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19/06/2015

Merguez & Pastrami, table identitaire... et bonne

Cela fait un moment qu'on avait entendu parler de cette nouvelle adresse, avant même le début des travaux, grâce aux confidences de David, le patron de la Pizza di Loretta (une de nos "cantines"), aussi à l'origine de Merguez & Pastrami. Le nom nous avait intrigués, on attendait de voir et jeudi dernier, en allant manger une pizza, on a vu que c'était ouvert. C'était même le jour d'ouverture. Donc, curieux de voir ce qui se cachait derrière ce nom, nous sommes allés y déjeuner samedi. David, tout heureux de nous faire découvrir son nouveau "bébé" nous a expliqué que c'était une table identitaire rendant hommage à l'autre branche de ses origines, celles de son père marocain (sa mère Loretta a donné son nom à la pizzeria) avec un détour par New York pour le côté pastrami.

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Le décor est sympathique, les serveurs souriants, la carte est différente le midi et le soir, plus simple à midi, avec pas mal de gros sandwiches accompagnés de chips maison. Pour ma part, j'ai prix un plat végétarien (ce que je ne pensais forcément trouver entre les merguez et le pastrami...) : des falafel (boulettes de pois chiches) accompagnés d'aubergines au four et de crudités. C'était très bon, avec des aubergines fondantes à souhait. Monsieur a pris un plat fort appétissant : oeuf-merguez-chakchouka qu'il a beaucoup apprécié. Pour les personnes pas trop au fait de cette cuisine, un lexique des mots inconnus est proposé avec le menu.

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Plus faim pour un dessert mais je reviendrai bien goûter le gâteau au fromage blanc, et aussi découvrir les plats du soir. J'ai conclu sur un excellent café (donc pas donné...) servi dans une très belle cafetière traditionnelle à piston.

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 Merguez & Pastrami, 57 rue Rodier, Paris 9eme. Plats environ 15 euros au déjeuner

14/06/2014

Vive la pizza selon son appétit à la Pizza di Loretta

Il y a quelques années, à Paris, quand on allait dans une pizzeria, on commandait une pizza ronde, une Margarita ou une 4 saisons ou une Regina... La plupart des personnes mangeaient tout, même en n'ayant plus faim, éventuellement, certains laissaient la bordure ("le trottoir")... Puis est arrivée la pizza "al taglio", bien connue en Italie : la pizza à la coupe. On a d'abord découvert "Al Taglio" justement, avec sa sympathique terrasse, mais des pizzas à la pâte un peu épaisse à mon goût. Puis est arrivée la Pizza di Loretta il y a à peu près 3 ans. Elle est proche de chez moi et on y déjeune régulièrement, toujours avec plaisir. Et, soudain, en quelques années ont éclos de multiples pizzerias de ce type, certains flairant un bon filon... Sauf que, pour moi, cela n'a rien à voir ! Quand il m'est arrivé d'y goûter :

- je ne retrouve pas la pâte fine et croustillante,

- ni les ingrédients simples et bons, sans excès de fantaisie dans les compositions,

- et surtout je ne retrouve absolument pas la liberté que j'aime à la Pizza di Loretta : il y a parfois un menu avec un nombre de parts imposé, la taille des parts est complètement standard, impossible d'avoir des petits morceaux variés, ...

Donc, sans hésiter, je reste fidèle à la Pizza di Loretta et je mange à la faim ce qui me fait plaisir. On peut découvrir des nouveaux goûts, partager à plusieurs, en reprendre une part si on a encore faim...

Ainsi samedi dernier, ne voulant pas trop nous éloigner, nous y avons dirigé nos pas. Monsieur avait bien faim, moi pas trop et de plus, j'étais attendue dans l'après-midi pour un goûter. On a donc choisi les parts de pizzas dont on avait envie et la quantité qu'on voulait. On peut vraiment avoir la taille qu'on veut, même une petite tranche, juste pour goûter. Comme c'est au poids, tout est possible... On peut avoir 3 ou 4 types de pizza différents si on en a envie. Cette fois, j'ai pris une petite part aux aubergines et une autre à la roquette.

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En haut, ma portion, en bas, celle de Monsieur...

Rappel à ceux/celles qui auraient tendance à diaboliser la pizza : l'équilibre, c'est sur la durée, on mange de tout, on varie les plaisirs. Manger de la pizza, c'est un peu comme manger un sandwich, du pain et une garniture, qu'y aurait-il de mal à cela ? On se régale, on savoure, donc mieux vaut la choisir vraiment bonne...

