31/03/2017
Mars 2017, voilà le printemps, toujours gourmand !
Je me doutais que le mois de mars serait bien occupé. Il le fut et même davantage que prévu. J'ai fait plusieurs interventions en entreprise, autour du bien manger au quotidien. J'ai rencontré beaucoup de monde dans des déjeuners, des soirées, ... J'ai beaucoup échangé dans la vie réelle et virtuelle. Et j'ai bien sûr surtout, et c'est toujours fondamental et passionnant pour moi, accompagné des personnes pas à pas vers la tranquillité alimentaire. Je suis tellement contente et touchée quand des patientes soit lentement, soit parfois par un déclic à un moment donné, sortent de leurs pénibles obsessions alimentaires.
J'AI SAVOURE
Les premières asperges. Monsieur adorant ce légume, on n'a pas tardé à chercher de très bonnes asperges vertes et on s'en est même offert de luxueuses et délicieuses de Roques-Hautes (Sylvain Erhardt) (à la Maison Plisson, que je fréquente peu, où l'accueil fut fort sympathique).
J'AI PREPARE
un merveilleux minestrone et un appétissant brunch (entre autres !)
J'AI DECOUVERT
L'épicerie-cave-table Le Bel ordinaire, ouverte par le journaliste Sébastien Demorand avec un associé et un financement participatif. Le principe de la table est de faire découvrir certains des produits proposés. J'y ai fait d'appétissantes courses et y ai déjeuné d'une délicieuse salade de poulpe et d'une aérienne mousse de brebis citronnée.
Une petite cantine libano-syrienne sympathique, At Homs où j'ai fait un savoureux déjeuner de mezze en bonne compagnie.
Un sympathique table récente du 9eme, Tous, qui a la bonne idée de proposer un mini-chariot de desserts à choisir pour se faire un café (très) gourmand sur mesure : vive la liberté !
J'AI ECHANGE
Avec de multiples , sympathiques et intéressantes personnes au salon Omnivore (je vous en reparle bientôt) et à cette occasion, j'ai découvert un excellent restaurant de couscous, Chez Hammadi, dans le 5eme grâce à la passionnante et experte Sophie Brissaud.
J'ai fêté la sortie du Carnet de Gratitude de ma créative amie Christie Vanbremeersch (avec la graphiste Noémie Levain) à l'atelier culinaire de la délicieuse et talentueuse Ona Maiocco, un lieu que j'adore. Ona nous a régalés de délicieuses petites bouchées végétales et originales.
J'ai découvert des cidres extraordinaires en gourmande compagnie et leurs parfaits accords avec huitres, charcuterie, fromage lors d'une fort sympathique soirée présentant la richesse, l'exigence et la diversité des cidres AOC du Cotentin (une invitation du fort sympathique et passionné journaliste Dominique Hutin, ardent promoteur de cette boisson)
J'ai rencontré la créatrice du site MeDoWe un site voulant fédérer/accompagner les femmes actives Frédérique Genicot, dans l'ambiance feutrée du Caffe Stern de bon matin.
J'ai passé une très sympathique et gourmande soirée avec un exceptionnel menu à la pizzeria Bijou (merci Alessandra !)
JE ME SUIS BALADEE
J'ai rendu une visite à la boutique Chocolatitudes pour une (petite) razzia de très bon chocolat.
J'ai arpenté quelques rues du 11eme après un déjeuner au sympathique Petit Keller et ainsi enfin visité la pâtisserie Nanan, où on a goûté de délicieuses tartes (citron / chocolat) tandis que d'autres pâtisseries nous faisaient de l'oeil, bien envie d'y retourner !
Je suis retournée, cela faisait longtemps, déguster une délicieuse glace chez Martine Lambert.
J'AI SOUTENU
Le projet de parution du livre Semences de Catherine Flohic aux éditions Argol. Je suis fatiguée des demandes incessantes de financement participatif (crowdfunding) dans le domaine alimentaire mais je participe à quelques projets qui ont du sens pour moi : celui-ci, qui sera le résultat visiblement d'une somme de rencontres et de recherches énorme autour du vaste sujet des semences, en a.
