Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/06/2015

Merguez & Pastrami, table identitaire... et bonne

Cela fait un moment qu'on avait entendu parler de cette nouvelle adresse, avant même le début des travaux, grâce aux confidences de David, le patron de la Pizza di Loretta (une de nos "cantines"), aussi à l'origine de Merguez & Pastrami. Le nom nous avait intrigués, on attendait de voir et jeudi dernier, en allant manger une pizza, on a vu que c'était ouvert. C'était même le jour d'ouverture. Donc, curieux de voir ce qui se cachait derrière ce nom, nous sommes allés y déjeuner samedi. David, tout heureux de nous faire découvrir son nouveau "bébé" nous a expliqué que c'était une table identitaire rendant hommage à l'autre branche de ses origines, celles de son père marocain (sa mère Loretta a donné son nom à la pizzeria) avec un détour par New York pour le côté pastrami.

20150613_133953.jpg

Le décor est sympathique, les serveurs souriants, la carte est différente le midi et le soir, plus simple à midi, avec pas mal de gros sandwiches accompagnés de chips maison. Pour ma part, j'ai prix un plat végétarien (ce que je ne pensais forcément trouver entre les merguez et le pastrami...) : des falafel (boulettes de pois chiches) accompagnés d'aubergines au four et de crudités. C'était très bon, avec des aubergines fondantes à souhait. Monsieur a pris un plat fort appétissant : oeuf-merguez-chakchouka qu'il a beaucoup apprécié. Pour les personnes pas trop au fait de cette cuisine, un lexique des mots inconnus est proposé avec le menu.

20150613_130604.jpg

20150613_130558.jpg

Plus faim pour un dessert mais je reviendrai bien goûter le gâteau au fromage blanc, et aussi découvrir les plats du soir. J'ai conclu sur un excellent café (donc pas donné...) servi dans une très belle cafetière traditionnelle à piston.

20150613_132747.jpg

 Merguez & Pastrami, 57 rue Rodier, Paris 9eme. Plats environ 15 euros au déjeuner

13/09/2011

Italie et Japon, mon coeur (et mes papilles) balance(nt)...

En général, quand on aime un pays, on aime sa cuisine car elle est un élément essentiel de la culture et aide à comprendre ses habitants. Bien manger étant important pour moi, j'aurais sûrement du mal à apprécier un pays qui est mal doté de ce côté-là. D'ailleurs, il y a deux pays que je chéris particulièrement, l'Italie et le Japon, et cela tombe bien, j'adore leur cuisine ! Et j'ai la chance qu'un autre passionné ne se contente pas de manger mais pratique beaucoup... Parti de la pasta italienne, il s'est plongé avec minutie dans les marmites nipponnes pour mon plus grand plaisir... D'ailleurs, les deux cuisines ne sont pas sans points communs, notamment leur amour des pâtes et du riz (celui des produits de la mer aussi dans de nombreuses régions). Si je devais encore essayer de vous réconcilier avec l'idée que les féculents ne sont pas ennemis de la ligne, je vous conseillerais de noter que Japonais et Italiens sont parmi les peuples qui ont le moins de problèmes de poids...

Ces deux pôles d'attraction culinaire se sont succédés ce week-end, avec :

- un onctueux et parfumé mille-feuille d'aubergine, avec tomate, mozzarella, basilic, dont le moelleux est complété par un peu de crumble de parmesan : il y a une sorte d'urgence à cuisiner ces mets avant que l'été ne se termine... (cela faisait suite de façon cohérente à un déjeuner pizza...) ;

cuisine,italie,japon,bento,pâtes,riz,les féculents ne font pas grossir,cuisine du monde

- un magnifique bento avec d'une part riz, poulet mariné et poivron, d'autre part, quelques grands classiques : salade concombre-wakame, épinards au sésame, aubergines au miso, salade de de pommes de terre aux légumes. On s'est vraiment régalés de toute cette variété.

cuisine,italie,japon,bento,pâtes,riz,les féculents ne font pas grossir,cuisine du monde

Et vous ? Y a-t-il concordance entre vos goûts en matière de pays et en matière de cuisine ?