Pizza di Loretta, 62 rue Rodier, Paris 9eme, 01 48 78 42 56

En prime, si on se promène rue Rodier, c''est l'occasion à ne pas manquer d'aller faire quelques emplettes gourmandes et italiennes chez Rap !

09/08/2013

Qu'est-ce qu'on mange en été ? Des délices de restaurant !

En été, la paresse de cuisiner, les amis davantage disponibles, les journées plus longues, le travail un peu plus calme : tout cela peut donner l'occasion d'aller se régaler au restaurant.

Cet été, en particulier le mois de juillet, a été propice à des festivités, dîners amicaux ou repas paresseux au restaurant, dans des lieux favoris de longue date ou découverts récemment.

On a ainsi découvert avec bonheur un restaurant certes un peu branché mais surtout délicieux, sympathique et créatif : Chatomat. Je dois avoir de la chance avec ce restaurant : on y a dîné deux fois et à chaque fois, j'ai eu la dernière table en appelant peu de temps avant alors que plusieurs amis m'ont dir qu'ils désespéraient d'y manger ! Un des aspects que j'apprécie est le fait qu'il n'y ait pas de menu, ce qui permet de manger exactement ce qu'on veut, selon ses envies et sa faim. A notre première visite, j'ai ainsi pris deux entrées et un dessert : un tartare de veau au coulis d'huitre avec citronnelle et galanga, un régal ; des ravioli de ricotta et herbes à l'eau de tomate, légumes crus et raisins, délicieusement parfumé (photo) ; et un abricot avec une crème de mascarpone, cardamome et anis, tout en douceur. Du coup, on s'est dépêchés d'y retourner !

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Suite à une invitation, on est retournés (cela faisait longtemps) chez KGB-Kitchen Galerie Bis et cela a donné lieu à un fameux repas avec le menu dégustation (5 z'ors d'oeuvre, un demi-poisson, une demi-viande, deux demi-desserts). Les z'ors d'oeuvre sont une vraie merveille de goût et de délicatesse et le reste était tout à fait délicieux aussi.

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On a marché paresseusement jusqu'à l'une des nos désormais cantines de quartier quand on n'a pas envie de cuisiner : Aloy Aloy où l'accueil est sympathique et les plats frais et parfumés. Pour changer du bobun, j'ai pris cette fois deux entrées : de croustillants rouleaux de printemps et une piquante salade de boeuf à la citronnelle.

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On est toujours ravis d'aller déjeuner de parts de pizza à la Pizza di Loretta. Les pizzerai "al taglio" ont fleuri ces derniers mois à Paris mais celle-ci reste ma préférée. Bien sûr, elle est toute proche mais surtout, les pizzas sont délicieuses et c'est le seul endroit, à ma connaissance, où l'on a une totale liberté de prendre des parts de toutes tailles, éventuellement toutes petites et autantv de variétés qu'on veut. Ainsi, un samedi de fin juillet, je me suis régalée de pizzas roquette-ricotta-oignon rouge, aubergine, tomate-pesto.

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Des amis toujours ouverts aux délices du monde m'ont fait découvrir l'Orient d'Or, un restaurant chinois servant de la cuisine de la région du Hunan. J'ai notamment goûté des ravioli aux légumes, des aubergines, du canard un peu façon canard laqué.

J'ai eu le plaisir de faire découvrir le savoureux bento de Yoshi aux papilles curieuses de Brigitte la gourmande.

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La plupart des restaurants ferme au moins deux semaines en août, pensez à vous renseigner avant de vous rendre dans vos adresses favorites !

Aloy Aloy : 61 rue des Trois Frères, Paris 18ème, 01 42 55 89 77, ouvert tout l'été (fermé lundi-mardi).

Chatomat : 6 rue Victor Letalle, Paris 20ème, 01 47 97 25 77, fermé du 12 août au 9 septembre (et lundi-mardi).

Kitchen Galerie Bis : 25 rue des Grands-Augustins, Paris 6ème, 01 46 33 00 85, fermé du 4 au 19 août.

L'Orient d'Or : 22, rue de Trévise, Paris 9ème, 01 48 00 97 73, fermeture à vérifier (et lundi).

Pizza di Loretta : 62 rue Rodier, Paris 9ème, 01 48 78 42 56, fermé du 4 au 19 août (et dim.midi, lundi)

Yoshi : 11 rue Jean Giraudoux, Paris 16ème, 01 47 20 48 94, fermé du 15 au 21 août (et dimanche midi).

16/09/2012

Ma semaine de paresseuse, j'assume !