J'AI CAUSE
J'ai répondu au site Madame Figaro sur le thème de manger seul(e) pour mincir/ne pas grossir. Au-delà de ce qui a été repris dans l'article, je suis nécessairement contre cette idée puisque je travaille sur un changement alimentaire durable et il n'est pas question de se priver de manger en compagnie ! En revanche, on peut travailler à autonomiser ses choix de plat, menu, restaurant... et à s'affirmer face au groupe si besoin. Et quelques repas au calme peuvent aider dans un premier temps si besoin à retrouver l'écoute de ses sensations et la conscience de ce que l'on mange.
J'ai été invitée au salon ProfessionL consacré à la reconversion au féminin à Bordeaux pour raconter la mienne et j'ai répondu à quelques questions en marge de ce témoignage. D'ailleurs, l'intuition, cela vaut bien au-delà ! A l'occasion de cette visite, j'ai déjeuné en compagnie d'Alain Juppé, maire de Bordeaux et en belle compagnie : la "serial entrepreneuse" infatigable Aude de Thuin, la fondatrice de Eh mademoiselle, l'adjointe au maire Virginie Calmels, une brillante cadrette de Google, une jeune et active co-fondatrice de la Fondation des Femmes. Et j'ai conversé avec Alain Juppé de dégustation du chocolat et de prendre le temps de savourer les plats.
J'AI LU
J'ai beaucoup aimé lire ce billet sincère de Lili Barbery-Coulon sur son blog Ma Récréation (que j'aime beaucoup lire même si ce n'est pas vraiment mon monde...) sur son chemin pour se réconcilier avec son corps.
J'ai trouvé super ce billet d'Isabelle sur comment s'organiser pour optimiser son budget alimentaire, qui est en phase avec le travail que je fais souvent avec des patient(e)s.
J'ai lu cet article assez complet sur la situation du marché de la viande face aux scandales et à la montée du végétarisme/végétalisme.
J'ai adoré le récit tonifiant du compositeur Michel Legrand
Et vous, que retenez-vous de votre mois de mars ?
Chez Hamadi, 12 rue Boutebrie, Paris 5eme
08:32 Publié dans Activités, medias, lectures..., Du côté des aliments, Restaurants & Shopping | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : dieteticienne gourmande paris 9, patisserie nanan, asperges, reconversion, bordeaux, chez hamadi, tous restaurant, at homs | | Facebook | | Imprimer
29/03/2017
De la cuisine maison oh oui, mais quelques bons produits aussi !
Je pratique et défends la cuisine maison, notamment la cuisine 5S, pour bien manger au quotidien et pas seulement les jours de fête. J'achète très peu de produits industriels en dehors de produits bruts. Mais il y a quelques marques qui me réjouissent par la qualité de leurs produits et leur démarche.
Parmi eux, il y a les produits végétariens et bio de la marque Beendhi, depuis leur création. Il y d'abord eu des produits d'inspiration indienne, le pays d'origine de la créatrice Beena Paradin (que j'ai la chance de connaître et de rencontrer régulièrement), à base de riz, de lentilles, de pois chiches. Le dosage en épices inclus évite de se casser la tête ou d'avoir de multiple pots d'épices entamés et vieillissants. Il suffit d'ajouter de l'eau et de cuire. Puis elle a proposé des bouillons, des préparations pour boissons. Et depuis cette année, une nouvelle gamme a vu le jour, ouverte sur d'autres parfums moins exotiques. Cela a commencé par des bouillons en poudre, à la composition impeccable, et très faciles d'emploi. Puis, ces derniers jours, une nouvelle gamme à base de lentilles, petit épeautre et quinoa, avec pas mal d'autres ingrédients. J'ai préparé la semoule de petit épeautre pour accompagner un tagine de légumes dimanche et ce fut tout à fait délicieux et très parfumé. Il est clair que vous pouvez passer votre chemin si vous n'aimez pas les épices mais sinon, c'est vraiment simple et savoureux.
