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06/12/2011

Craquage, chocolat, culpabilité

Ces trois mots vont souvent ensemble. Quoique... il ne s'agit pas toujours de chocolat, il peut s'agir de fromage, de saucisson, de gâteaux, de se resservir d'un bon plat au dîner, ... Bref, tous ces moments où l'on mange sans faim, parce qu'on n'a pas trop le moral, pour se faire du bien.

Fotolia_© foto.fritz.jpgIl n'est pas facile d'en parler de façon générale car chaque personne a ses moments et ses déclencheurs particuliers.

Toutefois, plusieurs choses sont importantes à préciser si cela vous arrive :

- la culpabilité ne sert pas à grand chose, qu'à vous faire aller plus mal encore, et donc souvent à vous faire remanger. Ne vous dites pas que c'est nul et que vous ne devriez pas, essayez plutôt de comprendre pourquoi vous le faites ;

- acceptez de temps en temps d'avoir besoin de réconfort et que cela passe par le fait de manger. Alors, faites en bon moment, avec un aliment que vous aimez vraiment et prenez le temps de le savourer ; ensuite, votre corps saura attendre pour vous signaler le retour de la faim ;

- ne diabolisez pas le chocolat ou les autres aliments, ils sont bons et ils vous sont utiles, réapprenez à les déguster calmement ;

- peu à peu, quand c'est possible, mettez des mots sur ce que vous ressentez au moment où vous avez envie de manger. Il peut notamment s'agir d'une émotion que vous n'acceptez pas de ressentir, d'un besoin de détente, de l'envie d'une pause, ...

Si vous êtes Parisien(ne), sachez que j'animerai à nouveau en 2012 des ateliers autour de ce sujet. Vous pouvez me contacter par mail si cela vous intéresse.

Photo © foto.fritz - Fotolia.com

17/06/2010

Retour sur l'atelier "Je mange quand je suis stressée" : un beau moment

P1010854.JPGPetit retour sur l'atelier de mardi soir "Je mange quand je suis stressée...que faire ?". Les règles étant posées dès le départ (écoute, non jugement, confidentialité des échanges), les discussions ont été très franches et personnelles. Les participantes (que des femmes, les hommes étant un peu moins enclins à ces pratiques) ont donné des exemples concrets de leurs comportements alimentaires liés au stress : grignotage sans faim et sans fin, aliments salés ou sucrés, besoin de remplissage, .... On a décortiqué le processus qui menait là, on a échangé autour de pistes pour gérer autrement son stress et écouter ses émotions, on a fait quelques petites expérimentations pratiques. Puis chacune a réfléchi à des pistes très concrètes à mettre en place à court terme pour améliorer son bien-être, prendre davantage en compte son état émotionnel, avoir du temps pour elle, ...et ainsi être moins sujette au "manger émotionnel". Mes sincères remerciements aux participantes pour leur implication.

NB : étant donné le nombre de personnes qui m'ont manifesté leur intérêt pour cette thématique, un atelier sera à nouveau programmé à la rentrée.