Parfois, je suis paresseuse. C'est même un trait récurrent de ma personnalité, quoique certains dans mon entourage ont du mal à le croire. Et cela peut parfois s'appliquer à la cuisine...

Ainsi, cette semaine, sans que je m'en rende vraiment compte et par le hasard des circonstances, je n'ai absolument pas cuisiné ! Et ce n'est pas si grave, ne culpabilisons pas ! D'ailleurs, ce n'est pas que de la paresse, il y a aussi une part d'organisation là-dedans.

Je vais vous donner les menus de ma semaine pour vous le prouver. J'espère que cela va aussi vous rassurer sur le fait que l'alimentation d'une diététicienne ne constitue pas une perfection d'équilibre alimentaire à chaque repas mais un bricolage permanent guidé par les envies et le goût de la variété qui assurent un équilibre sur la durée.

Lundi: je travaille en partie à la maison : je fais réchauffer un reste de la tarte aux épinards de la veille (je vais vous en reparler). Le soir, je rentre tard, j'ai décongelé de l'excellente soupe aux haricots coco, reste d'une semaine précédente.

Mardi : je participe à une réunion du réseau Informelles où Myriam nous a préparé comme à son habitude un mafé de poulet avec du riz. Le soir, hasard, riz encore, japonais cette fois : donburi au saumon, oeuf et épinards, monsieur est en cuisine.

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Mercredi : vraie paresse, j'aurais eu le temps de me préparer un bento mais je finis à une heure tardive chez Obene, une sympathique petite "cantine" de la rue St Lazare : je prends une assiette avec trois saveurs : salade mixte, céréales, terrine de tagine de poulet. Le soir, c'est encore monsieur qui est en cuisine : il avait très envie de tagliolini au citron comme en Toscane, suivis, pour rester dans une note italienne, de pecorino et poire.

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Jeudi: je suis en lointaine banlieue le matin, donc pas possible d'emporter mon déjeuner. Sur le chemin du retour, je passe à proximité de Cojean : soupe potiron-carotte, salade poulet-haricots verts-champignons, riz au lait. Le soir, je suis invitée à une soirée-cocktail aux Galeries Gourmandes où je grignote diverses petites choses. Comme j'ai quand même faim en rentrant, je mange une tartine de fromage.

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Vendredi
Le midi, je déjeune à la Pizza di Loretta : deux parts parfaitement adaptées à ma faim. Le soir, je sais que je rentre assez tard, c'est prévu, j'ai décongelé une barquette de ratatouille, qu'on mange avec de la salade.

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Samedi
Déjeuner impromptu chez Nanashi, temple de la "bobosserie" parisienne : simple mais bon : salade haricots-courge butternut, onigiri au saumon, "baked cheesecake" aux framboises. Le soir : délicieux légumes orientalisants et semoule.

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Bon allez, promis, dimanche, je m'y remets !

Et vous, vous avez vos moments de paresse ?

06/02/2012

Week-end italo-nippo-franco-gourmand !

Le week end s'est déroulé sous un beau soleil hivernal (euh, samedi surtout...) et a été riche en saveurs variées, dedans et dehors. Petit aperçu pour vous faire saliver...

Il a commencé par une balade gourmande dans le 9ème arrondissement, richement pourvu dans ce domaine. Première étape à la Chambre aux confitures dont vous avez dû entendre parler en 2011 si vous êtes parisien(ne)s et gourmets. Une boutique entièrement dédiée à de nombreuses et délicieuses confitures. C'est un produit dont je ne suis pas a priori une grande acheteuse car peu consommatrice au petit déjeuner. Mais l'originalité et la gourmandise des propositions, l'incitation aimable à goûter m'ont déjà convaincue plusieurs fois, pour moi ou pour des cadeaux gourmands. Confiture de Noël épicée, succulente châtaigne façon marron glacé, merveilleux ananas-rhum-coco, rhubarbe au sureau ou plus classiques coing ou mirabelles sont autant de délices parmi les jolis pots proposés. Bien sûr, c'est plus cher que la confiture que vous achetez peut-être au supermarché mais, en la matière comme en d'autres, je préfère si nécessaire aller vers moins et mieux...

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La suite fut dédiée largement à l'Italie avec :
- une savoureuse escale à la chaleureuse Pizza di Lorettaoù il est toujours agréable de caler les parts de pizzas sur ses envies et son appétit et dont le chaleureux patron me prend à témoin pour assurer que la pizza ne fait pas grossir ! (je confirme... tout est question de quantité).