J'avais déjà parlé ici des bocaux Le bonheur est dans le pot, une façon simple, saine et goûteuse d'avoir des légumes à disposition quand, parfois, on n'a pas le temps de cuisiner. Cette marque s'est visiblement rebaptisée Karine et Jeff du nom des créateurs, a modernisé ses visuels, surfe un peu sur la mode "vegan" mais je n'ai pas l'impression que les produits aient changé. J'en ai goûté quelques-uns au fil du temps et je les ai trouvés très bons. Avoir 2-3 de ces bocaux dans son placard me parait être bien pratique en cas de repas à improviser, accompagné de riz, semoule, ...
Découverte récente et sympathique, les pickles de la jeune marque Les 3 chouettes. Bien sûr, il n'est pas très compliqué de faire ses pickles mais on n'est pas obligé de tout faire soi-même ! On a goûté trois parfums et ils sont vraiment délicieux. Monsieur les a utilisés comme tsukemono dans un repas japonais et c'était parfait. Je songe à en utiliser dans des salades, pour donner un peu de tonus à un sandwich, avec une entrée ou un apéritif, ...
Produits Beendhi offerts, autres produits achetés
Produits disponibles en magasins bio et/ou certaines épiceries fines et sur internet.
08:30 Publié dans Activités, medias, lectures..., Pistes pour bien manger, Plaisirs gourmands, Restaurants & Shopping | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : beedhi, les 3 chouettes, karine et jeff, le bonheur est dans le pot, vegetarien, pickles, bons produits, conserves de qualite, simplifier la cuisine | | Facebook | | Imprimer
24/03/2017
Cuisine impro domino ou cuisine de maestro des fourneaux ?
Ces derniers jours, deux de nos repas m'ont frappée par leur contraste de réalisation et de présentation. D'un côté, Monsieur a pris tout son temps dimanche matin (voire déjà un peu samedi soir) pour nous proposer un déjeuner japonais aux petits plats multiples, aux délices variés, plein d'une jolie sophistication qui rend envieux mes abonnés sur les réseaux sociaux... (légumes mijotés, tataki de thon, salade de concombre, œuf mollet aux œufs de saumon, assiette maritime, tofu...).
Pour ma part, j'ai comme d'habitude pratiqué davantage de la cuisine 5S. Ainsi, un matin de lever matinal, ayant décongelé un reste de curry de légumes en prévision du soir, je n'ai pas eu trop envie de le servir tel quel et j'ai improvisé une tarte au curry de légumes (pâte à tarte avec une touche de farine de pois chiches pour le goût), d'autant plus simple que j'avais du lait et de la crème entamés, des œufs, de la coriandre. Cette tarte, servie avec une salade de pourpier fut tout à fait délicieuse. C'est ce que j'appelle de la cuisine domino.
Je trouve les deux très satisfaisants, chacun dans son registre même si, clairement, l'un est plus impressionnant que l'autre... Mais il requiert un temps assez conséquent. Je trouve important de défendre, et donc de pratiquer, le plaisir de manger au quotidien, pas seulement le week-end, et donc la simplicité et l'organisation qui permettent de ne pas passer des heures en cuisine et de bien manger quand même.
Qu'en pensez-vous ?
08:30 Publié dans Pistes pour bien manger, Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : cuisine domino, manger simple et bon, impro en cuisine, cuisine japonaise, un homme en cuisine, bien manger tous les jours | | Facebook | | Imprimer
13/03/2017
Le temps, la qualité, le coût : l'équation alimentaire à 3 dimensions
Je crois que c'est en préparant une conférence il y a presque un an que j'ai pensé à cette "équation". Depuis, j'en parle régulièrement, je la retourne dans tous les sens, et je la trouve incontournable. Je m'explique.
Le temps - la qualité - le coût : comme je le disais dans un billet il y a quelques jours, on ne peut pas gagner sur tous les tableaux. On ne peut pas bien manger, pour pas cher, en n'y passant pas de temps. Je suis convaincue que ce n'est pas possible !
