine :
Asia-Tee Kenji, 47 rue de la Montagne Ste Geneviève (5eme)

Et vous, si vous êtes gastro-nippophiles, quelles sont vos adresses préférées ?