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29/04/2014

Je ne suis pas végétarienne...ça se confirme !

...Donc je mange aussi nombre d'aliments animaux, n'en déplaise à mon lectorat végétarien : vive la liberté de manger selon ses envies, ses goûts et ses convictions. Et le hasard a fait que cela a été assez fréquent ces derniers jours.

De passage dans le 6ème arrondissement, nous n'avons pas pu résister à l'envie de passer chez Gilles Vérot, un des "papes" du pâté en croûte. Nous avons pris du "pâté de Houdan" (porc, volaille et pistaches) et une de ses autres spécialités (porc, volaille et foie gras) Nous nous sommes régalés par deux fois car le vendeur avait eu la gentillesse de nous offrir le talon (épais) du second, en coupant la dernière tranche. Etant dans la place, j'ai aussi songé à prendre du bon jambon à l'os, afin de me préparer un sandwich pour le déjeuner du lendemain, qui devait être rapide. Ce jambon-beurre maison avec pain croustillant, salade et cornichons fut un excellent déjeuner.

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Samedi, le temps a fait que nous ne sommes pas partie arpenter les rues parisiennes et nous avons mangé un savoureux hot-dog avec compotée d'oignons à la maison.

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Tout cela parait très français mais dans le même laps de temps, il y a eu aussi de l'Italie avec de la porchetta ou du jambon de Parme, et de la diversité comme d'habitude...

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Bref, je pense que je suis mûre pour adhérer à l'Amicale du Gras, non ?!

Et vous, vous aimez la charcuterie ? Sous quelles formes ?

03/10/2013

Comment arrivent mes patients ?

Récemment, je vous racontais comment je suis devenue diététicienne. Souvent aussi, des proches, des collègues, des relations qui s'intéressent à mon activité ou mon parcours, des personnes qui se lancent en libéral me demandent comment les patients arrivent jusqu'à moi. Eh bien, il y a diverses voies, certaines très banales et d'autres plus originales, j'en ai eu quelques exemples récents.

La principale source, cela étonne souvent, c'est internet (comment faisait-on avant ?!).

Dès le début de mon activité, début 2008, j'ai créé ce blog, pour faire connaître mes idées et me donner un peu de visibilité. Plus j'ai écrit, plus son lectorat s'est élargi. Puis j'ai créé un site plus statique qui présente mon approche, mes activités, le déroulement des consultations www.arianegrumbach.com. Ce deux présences sur internet sont je crois la principale source de clientèle. Des personnes qui lisent mon blog depuis longtemps ou le découvrent par hasard, d'autres qui "googlisent" plusieurs diététiciennes, comparent leurs sites et me choisissent, d'autres encore qui cherchent clairement une approche sans régime après en avoir fait beaucoup. Celles-ci arrivent aussi parfois via l'annuaire du GROS, association dont je fais partie. Internet, c'est aussi parfois twitter ou des interviews, des liens (comme sur le blog très lu de Caroline)... Avec un impact difficile à quantifier mais réel.

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Il n'y a pas que la communication électronique. De temps en temps, il peut y avoir des conférences, des ateliers, des rencontres, diverses interventions qui me font connaitre dans la "vie réelle".

Ensuite, il y a la proximité géographique : c'est bien pratique de prendre rendez-vous près de son travail ou de son domicile. Etre dans le centre de Paris, près de St Lazare et des grands magasins, dans un quartier de bureaux et d'habitations, cela aide. Mais en fait je constate qu'il est de plus en plus rare que ce soit le seul critère. Et beaucoup de personnes, cela m'impressionne, viennent d'assez loin, voire me consultent à distance (après un premier rendez-vous en face à face).

Puis il y a le bouche à oreille. Une patiente, contente du travail fait ensemble ou très vite séduite par l'approche, en parle autour d'elle, à des collègues, des ami(e)s. Ou elle répond aux questions, à l'étonnement : "Ah, tu vois une diététicienne et tu manges des gâteaux ?", "Quoi ?! Tu as perdu 10 kilos sans faire de régime ?". Ce n'est pas aussi fréquent que dans d'autres activités, me semble-t-il : beaucoup de personnes, notamment quand elles ont déjà fait beaucoup de démarches de perte de poids qui ont fini par fatiguer/amuser leur entourage, restent extrêmement discrètes sur le travail engagé. Ou certain(e)s ne veulent pas reconnaître s'être fait accompagner dans leur perte de poids.

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Parfois, on réfléchit très longtemps avant de me contacter

Le bouche à oreille prend parfois des tournures amusantes. Récemment, une patiente me disait avoir eu mon adresse via la femme du responsable d'une boutique où elle était entrée par hasard pour remplacer la pile de sa balance... Un autre est arrivé via une jolie rencontre : de retour de Gordes, je sympathise avec une jeune femme à l'arrêt de bus, on passe un moment ensemble à papoter, assises dans l'herbe à la gare d'Avignon en attendant nos trains, elle découvre que je suis diététicienne, apprécie mon approche non restrictive, me parle d'un de ses amis, prend ma carte... Et quelques semaines plus tard arrive une prise de rendez-vous par le monsieur...

Et bien sûr, il y a les prescripteurs, ceux qui peuvent parler de moi à leurs patients. Lors de mon installation, j'avais rencontré beaucoup de médecins généralistes, cardiologues, gynécologues... de mon quartier. Je n'ai malheureusement plus trop le temps de le faire mais certains gardent mon contact, m'envoient des personnes quand ils ont eu des bons retours : normal ! D'autres le trouvent par proximité et ce peut aussi être des rhumatologues, pédiatres, psychologues... : l'alimentation est au coeur de multiples problématiques. Là encore, il m'est arrivé une drôle d'aventure : un jour, je reçois un appel d'une médecin nutritionniste de Neuilly. Elle a eu mon contact par une patiente de retour d'une cure à Brides les Bains où la diététicienne a parlé de moi (merci !). Cette médecin part à la retraite, a cherché en vain un collègue à qui "léguer" sa clientèle, ne trouve pas, a pensé à moi. Je la rencontre, on a un bon contact et du coup, elle donne mes coordonnées à son secrétariat pour la remplacer. Les personnes venues par ce biais sont encore rares mais je trouve la démarche vraiment sympathique.

Bref, le développement d'une clientèle se fait par des voies multiples, certaines qu'on maîtrise et d'autres un peu moins. Je dois dire que cela ne me demande pas véritablement d'effort car j'aime écrire, parler de mon travail, rencontrer, échanger... Mais je crois que c'est le bouche à oreille qui reste le plus gratifiant car il valide la satisfaction de la clientèle.

Et vous, avez-vous déjà consulté un(e) diététicien(ne) ou un(e) nutritionniste ? Comment l'aviez-vous choisi(e) ? En parlez-vous autour de vous ?

Dessin © kyoko - Fotolia.com