Je m'élève contre les chantres de la "fracture alimentaire", ceux qui simplifient le problème en n'en faisant qu'une question de budget. C'est beaucoup plus compliqué que cela. Car on peut bien manger sans dépenser beaucoup d'argent, mais à une condition : faire des courses malines, trouver les bons circuits et CUISINER, donc passer du temps à cela, plutôt qu'à une autre activité. Et peut-être passer du temps à développer son SAVOIR-FAIRE culinaire si on n'a pas beaucoup appris dans sa famille. Mais c'est possible. Avez-vous déjà calculé le coût d'une soupe de légumes, d'une omelette ou d'une salade de lentilles ? Avez-vous déjà évalué la quantité de tutoriels culinaires de tous niveaux qui existent sur internet ? A condition de s'y intéresser. Cela me fait penser au "défi" que j'avais lancé il y a quelque temps de manger pour 25 euros/semaine.
A l'inverse, si on ne veut pas consacrer de TEMPS à avoir une alimentation saine et variée, on peut DELEGUER cela mais avec un coût certain, plus ou moins important. A l'extrême, on embauchera un cuisinier. Ce qui fait rêver beaucoup de personnes. Mais est rarement concrétisable...Ou on prendra ses habitudes dans un restaurant adapté. Ou on se fera livrer de bons plats.
On peut donc avoir la QUALITE et un COÛT bas en passant du TEMPS.
On peut avoir la QUALITE sans la nécessité du TEMPS en mettant le PRIX.
Mais on ne peut pas avoir la QUALITE sans y consacrer ou du TEMPS ou un certain PRIX.
Il est clair que tout le monde ne va pas soudain devenir riche... Alors, l'enjeu, ou le casse-tête, est de faire comprendre à une part de la population qui ne veut plus / ne sait pas cuisiner, même simplement, que cela peut être un plaisir, un partage, une détente, un moment pour soi, une découverte, qu'il peut être plus agréable de manger des plats fait-maison que d'acheter des plats cuisinés, des conserves, des plats surgelés prêts à l'emploi. Je ne dis pas qu'il faut forcer ou faire culpabiliser quiconque, chacun est LIBRE évidemment. Mais je trouve dommage de laisser majoritairement à l'agro-alimentaire le soin de décider de ce qu'on avale. Cela ne me parait pas souhaitable individuellement et collectivement.
Bref, je suis pour l'augmentation (raisonnable) du temps passé à préparer de bons repas et pour la transmission de savoir-faire en la matière à ceux qui en ont besoin.
08:19 Publié dans Activités, medias, lectures..., Fondamentaux | Lien permanent | Commentaires (23) | Tags : bien manger pour pas cher, bien manger tous les jours, bien manger n'est pas une question d'argent | | Facebook | | Imprimer
01/03/2017
Au revoir février, joliment occupé et gourmand !
En février, j'ai profité de quelques jours plus calmes côté activité du fait des vacances scolaires pour déjeuner dehors, me balader, boire du thé dans un bon fauteuil, paresser...
En février, j'ai très bien mangé* (vous étonnerais-je ?!) :
Monsieur avait rapporté du potager nîmois du brocoli et on a dîné une fois de dentelles de Cucugnan (les pâtes du paysan-boulanger Roland Feuillas) aux brocolis et anchois et une autre fois d'une salade de mâche-brocoli-parmesan-pignons.
Monsieur, fidèle à son tropisme nippon, nous a préparé un délicieux nabe de poisson (sorte de pot-au-feu).
J'ai fait différentes soupes, par exemple de pois cassés, courge-butternut-patate douce-carotte-épices, etc.
J'ai fait un délicieux gratin d'endives, non pas au jambon mais à la très délicieuse saucisse aux algues d'Olivier Hélibert, merveilleux charcutier installé près de Brest.
J'ai parfois improvisé des déjeuners rapides avec de plaisants restes du frigo, ainsi une savoureuse salade de lentilles et un oeuf au plat.