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- une visite à la caverne aux trésors italiens qu'est l'épicerie Rap. Petite boutique mais très riche en produits de diverses régions d'Italie : fromages, conserves et bocaux de toutes sortes, huiles d'olive, multitude de pâtes, biscotti et autres spécialités sucrées, chocolats Gianduja, nougat aux noisettes croquant qui m'a tentée et délicieuses noisettes du Piemont dont je me fournis régulièrement, ...

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- une très italienne et fondante polenta à la brandade de morue gratinée au parmesan quand on est revenu à de la cuisine maison.

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Dans la suite du week end, le Japon, qui n'est jamais très loin de nous, s'est invité via un "brunch" (je crois que cela n'existe pas vraiment mais les petits déjeuners peuvent y être fort copieux !), conforme au classique petit déjeuner qu'on savoure là-bas dans les auberges traditionnelles : saumon grillé, omelette, petites salades très traditionnelles : brocolis au sésame, algues hijiki et carottes, concombre et algues wakame , riz, soupe miso, tsukemono (légumes saumurés).

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Et, plus français, il y a eu aussi les trésors du congélateur, une fondante daube, souvenir du réveillon, avec des pâtes, une soupe au potiron, ...

Alors, forcément, quand on mange aussi bien chez soi, on est aussi très exigeant quand on va dépenser son argent au restaurant et on n'a pas du tout envie de le gaspiller pour des plats industriels comme cela est trop souvent proposé (cf le documentaire République de la malbouffe, que je vous incite à visionner et dont je vous reparle demain).


Et vous, quelles saveurs ont embelli votre week end ?

La Chambre aux Confitures, 9 rue des Martyrs, Paris 9ème.

Pizza di Loretta, 62 rue Rodier, Paris 9ème, 01 48 78 42 56

Epicerie Rap, rue Rodier, Paris 9ème, 01 42 80 09 91.

12/09/2011

Pizza di Loretta : vive la pizza à sa faim !

J'ai beaucoup de patientes amatrices de pizza (c'est vrai que c'est bon !) et qui ont beaucoup de mal à en laisser dans leur assiette quand elles sont au restaurant. Pourtant, souvent, elles sentent qu'elles ont assez mangé bien avant la fin. Un mélange d'éducation à finir son assiette, de peur de ne pas en remanger de sitôt, de refus de gâcher, de manger machinal, ... les fait finir. En attendant que l'on développe dans ce pays quelque chose qui s'apparenterait au doggy bag, je félicite les pizzerias qui pratiquent la pizza à la coupe. Moi-même, je n'ai pas forcément faim pour une pizza entière.P1040014.JPG
Je vous avais déjà parlé de la pizzeria "Al Taglio". Mais voilà qu'a ouvert récemment dans le 9ème, beaucoup plus près pour moi, une pizzeria selon le même principe, la Pizzeria di Loretta (eux disent "pizza in teglia" : je ne parle pas assez italien pour saisir la nuance..). Chouette, on va aller y goûter.

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Accueil chaleureux, décor qui fait penser à New York, et choix de diverses pizzas qu'on nous présente en détail. Faisons le point sur nos envies et notre faim : pour moi, ce sera une petite part de pizza tomate-pesto de persil et une autre de pizza tomate-persil-oignons rouges-câpres-roquette-parmesan. Je verrai ensuite si j'ai encore faim. On réchauffe nos parts et les voilà. Je hume des arômes délicieux et hop, en bouche : c'est parfumé, goûteux, la pâte est fine et croquante, juste comme j'aime, miam, c'est bon !

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Finalement, après avoir savouré ces deux parts excellentes, je n'avais plus faim et je m'en suis tenue là.

Les avantages : on peut manger exactement selon son appétit et on peut goûter plusieurs variantes. Et en plus, c'est bon (c'est essentiel !) et pas cher (mes deux parts : à peine plus de 4 euros, le prix varie selon les composantes). Voilà donc une nouvelle adresse dans mes tablettes gourmandes !

Pour ceux/celles qui n'ont pas la chance de pouvoir disposer d'une pizzeria à la coupe à proximité et parce que manger une pizza faite à la minute, c'est bien aussi, il y a d'autres solutions pour ne pas trop manger : partager avec un autre convive ; manger avec attention pour arrêter quand le plaisir gustatif diminue et relativiser le fait d'en laisser (je vous assure, on peut y arriver !) ; demander à emporter la part qui reste (que risquez-vous à demander ?!).

Et vous, comment vivez-vous la pizza ?

Pizza di Loretta, 62 rue Rodier, Paris 9ème, 01 48 78 42 56.