J'ai découvert et apprécié le Petit Keller, le restaurant de Kaori Endo (ex chef de Nanashi) où je me suis régalée d'une assiette végétarienne colorée, parfumée, variée, de saison et d'un fameux dessert autour du marron.
J'ai dîné en très bonne compagnie chez Mokonuts, lieu délicieux au déjeuner, que l'on peut privatiser le soir pour 4 à 12 personnes.
Je suis retournée chez Belle Maison, un restaurant du IXeme spécialisé dans le poisson, pour la troisième fois (ils ont la bonne idée d'être ouverts le samedi midi) et c'est vraiment un plaisir d'y prendre le plat du jour à 14 euros, dans un cadre agréable, avec un service souriant. Cette fois, c'était un très bon cabillaud skrei de Norvège.
Nous sommes retournés chez Neva Cuisine et comme toujours les desserts de Yannick Tranchant sont un enchantement, cette fois ce fut une merveilleuse une tarte au chocolat.
J'ai participé au premier "dîner-mystère" de 716Lavie (à dire à haute voix), le blog très riche en adresses gourmandes et accessibles de Guillaume Le Roux, par ailleurs passionné de musique, de voyages, de découverte de Paris : il avait convié une trentaine de volontaires à un dîner dans un restaurant de prix raisonnable sans nous dire où. Il nous l'a appris la veille et ce fut Varisa, un restaurant sri-lankais du 18eme. Bons samossa aux légumes, excellent poulet biryani et fort plaisant dîner en bonne compagnie. Bien envie d'y retourner.
En février, j'ai écouté :
Fabrice Midal, auteur du livre Foutez-vous la paix et fondateur de l'Ecole Occidentale de Méditation en conférence en compagnie, et c'était le plus intéressant à mon avis, de Tal Ben Shahar, gourou de la psychologie positive. Il a bien précisé que la psychologie positive ne veut pas dire tout voir en rose mais accepter les moments pénibles, les échecs... pour avancer (ce qui est proche des thérapies ACT que je connais mieux). Il a dit beaucoup de choses intéressantes sur les rituels, la répétition, l'estime de soi, la passion.
J'ai aimé quand il a expliqué que son mot préféré en hébreu est NATAN, qui veut dire donner et est un palindrome (il se lit dans les deux sens), ce qui symbolise le fait que donner, c'est recevoir.
En février, j'ai lu :
- cet fort intéressant article sur la cuisine sans recettes. Je ne crois pas qu'on puisse s'en passer totalement, surtout quand on débute en cuisine, mais je défends une certaine souplesse (un des S de ma cuisine 5S) et une capacité à s'adapter/improviser/décliner les recettes en fonction de l'envie et du disponible. Et j'aimerais qu'il existe un apprentissage des techniques de base de la cuisine pour devenir autonome, ce qui serait beaucoup plus utiles que de connaitre des recettes.
- cet autre article (Slate encore) sur le fait qu'on consomme moins d'objets et davantage de moments, ce que je fais personnellement depuis des années, au moins dix ans, que j'achète beaucoup moins pour moi-même et offre des expériences, des moments, des voyages, des nourritures, des restos, des spectacles...
En février, je suis passée à la télé :
pour parler décryptage des yaourts au JT de France 2, avec ma conclusion de préférer des yaourts nature et, si vous ne les aimez pas tels quels (moi, j'adore ça !), leur ajouter votre patte perso (confiture, miel, morceaux de fruit, compote...) plutôt que d'acheter des yaourts fantaisie pleins d'ingrédients bizarres et d'additifs.
En février, je me suis promenée dans le XXeme arrondissement et suis notamment retournée à la Gambette à pain où j'ai trouvé, outre le "pain préféré", un délicieux chou au sésame noir.
*rappel : vous pouvez suivre mes tribulations gourmandes sur Instagram si cela vous dit
08:20 Publié dans Activités, medias, lectures..., Pistes pour bien manger, Plaisirs gourmands | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : diététicienne gourmande, bien manger tous les jours, paris 9, belle maison, petit keller, improviser en cuisine, cuisine 5s | | Facebook | | Imprimer